Extraits du journal intime du chat :
Jour n° 162 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets pendouillant au bout d'une ficelle. Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées. La seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et la maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction d'un meuble. Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 171 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi. Il faudra que j'essaie encore depuis le haut des escaliers. Dans l'espoir d'induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 175 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, afin de leur faire comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de terreur. Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon petit chat. Hmmm... Ca ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 178 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus, il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée-shampooing. Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ? Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes dents.
Jour n° 181 :
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils appellent-bière. Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison de ma réclusion était mon pouvoir-allergisant. Il va fal… >> Cliquez pour lire la suite
Le mec il rentre chez lui le soir, il va direct sur le canapé, s'assoie devant la TV et demande à sa femme :
"Tu peux m'amener une bière avant que ça ne commence ?" Sa femme lui apporte sa bière...
Il se dépêche d'avaler le breuvage et rappelle sa femme :
"Tu peux me ramener une bière avant que ça ne commence ?"
Sa femme revient avec une bière en faisant un peu la moue. Rebelote, le mec s'abreuve et appelle à nouveau sa femme :
"Dépêches-toi STP, ramène une bière avant que ça ne commence..."
Et là sa femme lui ramène sa bière et lui dit :
"T'as peut-être eu une journée chargée, mais je te signale que moi j'ai conduit les enfants à l'école, j'ai été bosser, j'ai recherché les enfants à l'école, j'ai repassé tes chemises, j'ai préparé le dîner... Et, tu ne crois pas que 3 bières, ça suffit !"
Et le mec :
"Ca y est ça commence...."
Extraits d'une étude récemment menée auprès d'enfants de 10 ans et moins au sujet du mariage :
Comment choisir avec qui se marier ?
Il faut trouver quelqu'un qui aime les mêmes trucs. Si tu aimes le foot, elle devra aimer que tu aimes le foot et t'amener des сhiрs et de la bière.
Alain, 10 ans
On ne décide pas vraiment avec qui on va se marier. Dieu décide tout bien avant et tu vois après qui il t'a collé.
Kirsten, 10 ans
Quel est le bon age pour se marier ?
Le meilleur âge c'est 23 ans, parce que tu connais ton mari depuis au moins 10 ans.
Camille, 10 ans
Il n'y a pas de bon âge pour se marier. Il faut être stupide pour avoir envie de se marier.
Freddie, 6 ans
Qu'est-ce que tes parents ont en commun ?
Ils ne veulent pas d'autre enfant.
Laure, 8 ans
Qu'est ce que les gens font a un rendez-vous ?
Les rendez-vous, c'est pour s'amuser, et les gens devraient en profiter pour se connaître mieux. Même les garçons ont quelque chose d'intéressant à dire si tu écoutes assez longtemps.
Linette, 8 ans
Au premier rendez-vous ils se disent des mensonges intéressants, comme ça ils sont d'accord pour avoir un deuxième rendez-vous.
Martin, 10 ans
Que ferais-tu si ton premier rendez-vous se passe mal ?
Je rentrerais à la maison et je ferais semblant d'être mort. Et j'appellerais les journaux pour leur demander d'imprimer que je suis mort.
Craig, 9 ans
Quand est-ce permis d'embrasser quelqu'un ?
Quand ils sont riches.
Pamela, 7 ans.
Si tu embrasse quelqu'un, il faut se marier et avoir des enfants avec elle. C'est comme ça.
Henri, 8 ans
Est-il meilleur d'etre celibataire ou marie ?
Je ne sais pas ce qui est m… >> Cliquez pour lire la suite
À l'occasion de son passage à Paris pour sa visite traditionnelle du Salon de l'Agriculture, un paysan plutôt rustaud décide de se payer un bon gueuleton dans un restau chic de la capitale.
Le serveur vient ensuite prendre la commande du paysan et un peu plus таrd, il lui amène les plats commandés.
Fidèle à ses habitudes, notre campagnard mange avec les doigts, bâfre comme un porc et renverse une воnnе partie des aliments qu'on lui apporte sur la nappe, par terre et aussi sur lui-même...
