Un automobiliste se fait flasher à 180 Km/h par un radar planqué sous un pont.
Un peu plus lоin il est arrêté par un CRS qui lui rappelle le code la route :
- Vous savez que la vitesse est limitée à 130 sur autoroute. Or, vous rouliez à 180. Venez par-là que je vous dresse un procès verbal.
Suivent les questions habituelles,nom,prénoms,permis de conduire,etc.
A profession le type répond :
- Mon boulot ? Je suis dans le médical, je suis ré-aléseur de trous du cul.
Le CRS le regarde avec des yeux ronds :
- Et ça consiste en quoi ?
- Eh bien les gens m'appellent et ils me disent qu'ils voudraient avoir un trou du cul plus large.
- Vous savez, vous, ça vous dépasse, mais depuis vingt ans, des hommes et des femmes sont en recherche de nouvelles sensations sur le plan sexuel.
Ils ne veulent plus de produits et autres substances dites aphrodisiaques. Ils veulent du naturel et donc qu'on prépare les orifices naturels. D'ailleurs un sondage a même montré que plein d'hommes utilisent ces pratiques avec leur femme. Alors j'arrive et je commence par un doigt, deux doigts, toute la main, les deux mains, puis le bras. Et puis je pose des étais et il m'arrive aussi d'utiliser des forceps et je m'arrête quand j'obtiens un beau trou du cul de 1m 75.
Le CRS regarde dans le vide, comme s'il essayait de se représenter mentalement la scène. Puis il reprend ses esprits :
- Et qu'est-ce qu'on fait avec un trou du cul d' 1,75m ?
Et l'automobiliste lui dit avec une grimace:
- En général on lui donne un radar et on lui dit d'aller se planquer sous un pont !

A l'attention de la direction générale des impôts CDI
Bande de moins que rien,
Je me permet de vous écrire cet émail parce que je suis à bout.
Je savais déjà que tous les fonctionnaires des administrations françaises étaient des pauvres d'еsрriт, des tires au flancs et des incapables et qu'ils sont la cause numéro un de l'engluement administratif qui ralentit énormément l'essor de la France.
Mais aujourd'hui, je viens de comprendre qu'en plus de tout cela vous n'êtes qu'un ramassis de voleurs.
En effet aujourd'hui, je viens de recevoir un avis d'imposition de la taxe d'habitation de Toulon au domicile de mes parents en région parisienne.
Comme vous le savez très bien (suite maintes appels et lettres de ma part) je n'habite plus a Toulon depuis maintenant presque 2 ans. Vous le savez d'ailleurs d'autant plus, que vous n'envoyez même pas l'avis a mon ancienne adresse Toulonnaise mais directement chez mes parents. Il est donc totalement utopique que je vous verse le moindre centime des 185 Euros que vous tentez de m'extorquer.
Je sais très bien que vous n'aurez pas l'amabilité, ni le savoir vivre pour m'adresser la moindre excuse pour l'incapacité chronique dont vous faites preuve. Alors, je vous souhaite de vous enfoncer, bien profondément, votre taxe d'habitation dans l'аnus, au moins vous serez payé à faire quelque chose de vos journées...
Alain C.
Suite.....
Objet : Réclamation sur taxe d'habitation (2)
Madame, Monsieur,
Je suis la personne qui s'est permise de vous envoyer, la semaine dernière, un courrier injurieux, irrespectueux et ordurier a propos de votre incompétence. Aujourd'hui, je prends le temps et l'humilité, de vous adressez mes cordiales excuses au sujet de ce comportement.
En effet, il semblerait que m… >> Cliquez pour lire la suite
C’est un pilote de bombardier anglais qui se fait descendre par la D. C. A. allemande au cours de la Deuxième guerre mondiale. On l’emmène à l’hôpital où il s’avère que sa jambe droite a subit de très gros dégâts. Seule l’amputation permettra de lui sauver la vie. L’anglais reste stoïque lorsqu’on lui annonce la nouvelle, mais il demande simplement à ce que son membre amputé soit expédié sur le sol anglais. C’est pourquoi il demande aux allemands si un de leurs pilotes ne pourrait pas emmener la jambe dans le cockpit d’un avion pour le balancer au cours du prochain raid sur Londres.
