Blague sur les célébrités
L’ex-président, George W. Bush, en bon Texan, fait quotidiennement une balade à cheval ; et depuis quelque temps, il croise chaque fois une femme magnifique qui ne lui jette pas un regard. À tel point qu’il ne songe plus qu’à la conquérir ; mais il est un peu emprunté, et il décide de demander conseil à un french lover, le seul qu’il connaisse, Nicolas Sarkozy…
- Élémentaire, mon cher George ! Tu dois dans un premier temps attirer son attention. Par exemple, fais peindre ton cheval en bleu. Quand vous vous croiserez, elle te demandera à coup sûr :
- « Why did you point your horse in blue ? »
- Do you mean I fuск her at once ?
- Oh, no ! Not yet ! répond Sarkozy. Il faut ensuite l’inviter à prendre un verre…
- Then I fuск her ?
- Pas si vite ! Emmène-la faire quelques promenades dans la campagne…
- And I fuск her ?
- Pas de précipitation ! Invite-la ensuite dans un restaurant un peu chic…
- So I fuск her ?
- Mais non, tu vas trop vite ! Propose-lui un petit voyage romantique, dans un endroit exotique, genre Bangkok…
- And there I fuск her ?
- Là, oui… si tu veux… tu pourras…
George W. remercie chaleureusement Nicolas, et décide d’appliquer son plan.
Dès le lendemain son cheval est peint en bleu, et il croise la divine créature, qui le remarque enfin :
- Why did you point your horse in blue ?
Et George W., sûr de lui et épanoui lui réplique :
- To fuск you in Bangkok !
Une jolie jeune femme, à la sortie du bureau, va s’asseoir dans un bar pour se détendre en prenant un verre. Tout à coup elle se frotte les yeux devant ce qu’elle croit être une apparition : George Clooney vient d’entrer dans le bar, tout sourire, décontracté, la classe !…
Il se dirige vers sa table, et s’assoit près d’elle, tout près… Il est sûr de son charme, mais encore faut-il entrer en matière…
Il fouille ses poches et s’aperçoit qu’il n’a pas un sou sur lui. Il s’approche encore plus près de la fille et lui murmure à l’oreille de sa voix de velours :
- Il me faut 100 euros dans l’immédiat. Et je suis prêt à faire n’importe quoi pour les avoir…
- Vraiment, vraiment n’importe quoi ? demande-t-elle.
- Oui, vraiment n’importe quoi ! lui dit-il les yeux dans les yeux.
La fille sort de son sac deux billets de 50 euros, un carnet sur lequel elle écrit son adresse, déchire la page et lui donne le tout :
- Tiens, voilà mon adresse. Quand tu auras fini de boire, tu viens chez moi et tu fais la vaisselle, la poussière et les vitres !
On demandait un jour à Einstein d’expliquer sa théorie de la relativité en des termes tels qu’un individu de base puisse le comprendre :
- « Eh bien, répondit-il, je me trouvais un jour à la campagne, à me promener avec un de mes amis qui était aveugle. La journée était chaude, et je lui dis que j’aimerais bien me rafraîchir en buvant un grand verre de lait froid.
- Du lait ? me répondit mon ami ; boire et froid, je comprends, mais qu’est-ce que le lait ?
- Un liquide blanc, lui répliquai-je.
- Liquide, je comprends, mais qu’est-ce que blanc ?
- C’est la couleur des plumes du cygne.
- Plume, je comprends, mais qu’est-ce qu’un cygne ?
- Un oiseau avec un cou coudé.
- Cou, je comprends, mais qu’est-ce que coudé ?
Avec délicatesse, je lui pris le bras, et je le lui tendis :
- Comme ça, c’est droit, lui dis-je ; après je le lui fis plier à la jointure : ça, c’est coudé.
- Oh, s’exclama l’aveugle, maintenant je comprends ce que vous entendez par « lait ». »
À la terrasse d’un grand café, sur le Vieux port de Marseille, trois amis discutent pour savoir ce qu’est la célébrité.
- Pour moi, dit le premier, la célébrité, c’est d’être invité à l’Élysée par le Président de la République Française.
- Pour moi, dit le second, la célébrité, c’est d’être invité à l’Élysée par le Président de la République Française. On discute, et soudain, le téléphone sonne. Et le Président laisse sonner et continue de discuter.
- Pour moi, dit le troisième, la célébrité, c’est d’être invité à l’Élysée par le Président de la République Française. On discute, et soudain, le téléphone sonne. Le Président décroche, écoute et dit :
- « C’est pour vous ! ».