Blague sur les célébrités

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Louis XVI est condamné à la guillotine. Le président du tribunal révolutionnaire trébuche sur les mots en lisant la sentence. Il bafouille. Il s’exaspère. Finalement, incapable de terminer sa lecture, il tend son papier à l’accusé :
- « Tenez, mon ami, vous lirez cela plus таrd, à tête reposée. »

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Je voulais faire une blague sur Shy’m mais vous connaissez déjà la chute…

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Un gars discute avec Gad Elmaleh :
- Gad, je viens d’essayer ta veste !
- Pourquoi ?
- Juste pour voir si Elmaleh…

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Jérôme, un jeune acteur, a rendez-vous avec un imprésario dans un grand café parisien. Arrivé en avance, il aperçoit Gérard Depardieu à une table voisine. Il va le voir et lui demande s’il pourrait venir le saluer pour épater l’imprésario lorsqu’il arrivera. Se rappelant ses débuts, Gérard Depardieu accepte. Il passe donc voir Jérôme à l’arrivée de l’imprésario :
- Salut, Jérôme, il faudra qu’on se revoie pour un bon resto !
- Écoute, Gérard, tu ne vois pas que je suis occupé ?

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Si Gilbert Montagné a tendance à tutoyer tout le monde, c’est parce qu’il ne vouvoie pas…

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Cécile de France est belge…
François Hollande est français…
Éric Blanc est noir…
Michel Noir est blanc…
Catherine Deneuve ne l’est plus…
Et j’écoute du Véronique Sanson !

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Le grand compositeur Haendel avait accepté de diriger l’une de ses œuvres dans une petite ville d’Angleterre. Il demanda aux musiciens de l’orchestre local s’ils pouvaient déchiffrer des partitions manuscrites. Sans hésiter, tous déclarèrent en être parfaitement capables.
- Nous le faisons couramment chaque dimanche à l’église.
- Eh bien ! Jouez donc, dit Haendel, je vous écoute.
Les musiciens en étaient à peine à la vingtième mesure que Haendel bondissait et d’un grand geste les priait d’arrêter la cacophonie :
- Continuez à jouer à l’église, leur dit-il, seul Dieu peut avoir la patience et la miséricorde de vous supporter.

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Après un profond sommeil de cent ans, la Belle au Bois Dormant ouvre un œil et aperçoit, à son chevet un beau jeune homme à qui elle demande :
- Vous êtes le prince charmant ?
- Pas du tout, répond l’homme, je suis représentant de la firme de somnifère Bondodo et nous vous proposons un contrat en or si, quand les gens de la télé vont arriver, vous acceptez de leur dire qu’avant de vous endormir, vous aviez pris un de nos produits.

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À la fin d’un repas, l’hôtesse demande à Alphonse Allais de bien vouloir raconter pour les convives une histoire drôle.
- Connaissez-vous celle du chrétien que Néron fait jeter aux lions ? demande l’humoriste.
- Eh bien, chaque fois qu’un fauve s’approche de lui, l’homme murmure quelque chose à l’oreille de la bête et aussitôt celle-ci s’éloigne sans le toucher. Néron très surpris fait alors venir le chrétien et lui promet sa grâce s’il lui révèle son secret.
- Et quel est ce secret ? demande la maîtresse de maison.
- Simplement ceci ; l’homme dit à l’oreille du fauve :
- « Tu aurais tort de me manger parce que quand tu auras bien déjeuné, on te demandera de raconter des histoires drôles ! »

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Je viens de faire une super affaire en rachetant la voiture de Jamel Debbouze. C’est une première main.

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Cela se passe pendant la Révolution française. Dans une rue, deux femmes croisent un homme, qui, distrait, ne répond pas à leur bonjour. Après avoir fait quelques pas, l’une dit à l’autre :
- Ce monsieur Guillotin, décidément, toujours la tête ailleurs !

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Georges Feydeau, avec tout le sérieux qui le caractérisait, avait manifesté le désir qu’on l’enterre avec un téléphone dans son cercueil afin, disait-il, de pouvoir prévenir quelqu’un s’il se réveillait. Ayant eu vent du souhait de son talentueux confrère, Georges Courteline fit savoir qu’il désirait lui, être enterré avec une brosse à habit pour le moment où, bien sûr, il tomberait en poussière !

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C’est au cours d’un grand repas. Frédéric II de Prusse reçoit à sa table le grand Voltaire. Au cours du dîner, une vive conversation s’engage entre les deux hommes. Étant en plein désaccord avec Voltaire, Frédéric II écrit un billet et le lui tend.
Sur ce billet est écrit :
- « Voltaire est un âne – Frédéric II. »
Après l’avoir lu, Voltaire le relut à haute voix :
- « Voltaire est un âne – Frédéric le deuxième. »

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Gonflant ses muscles pour les faire admirer, un athlète disait à Alphonse Allais :
- Mon secret est simple : je ne mange que de la viande rouge. C’est pourquoi je suis fort comme un bœuf.
- C’est curieux, remarqua l’écrivain, moi, voilà vingt ans que je mange du poisson trois fois par semaine et je ne sais toujours pas nager !

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Shakespeare prépare une pièce dans un théâtre londonien : il est au milieu de la salle et lance des œufs sur la scène ! Le directeur du théâtre vient lui demander ce qui se passe :
- On ne fait pas Hamlet sans casser d’œufs.

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Après des mois et des mois de recherches, enfin le grand physicien Réaumur vient de terminer la mise au point du thermomètre. Très fier de sa découverte, il se présente devant l’Académie des Sciences, où tous les membres sont rassemblés pour étudier cette découverte.
Avec beaucoup de persévérance, il explique aux académiciens le but du thermomètre. Hélas, tous les membres de cette honorable Académie ne font que rire, se moquer.
Dans l’hilarité générale, le président s’adresse à Réaumur et lui dit :
- Votre machin truc, monsieur Réaumur, je crois que vous pouvez vous le mettre où je pense…

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Un jour Picasso fut renversé par un chauffard et ce dernier prit la fuite. Le maître fit aux policiers un portrait-robot qui permit d’arrêter trois suspects : un garde républicain à cheval, un toréador en tenue avec ses banderilles et une danseuse-éтоilе de l’Opéra en tutu.

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Un journaliste demande à une célébrité qui vient d’inaugurer sa statue :
- Quelle impression éprouve-t-on lorsque l’on assiste à l’inauguration de sa propre statue ?
Et la célébrité de répondre :
- Eh bien ! On commence à regarder les pigeons d’un autre œil…

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