Un mec est assis à un arrêt de bus et n’arrête pas de dire :
- « Boudu соn ! … Boudu соn ! … Boudu соn ! ».
Il monte dans le bus et demande un ticket au chauffeur. Il le paye et pendant que l’autre lui rend la monnaie, il continue :
- « Boudu соn ! … Boudu соn ! … Boudu соn ! ».
Il va s’asseoir à côté d’un curé tout en disant « Boudu соn ! ».
Le curé, au bout d’un moment, lui demande :
- Mais dites-moi mon fils, depuis que vous êtes assis à côté de moi, vous avez dit « Boudu соn ! » au moins une воnnе dizaine de fois. Que vous arrive-t-il ?
- Oh presque rien… « Boudu соn ! »
- Allons mon fils, vous pouvez tout me dire, je ne dirais rien.
- Eh bien, « Oh boudu соn ! », c’est au sujet de ma femme.
- Ah que se passe-t-il ?
- C’est ma femme, « Oh boudu соn ! », elle vient d’avoir un enfant !
- Oh mais c’est un grand bonheur! Dieu a apporté la vie dans votre foyer, vous devriez être content, voyons !
- Oui mais « Oh boudu соn ! » c’est que notre fils, il est noir !!!
Et le curé répond :
- « Oh boudu соn ! »
Gérard a décidé de se marier en costume. Le matin de la cérémonie, son tailleur lui apporte la veste et lui promet de livrer le pantalon plus таrd :
- Impossible, dans une heure, je serai à la mairie !
- Ce n’est rien ! Vous n’avez qu’à mettre un pantalon ordinaire pour la cérémonie civile et je vous apporterai l’autre à la sortie de la mairie.
Lorsqu’il sort de la mairie, le tailleur lui donne son pantalon. Comme il y a foule et qu’il ne peut se déshabiller en public, Gérard enfile purement et simplement son pantalon de costume sur l’autre.
Hélas, au moment de tendre les alliances au curé, il se rappelle qu’il les a laissées dans une des poches de son pantalon du dessous. N’ayant pas d’autre solution, il commence à se déculotter.
Toute cramoisie, sa jeune femme s’exclame :
- Mais enfin, que fais-tu, tu es fou ?
- Ecoute, je n’ai pas le choix… Si tu veux qu’il les bénisse, il faut bien que je les sorte !
En fin d’après-midi, le père Joseph rend visite à son copain de promo, l’abbé Martin. Il se confie à lui :
- J’en ai RAS LE BOL de cette vie vertueuse que notre sacerdoce nous impose. Ce soir, j’ai envie qu’on aille faire la fête tous les deux. On fera la java, on boira, tout ce qu’on a toujours voulu faire mais qui nous est interdit parce qu’on est des curés, on le fera ! Qu’est-ce que t’en penses ?
Martin est consterné :
- Mais tu es fou ? C’est une petite ville ici et tout le monde se connaît. En plus, même s’ils ne nous connaissent pas, les gens vont nous repérer avec nos habits de curés…
Mais Joseph a tout prévu :
- Ne sois pas si bête : on ira dans une ville où personne ne nous connaît, et on s’habillera comme tout un chacun.
Finalement, après avoir insisté lourdement, Joseph parvient à emmener son copain Martin. Les voilà partis à une centaine de kilomètres de là, dans une grande ville connue pour la chaleur de ses nuits. Sur place, ils font la fête comme des pros. Lorsqu’ils sont de retour chez eux, sur le coup des 6 heures du matin, Martin s’angoisse :
- Je viens juste de penser à un truc… Il va falloir se confesser de tout ça…?
Mais Joseph a trouvé la parade une fois encore :
- Calme-toi. Cet après-midi, tu iras au confessionnal. Je serai là pour t’écouter confesser tes pêchés et t’absoudre. Ensuite on intervertira les rôles. D’accord ?
Martin est d’accord. Et tous les deux vont dormir, l’еsрriт serein.
L’après-midi, Martin est le premier à se confesser :
- Mon père, pardonnez-moi car j’ai pêché. Avec un ami à moi, nous sommes sortis la nuit dernière, et nous nous sommes conduits comme de vrais débauchés. Nous avons bu de l’alcool jusqu’à nous rendre ivres, nous avons été grossiers, et nous avons eu des rapports charnels avec des prostituées !
Joseph lui répond :
- Dieu est bon et indulgent, aussi le serai-je avec toi : Tu réciteras 5 Notre Père et 5 Je Vous Salue Marie, et tes pêchés seront absous.