Les allemands trouvant l’idée très amusante, la jambe est emportée dans un bombardier dès le lendemain.
Une semaine plus таrd, il s’avère que la main du pilote anglais est sérieusement contaminée par un staphylocoque doré de la pire espèce. Une fois encore, la seule option est l’amputation. Comme la première fois, le pilote anglais est d’accord sous réserve que la main soit balancée sur le sol anglais.
Et le lendemain, la main est balancée en même temps que les bombes au dessus de Londres.
Mais deux semaines plus таrd, c’est la deuxième jambe du pilote qui donne des signes de faiblesse. Le pilote anglais s’apprête déjà à donner son accord pour l’amputation, mais cette fois-ci, les autorités militaires allemandes répondent « NON, pas question ! »
Le pilote anglais, perplexe, leur demande pourquoi ce revirement de situation. Et les allemands répondent :
- Nous pensons que vous cherchez à vous échapper.

Ça se passe dans un cinéma, pendant la Seconde Guerre Mondiale sous l’Occupation. Dans la salle, plusieurs personnes regardent les actualités. Tout à coup, un officier allemand arrive et dit :
- Bardon, bardon monzieur, bardon matemoizelle !
L’officier allemand s’assoit, enlève sa casquette, retire ses gants et il commence à regarder les actualités :
- Aaaah ! Ya schôn, gut, wunderbar !
Au bout d’un moment, la jeune femme a côté de laquelle il s’était assis se lève et lui fait :
- Tiens, prends ça dans la gueule !
Paf, elle lui met une tarte.
Puis le fiancé de la jeune femme se lève et s’écrie :
- Tu vas voir ta gueule !
Et paf !
Après quoi, le vieux monsieur qui était derrière prend sa canne et en donne un grand coup à l’officier allemand qui hurle :
- A l’aite ! Au zegours !
Cinq minutes après le cinéma est encerclé, tout le monde embarqué à la Kommandantur, et un type de la Gestapo demande à la jeune femme :
- Mademoiselle, vous avez frappé un officier allemand. Est-ce que vous pouvez m’expliquer pourquoi ?
- C’est-à-dire… c’est-à-dire que j’étais en train de regarder les actualités, et l’officier allemand a posé sa main sur mes genoux, ce grand dégueulasse ! Alors je lui ai mis une gifle instinctivement. Je n’ai pas vu que c’était un Allemand.
- Ah bon, ah bon ! C’est vrai que pour un officier allemand, c’est très incorrect. On va faire un rapport et on va le muter sur le front de l’Est parce que quand même ! Quand même ! Ce n’est pas bien ! Mademoiselle, vous avez bien fait, vous êtes libre ! Vous voyez qu’on est pas des barbares, qu’on comprend les choses. Alors au revoir, et pardon pour le dérangement !
Vient le tour du jeune homme et l’Allemand lui dit :
- Jeune homme, vous avez frappé un officier allemand: vous savez ce que cela signifie ?
- Il touchait les cuisses de ma fiancée, alors je lui ai cassé la gueule.!
- Du calme, du calme… Parce que vous êtes le fiançé de…
- Ben ouais !
- Alors bien sûr, je comprends votre réaction. C’est vrai que… Non mais décidément, cet officier, je vais l’envoyer sur le front de l’Est immédiatement. On va prendre son nom, son matricule, et ça ne va pas traîner, Quant à vous, vous êtes libre, jeune homme ! Vous voyez, nous comprenons les choses ! Nous, à la Gestapo, nous ne sommes pas des sauvages. Voilà, au revoir ! Suivant !
Le vieux monsieur succède au fiancé et l’Allemand lui fait :
- Alors comme ça, vous avez donné un coup de canne sur la tête d’un officier allemand. Pour quelle raison ?
- Bah euuuuuh…
- Je vous écoute.
- Eh ben, c’est-à-dire que j’ai vu tout le monde le frapper… Alors moi, j’ai cru que la guerre était finie !