Vient le moment de l'addition. Le serveur pensant le culpabiliser sur ses manières lui dit:
- Ah monsieur, quel plaisir de servir un client comme vous. On peut dire que vous aidez les serveurs à bien travailler. Par exemple, pas besoin de regarder mes papiers pour vous récapituler l'addition: le petit morceau de feuille de salade qui vous reste coincé sur les dents et le reste de vinaigrette dans votre barbe atteste de votre choix de hors-d'œuvre, les taches de sauce sur votre cravate sont la signature du Coq au vin que vous avez pris en plat principal, la forte odeur qui se dégаgе de vos mains atteste que vous avez pris du Maroilles en fromage et le chocolat sur vos manches de chemise montre que vous avez terminé par une Dame Blanche.
À ce moment là, le paysan qui avait écouté le serveur avec un sourire goguenard acquiesce :
- Ouais, t'as raison mon garçon. C'est exactement ce que j'ai pris !
Et il ponctue sa phrase d'un gros pet bien gras... Le serveur lui dit:
- Ah merci monsieur, j'avais oublié votre bière!
Les directeurs des trois brasseries Maes, Heineken et Jupiler prennent chaque jour le même train pour aller au travail. Un jour un incident provoque un rетаrd assez sérieux et au lieu d'attendre sur le quai sous la pluie, ils décident de commun accord d'aller voir au bar ce qu'il s'y passe et d'y prendre leur mal en patience.
Ils s'accoudent au bar et le directeur de Maes lance en premier :
- Patron, trois Maes s'il vous plaît !
Chacun vide son verre en discutant de la pluie et du bon temps ...
Afin de ne pas être en reste, le directeur de Heineken appelle le barman :
- Garçon, trois Heineken s'il vous plaît !
Ils continuent leur discussion jusqu'au moment où, à son tour, le directeur de Jupiler commande une tournée de bière :
- Aubergiste, trois Heineken s'il vous plaît !
Les directeurs de Maes et Heineken restent perplexes et remarquent à leur confrère :
- Attends, étant directeur de Jupiler, tu ne devrais pas plutôt commander des Jupilers !?
Sur ce le directeur de Jupiler répond :
- Et bien oui, dit-il en regardant sa montre, mais je trouve qu'il est encore un peu tôt pour boire de la bière !
C’est l’histoire de deux immigrants belges en plein Ouest américain, au temps de la ruée vers l’or.
Il fait chaud, et ils se retrouvent à mendier une bière dans un saloon. Au même moment, un gars entre dans le bar en tenant une tête d’indien par les cheveux. Le gars s’approche du barman et il lui tend la tête. En contrepartie, le barman donne à ce gars une pépite d’or.
Les deux Belges demandent au barman des explications. Il leur répond :
- Vous savez les gars, j’peux pas blairer les indiens, et je donne une pépite d’or à celui qui peut m’apporter une tête des ces enfants de p…
Sans attendre la fin de la phrase, Willy et son copain Eddy prennent leurs colts et se mettent en selle.
Quelques temps plus таrd, ils dénichent un indien isolé et le tuent. Eddy entreprend alors de lui couper la tête pendant que Willy fait le guet.
Rapidement, Willy vient taper sur l’épaule de son complice :
- Hé Eddy, je pense que tu devrais venir voir ça…
- Tu vois pas que je suis occupé.
- Non, vraiment, je t’assure que tu devrais venir voir !
Alors Eddy se relève, et regarde ce que son copain vient de lui indiquer du doigt: un bon millier d’indiens portant les peintures de guerre et tout le toutim, et se dirigeant dans leur direction !
Alors Eddy fait un clin d’œil à son pote :
- Ah la vache, pince-moi ! On va pas tarder à être millionnaires !
C’est Cafougnet’ qui dirige le bar en face d’un institut de sourds et malentendants, et qui doit partir a la communion de sa nièce. Il demande donc a son ami Patisse Boudaine de le remplacer pour le dimanche.
- Tu vois, c’est très simple, lorsqu’ils font ça (il serre le poing avec le pouce en haut), c’est qu’ils veulent un verre de vin blanc. Et s’ils font ça (il met le pouce en bas), c’est qu’ils veulent une bière. C’est pas compliqué ? Tu m’appelles s’il y a un problème.
Tout se passe alors très bien, mais vers 14h30, Cafougnet’ est appelé au téléphone.
- Alors ? Qu’est-ce qui ne va pas ?
- Ben j’ai tout fait comme t’as dit. Le pouce en haut pour un verre de vin blanc, et le pouce en bas pour une bière. Mais maintenant, il y en a trois au comptoir et ils restent plantés là, la bouche ouverte. Qu’est-ce que je leur sers ?
- Oh. C’est rien. Ils chantent.