Un peu plus таrd, c’est au tour de Joseph de se confesser, et à Martin d’absoudre. Joseph s’installe et commence à se confesser. Il raconte tout en détail, puis il attend la sentence de son ami Martin. Après une pause, Martin lui répond :
- Je ne le crois pas ! Tu oses encore te dire prêtre après tout ce que tu as fait cette nuit ? Tu me réciteras 500 Notre Père et 500 Je Vous Salue Marie ; puis tu donneras tout l’argent des quêtes du mois à venir au Bureau d’Aide Social de la ville, tu n’oublieras pas non plus de faire 5 fois le tour de l’église à genoux en demandant son pardon à Dieu. Lorsque tu auras finit tout ça, tu reviendras me voir, et là on verra si je peux te donner l’absolution… mais je ne te garantis rien !
- QUOI ? hurle Joseph très choqué. Tu oublies qu’on avait un accord !?
Martin lui répond :
- Hé, ce que je fais en dehors du boulot, c’est une chose, mais je prends mon travail très au sérieux.
Deux curés se croisent chaque dimanche à vélo à la sortie de leurs messes respectives. Un jour l'un d'entre eux est à pied. Le deuxième lui demande :
- Eh bien où est votre vélo ?
- On me l'a volé, et je ne sais pas qui a pu faire ça !
- J'ai une idée, dit le premier, à la prochaine messe, vous citez les 10 commandements, et arrivé au passage de " tu ne voleras point " vous marquez une pause et vous regardez le public, je suis sûr que le coupable va se dénoncer.
Le dimanche suivant, les deux curés se croisent à nouveau sur leurs vélos.
Le premier dit :
- Ah ! Je vois que vous avez récupéré votre vélo, mon conseil a marché.
- Pas exactement, réponds le deuxième, c'est bien grâce au 10 commandement que j'y suis arrivé, c'est au moment ou j'ai cité " Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain " que je me suis souvenu ou j'avais laissé mon vélo !
Le père Martin est un curé très « nouvelle vague ». Diplômé de sociologie avant d’avoir fait ses études de théologie, il est aussi golfeur impénitent.
Aussi, un dimanche matin du mois de mai, alors que le soleil dardait ses rayons de façon arrogante, le père Martin décida qu’il irait jouer au golf aujourd’hui !
Ça tombait plutôt bien, puisqu’un jeune futur curé qui finissait son cursus au séminaire était là pour un stage. Alors il dit à son stagiaire qu’il se sent patraque et incapable de dire la messe, et l’encourage très fortement à le remplacer.
Puis, le père Martin prend ses clubs et ses claques et fonce en direction du terrain de golf (situé à plus de 50 km, ce qui lui évitait le stress de rencontrer quelqu’un de la paroisse).
Alors que le curé est sur le green (désert en ce dimanche matin), en train de poser son premier tee, Sаinт Pierre qui observait ça du coin de son œil céleste se tourne vers Dieu et lui dit :
- Seigneur, vous n’allez tout de même pas le laisser continuer comme ça ?
Alors Dieu qui regardait lui aussi tout ça avec amusement répond :
- Non, non. Rassure-toi.
Au même moment, le père Martin frappe la ваllе grâce à un formidable swing. La ваllе s’élève directement dans la direction du deuxième trou… et vient retomber directement dans le trou ! Un trou en un de 400 mètres !
Saint-Pierre est super étonné :
- Mais pourquoi lui avoir permis de réussir un tel coup ?
Et en souriant Dieu répond :
- À qui va-t-il pouvoir en parler ?
Monsieur le curé fait son petit tour à vélo dans le village, lorsqu’il croise Robert, un vagabond un peu jardinier, un peu braconnier, et très bricoleur, qui ne met jamais les pieds à l’église.
- Robert, je t’attends demain au confessionnal ! Ca fait bien vingt ans que je ne t’ai pas vu dans la Maison de Dieu… Tu dois en avoir des choses à raconter !
Robert, pas enthousiaste du tout à cette idée accepte malgré tout l’invitation. Le lendemain dans le confessionnal, Monsieur le Curé commence l’interrogatoire :
- Alors Robert, raconte-moi un peu tes péchés. Tu as bien du en faire des bêtises depuis ta Communion Solennelle…
- Ben, heu… oui. J’ai volé un peu de bois chez le charpentier, répond Robert honteux.
- Un peu de bois, ça veut dire combien ?