En Birmanie, un colonel donne les derniers conseils à ses G. I. avant que ceux-ci partent au combat :
- « G. I.’s ! Je suis fier de vous, vous allez au combat. Mais avant que vous ne partiez, je vais vous donner les trois grands secrets pour survivre aux trois grands dangers de la jungle :
Le premier danger, ce sont les moustiques : ils apportent les piqûres qui font souffrir, mais surtout la malaria qui peut tuer les plus résistants. Contre les moustiques, vous avez la bombe de fly-tox : vous prenez la bombe et vous vaporisez ; si la bombe est finie, vous en avez une de rechange dans la poche droite, vous vaporisez jusqu’à ce que les moustiques soient tous morts et vous survivrez aux moustiques.
Le deuxième danger, ce sont les niakwés. Ce sont de farouches combattants fanatiques et bien armés. Contre les niakwés, vous avez le pistolet-mitrailleur : vous prenez le pistolet-mitrailleur et vous mettez le chargeur, puis vous tirez sur les niakwés ; si le chargeur est fini, vous en avez un de rechange dans la poche gauche, vous tirez jusqu’à ce que tous les niakwés soient morts et vous survivrez aux niakwés.
Le troisième danger, le pire, c’est le terrible serpent mamba rayé orange et noir. Sa morsure est mortelle en moins de trente secondes. Contre le terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous n’avez que votre courage et la tactique que je vais vous donner :
Si vous voyez un terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous faites le tour, vous en prenez le bout de la queue entre le pouce et l’index, sans serrer, et vous remontez doucement le long de la colonne vertébrale jusqu’à ce que vous puissiez serrer le cou juste derrière la tête. Alors vous le prenez, et vous lui tordez le cou, et c’est ainsi que vous survivrez au terrible serpent mamba rayé orange et noir.
Voilà G. I.’s, vous êtes prêts à partir… Воnnе chance ! »
Un mois après, les G. I.’s rentrent de leur mission. Le colonel est là et interroge les soldats :
- « Ahh, colonel, c’était terrible… Les moustiques, des nuées de moustiques… Mais j’ai fait comme vous nous avez conseillé : j’ai pris le fly-tox, j’ai vaporisé, j’ai tué des milliers de moustiques. Ma bombe s’est vidée, j’ai pris la bombe de rechange dans la poche droite, et j’ai continué à vaporiser. La deuxième bombe s’est vidée, et il y avait encore des moustiques, alors j’ai pris la bombe sur le cadavre de mon copain qui était tombé à coté de moi, et j’ai continué à vaporiser… Au moment où la bombe finissait, j’ai tué le dernier moustique qui est tombé raide mort. J’étais sauvé. »
Un deuxième soldat :
- « Ahh, colonel, c’était terrible… Les niakwés, des nuées de niakwés… Mais j’ai fait comme vous nous avez conseillé : j’ai pris le pistolet-mitrailleur j’ai tiré, j’ai tué des dizaines de niakwés. Mon chargeur s’est vidé, j’ai pris le chargeur de rechange dans la poche gauche, et j’ai continué à tirer. Le deuxième chargeur s’est vidé, et il y avait encore des niakwés, alors j’ai pris le chargeur sur le cadavre de mon copain qui était tombé à coté de moi, et j’ai continué à tirer… Au moment où le chargeur finissait, j’ai tué le dernier niakwé qui est tombé raide mort. J’étais sauvé. »
Alors le colonel voit arriver un G. I. sur une civière; il est complètement explosé, lacéré, en sang, au bord de l’inconscience.
- Mais, G. I., que s’est-il passé ? Les niakwés ?
- Oh non, colonel, c’est le terrible serpent mamba rayé orange et noir !
- Mais je vous avais pourtant dit comment procéder !
- Oui, mon colonel, et j’ai fait comme vous l’aviez dit ! J’ai vu le terrible serpent mamba rayé orange et noir, j’ai fait le tour, j’en ai pris le bout de la queue entre le pouce et l’index, sans serrer, et j’ai remonté doucement le long de la colonne vertébrale jusqu’à ce que je puisse serrer le cou juste derrière la tête. Mais alors là, sauf votre respect, colonel, mais j’aurais bien voulu vous y voir, vous, avec deux doigts dans le trou du cul d’un tigre !