Blagues sur les restaurants
Mardi soir, 22h43. Dans une rue sombre de Toulouse, Paul et Hervé sortent d'une réunion syndicale. Paul, bien chauffé, par le délégué syndical de son entreprise fait :
- Tu vois Hervé, les patrons, c'est tous des salauds et des pourris !
- Allez... N'exagères pas... J'en connais des sympas, moi, de patrons...
- Ah ouais ? Donne-moi un exemple, un seul...
- Ben oui... Il y en a qui, avant de partir en week-end te propose d'aller dîner au restaurant pour discuter de la lutte des classes. Et puis ensuite, très gentiment, ils te proposent de continuer la discussion chez eux, dans leur maison de campagne...
- Olaaaaaa !!! Arrête de déconner, t'en connais pas des patrons comme ça, hein ?
- Ben, moi personnellement non, mais ma sœur, oui...
L'histoire se passe à Bruxelles, dans un restaurant. Trois japonais discutent avec un améraicain, un allemand et un belge. La conversation tourne autour des questions économiques. Très vite, le ton monte.
L'améraicain se lève et s'adresse au premier japonais:
- Hi, Boy ! Je vais te shower comment on traite les affaires chez nous, à Houston, Texas ! Follow me dans la street et je vais te casser la gueule !
Les deux hommes sortent. Quelqu'un instant après, l'améraicain rentre avec le visage couvert de bleus. Le japonais suit en rajustant sa cravate et dit:
- C'est truc japonnais. Karatéka !
L'allemand se lève à son tour et invective le second japonais:
- Nous aFons les moyens Te Fous faire changer d'aFis ! SuiFez-moi dans la rue, je Fais Fous faire Foir !
Les deux hommes sortent à leur tour. Quelques minutes s'écoulent et l'allemand revient avec la tête démontée. Le japon revient aussi en rajustant son costume et dit:
- C'est truc japonais. Judoka !
Vient le tour du belge qui n'en peu plus de ces chinoiseries. Il menace le troisième japonais:
- Allez, Fieu ! Arrête, une fois ! Viens dehors et tu va voir comment je vais t'arranger, une fois !
Les deux hommes s'éclipsent. Trente secondes plus таrd, le japonais rentre avec le tronche délabrée, couvert de sang. Le belge suit et dit en souriant:
- C'est aussi truc japonais. Cric de ma Toyota !
C'est un couple plus tout jeune assis devant la télé. Le mari :
- Je peux savoir pourquoi tu tires la tronche depuis que je suis rentré ?
- Il y a que c'est notre 20ème anniversaire de mariage et qu'on est là comme des cons devant la télé !
- Nom de Dieu ! Je suis tellement débordé que ça m'était complètement sorti de la tête ! Pardonne-moi ma chérie... Mets ta plus belle robe, je t'emmène faire la tournée des grands ducs !
- Oh Bobby ! Je savais que tu n'étais pas un monstre.
Un peu plus таrd, au Restaurant "La Tour d'Argent"... Le Maître d'hôtel :
- Bonsoir Monsieur Bobby. Qu'on prépare la table de Monsieur bobby !
La femme :
- Ils ont l'air de bien te connaître par ici...
- Oh... J'ai du venir déjeuner une ou deux fois avec des clients...
Le repas se passe. En sortant du restaurant, le mari propose d'aller en discothèque. A l'entrée de la discothèque, une queue d'enfer. Le mari dit à sa femme de ne pas s'inquiéter. En effet, le mari va directement voir le portier :
- Salut Roudoudou ! Comment ça va ?
- Roudoudou aller bien... Bobby pouvoir entrer...
Dans la boîte, le patron les aborde :
- Bonjour Monsieur Bobby... et lance : Libérez la table de Monsieur Bobby !
La femme se repose des questions :
- Tu viens souvent ici ?
- Euh non, le patron est un client...
Une fois installés, la serveuse vient à leur table :
- Je vous sers comme d'habitude Monsieur Bobby ?