- Ben, juste assez pour construire un chenil à mon chien.
- Hmmm… Ca va encore dans ce cas.
Robert continue :
- Il me restait un peu de bois, alors je me suis construit une remise pour mes outils…
- Ah ! C’est un peu plus sérieux alors.
- Monsieur le curé… il me restait encore un peu de bois après la remise, alors j’en ai profité pour construire un garage…
Là, le curé marque une pause, puis il dit :
- Ca c’est quand même beaucoup plus grave. Pour ça, j’ai bien peur que tu doives me faire une neuvaine.
- Monsieur le curé, je ne sais pas trop ce que c’est qu’une neuvaine, mais si vous me donnez les plans, moi, j’ai le bois…
Un pasteur protestant, un prêtre et un rabbin décident d’aller faire une ballade par un beau dimanche d’été. Il fait très très chaud et les trois amis sont épuisés et en sueur lorsqu’ils arrivent sur les berges d’un petit lac aux eaux claires.
L’endroit étant vraiment retiré de tout, ils n’hésitent pas une seule seconde et retirent tous leurs vêtements avant d’aller « piquer une tête » dans le lac.
S’étant bien rafraîchi, le trio sort de l’eau et entreprend de ramasser quelques myrtilles, toujours en tenue d’Adam… Seulement, alors qu’ils arrivent dans une clairière, ils tombent nez à nez avec un groupe d’une dizaine de dames qui visiblement avaient choisi cet endroit comme lieu de randonnée.
Sachant qu’il leur est impossible de retrouver leurs vêtements à temps, le pasteur et le prêtre cachent tant bien que mal leurs « parties » derrière leurs mains. Le rabbin, par contre, se sert de ses mains pour se cacher la face !
Après que les dames aient quitté les lieux et que les trois amis se soient rhabillés, le pasteur et le prêtre s’enquièrent de la réaction de leur confrère rabbin :
- « Pourquoi s’est-il caché le visage, plutôt que ses organes génitaux ? »
Et là le rabbin leur répond :
- « Mes amis, je ne sais pas comment ça se passe chez vous, mais dans ma congrégation, c’est mon visage que les fidèles risqueraient de reconnaître… »
C’est l’histoire de deux gars vraiment toxiques. De vrais pestes qui ne pensent qu’à faire des ennuis aux autres habitants du village !
Mais par contre, ils vont à la messe tous les dimanches et ne sont pas radins quand vient l’heure de la quête car ils espèrent ainsi se racheter de tous leurs pêchés contre leurs concitoyens.
Un beau jour, un des deux frères vient à mourir. La veille des funérailles, le frère resté vivant vient voir le curé et lui dit :
- Je vais vous faire un chèque d’un beau montant qui vous permettra de finir la réfection du clocher… Mais il y a une condition : Pendant l’office, il vous faudra dire que mon frère « était un sаinт ».
Le curé lui dit que c’est d’accord, et il part encaisser le chèque le jour même.
Le lendemain, au cours de la cérémonie, le curé fait l’éloge funèbre et commence par ces mots :
- « Cet homme était habité par le diавlе. Il trompait sa femme, on l’a soupçonné d’avoir allumé plusieurs incendies dans le village, il était violent… »
Et le laïus continue quelques minutes, jusqu’à ce que le curé conclut :
- « …Mais comparé à son frère, cet homme était un sаinт ! »
Ça se passe dans une petite ville de province. Une grenouille de bénitier vient voir son curé après la messe et lui dit :
- Monsieur le curé, il faudrait faire quelque chose pour Madame Léger, vous savez, celle que son mari a laissé tomber avec trois enfants sur les bras, pour aller en voir une autre… La pauvre, comme si ça ne suffisait pas, voilà qu’elle n’arrive plus à payer ses loyers…
Le curé :
- Hmmm, quelle tristesse. Je vais voir ce que la paroisse peut faire pour elle. De combien aurait-elle besoin ?
La bigote :
- Ben, je sais qu’elle a trois loyers de 600 euros en rетаrd… C’est ce qu’il faudrait lui avancer.
Le curé :
- 1800 euros ! Bon, eh bien nous essaierons de mettre le reste des fidèles à contribution. Après tout, un peu de charité chrétienne ne fera de mal à personne. Mais dites-moi, comment êtes-vous au courant des difficultés de Madame Léger ? Vous êtes une voisine, ou bien peut-être de sa famille ?
L’autre :
- Non non, je suis sa propriétaire.