Blague Alcool, Blague sur les Alcooliques
Un Basque et un Béarnais veulent sortir un samedi soir à Bayonne, mais ils sont fauchés et ont en tout et pour tout 1 euro. Le Basque dit :
- Attends, j'ai un bon plan, tu vas voir, et il achète une saucisse de Strasbourg à 1 euro.
- T'es соn dit le Béarnais, on n'a plus un rond, qu'est-ce qu'on va faire maintenant ?
- T'occupes, tu vas voir ...
Ils entrent dans un bar du petit Bayonne, commandent 2 Ricard et les boivent ... Après l'avoir bu, le Basque dit au Béarnais :
- Voilà mon truc, j'ouvre ma braguette et j'y glisse discrètement la saucisse. Tu t'agenouilles devant moi et tu suces la saucisse, ça ne rate jamais, on va se faire jeter .
Le premier fait donc sortir la saucisse de son pantalon, le second s'agenouille et commence à sucer la saucisse ... Ça ne rate pas, le patron les interpelle :
- Pas de ça ici messieurs, vous sortez tout de suite !
Comme ça marche, ils remettent ça dans un autre bar, y boivent un 2ème Ricard, hop, saucisse, expulsion ... et même manège de bar en bar. Mais au bout du 20ème bar et autant de Ricard, le Béarnais fait au Basque :
- Écoute, on arrête, je n'en peux plus, j'ai trop mal aux genoux à force de m'agenouiller .
Et le Basque répond :
- Et moi alors, c'est pas mieux, j 'ai perdu la saucisse entre le 3ème et le 4ème bar ...... !!!!
Suite logique de la trilogie des clodaux.
Ce sont toujours les mêmes, le jour d'après. Ils fêtent leur aniversaire par une autre cuite, déjà bien ruminée dans leur estomac, par les préliminaires alcooliques qui s'imposent pour cet évènement. Bien sûr, il est 5 heures du mat. - à Paris.
Vu que les choses mettent du temps à évoluer...
Ils arrivent devant une porte cochère ; s'arrêtent, et le professionnel d'entre les deux dit :
Attends-moi là Gégé.
Il se poste devant la porte, se met quatre doigts dans la gueule (affaire de promotion professionnelle), et se vide au sol, avec les carottes, le céleri rémoulade, la crème Mont Blanc, les cacahuètes, la villageoise, en fait tout ce qu'il y a de meilleur dans la vie.
Donc, après cela, la porte s'ouvre dans un grincement lugubre, et une voix dit :
"C'est bon passe, tu es des nôtres" !