Et la sтriр-teaseuse finissant son show qui n'en rate pas une crie bien fort.
- Et la culotte c'est pour qui ?
Et là toute la salle qui répond :
- C'est pour Bobby !
Sur ce, la femme pique sa crise, ils sortent tous les deux et montent dans un taxi. Dans le taxi la dispute reprend :
- Chérie, ne gâchons pas cette belle soirée !
- Moi je comprends que tu me prends po… >> Cliquez pour lire la suite
Dans un restaurant : (histoire vraie et vécue par Sacha
Guitry, je crois) :
- " Garçon ! Apportez-moi un homard".
Au bout d'un moment, le garçon apporte un homard. Cependant,
Fait remarquer le consommateur, il manque une pince.
- Voyez-vous explique le garçon, les homards se trouvent
Dans un gros aquarium et en vie, afin qu'ils restent frais jusqu'au
Dernier moment. Et, malheureusement, il arrive parfois, au cours
D'une bagarre, que l'un d'eux se fasse arracher sa pince.
- Ha bon, répond alors le consommateur, hè bien,
Reprenez ce homard et ramenez-moi le vainqueur.
Sa version à elle :
Il était tout bizarre quand je suis arrivée au bar. J'ai d'abord pensé que c'était parce que j'étais légèrement en rетаrd mais il n'a fait aucune remarque à ce sujet.
La conversation était difficile et j'ai pensé que ce serait une воnnе idée d'aller dans un endroit plus intime où l'on pourrait discuter plus tranquillement. Nous sommes donc allés au restaurant mais ça n'a pas changé grand chose. J'ai essayé de le dérider mais rien n'y faisait et je me suis demandée si ce n'était pas de ma faute. Je lui ai demandé, il m'a répondu que non, mais franchement, je n'étais pas convaincue.
Quoi qu'il en soit, au retour, je lui ai dit que je l'aimais et pour toute réponse, il a mis son bras autour de mes épaules. Comment interpréter cela? J'étais tellement inquiète quand on est arrivé chez lui que j'ai voulu lui demander s'il voulait rompre mais il s'est affalé devant la télé.
En désespoir de cause, je suis allée me coucher. Il est venu me rejoindre 10 minutes plus таrd, on a fait l'amour mais il avait toujours l'air distrait. J'avais presque envie de partir mais je me suis finalement endormie, les larmes aux yeux. Je ne sais vraiment pas ce qu'il a dans la tête... si ça se trouve, il a même rencontré quelqu'un d'autre...
Sa version a lui:
Mon équipe de hockey a perdu 4 à 2. À cause de cette défaite, ils ne participeront pas aux séries. Bref, une journée merdique.
Seul point positif, j'ai tiré mon coup.
Un curé dit à son ami rabbin :
- J’ai un truc pour manger à l'œil.
- Super, tu fais comment ?
- Je ne vais jamais au restaurant avant 21h30-22h00, (pour le 2ème service). Je choisis toujours un restaurant assez grand où il y a plusieurs serveurs. Je commande une entrée, un plat, un dessert et je prends mon temps pour le café, le cognac, un bon cigare et j’attends la fermeture. Comme je ne bouge pas, quand ils rangent toutes les tables et mettent les chaises dessus pour pouvoir fermer, le garçon vient pour me demander de payer. Je lui dis que j’ai déjà payé son collègue, qui est parti. Et personne ne met ma parole en doute vu ma profession ! Simple, non ?
- Génial, fait le rabbin, et si on essayait demain.
- D’accord, je m'occupe de la réservation.
Le soir suivant, ils vont au restaurant, commandent de nombreux plats. A la fin de la soirée, le garçon arrive et leur demande de payer. Le curé lui répond :
- Mais c’est déjà fait, à votre collègue qui est parti...
Et le rabbin rajoute alors :
- D’ailleurs, ça fait un moment qu’on attend la monnaie !