Deux curés se croisent chaque dimanche à vélo à la sortie de leurs messes respectives. Un jour l'un d'entre eux est à pied. Le deuxième lui demande :
- Eh bien où est votre vélo ?
- On me l'a volé, et je ne sais pas qui a pu faire ça !
- J'ai une idée, dit le premier, à la prochaine messe, vous citez les 10 commandements, et arrivé au passage de " tu ne voleras point " vous marquez une pause et vous regardez le public, je suis sûr que le coupable va se dénoncer.
Le dimanche suivant, les deux curés se croisent à nouveau sur leurs vélos.
Le premier dit :
- Ah ! Je vois que vous avez récupéré votre vélo, mon conseil a marché.
- Pas exactement, réponds le deuxième, c'est bien grâce au 10 commandement que j'y suis arrivé, c'est au moment ou j'ai cité " Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain " que je me suis souvenu ou j'avais laissé mon vélo !
Le père Martin est un curé très « nouvelle vague ». Diplômé de sociologie avant d’avoir fait ses études de théologie, il est aussi golfeur impénitent.
Aussi, un dimanche matin du mois de mai, alors que le soleil dardait ses rayons de façon arrogante, le père Martin décida qu’il irait jouer au golf aujourd’hui !
Ça tombait plutôt bien, puisqu’un jeune futur curé qui finissait son cursus au séminaire était là pour un stage. Alors il dit à son stagiaire qu’il se sent patraque et incapable de dire la messe, et l’encourage très fortement à le remplacer.
Puis, le père Martin prend ses clubs et ses claques et fonce en direction du terrain de golf (situé à plus de 50 km, ce qui lui évitait le stress de rencontrer quelqu’un de la paroisse).
Alors que le curé est sur le green (désert en ce dimanche matin), en train de poser son premier tee, Sаinт Pierre qui observait ça du coin de son œil céleste se tourne vers Dieu et lui dit :
- Seigneur, vous n’allez tout de même pas le laisser continuer comme ça ?
Alors Dieu qui regardait lui aussi tout ça avec amusement répond :
- Non, non. Rassure-toi.
Au même moment, le père Martin frappe la ваllе grâce à un formidable swing. La ваllе s’élève directement dans la direction du deuxième trou… et vient retomber directement dans le trou ! Un trou en un de 400 mètres !
Saint-Pierre est super étonné :
- Mais pourquoi lui avoir permis de réussir un tel coup ?
Et en souriant Dieu répond :
- À qui va-t-il pouvoir en parler ?
Monsieur le curé fait son petit tour à vélo dans le village, lorsqu’il croise Robert, un vagabond un peu jardinier, un peu braconnier, et très bricoleur, qui ne met jamais les pieds à l’église.
- Robert, je t’attends demain au confessionnal ! Ca fait bien vingt ans que je ne t’ai pas vu dans la Maison de Dieu… Tu dois en avoir des choses à raconter !
Robert, pas enthousiaste du tout à cette idée accepte malgré tout l’invitation. Le lendemain dans le confessionnal, Monsieur le Curé commence l’interrogatoire :
- Alors Robert, raconte-moi un peu tes péchés. Tu as bien du en faire des bêtises depuis ta Communion Solennelle…
- Ben, heu… oui. J’ai volé un peu de bois chez le charpentier, répond Robert honteux.
- Un peu de bois, ça veut dire combien ?
- Ben, juste assez pour construire un chenil à mon chien.
- Hmmm… Ca va encore dans ce cas.
Robert continue :
- Il me restait un peu de bois, alors je me suis construit une remise pour mes outils…
- Ah ! C’est un peu plus sérieux alors.
- Monsieur le curé… il me restait encore un peu de bois après la remise, alors j’en ai profité pour construire un garage…
Là, le curé marque une pause, puis il dit :
- Ca c’est quand même beaucoup plus grave. Pour ça, j’ai bien peur que tu doives me faire une neuvaine.
- Monsieur le curé, je ne sais pas trop ce que c’est qu’une neuvaine, mais si vous me donnez les plans, moi, j’ai le bois…
C’est l’histoire d’une jeune fille très jolie qui était sur le point de se marier à un jeune garçon, très beau lui aussi, mais surtout pudique et très vieux jeux. Le jeune garçon avait juré de rester vierge jusqu’au mariage. D’après lui, les futurs époux se devaient de rester purs jusqu’au passage devant monsieur le curé.
A l’approche de la cérémonie, la jeune fille se fait un peu de mouron car il y a belle lurette qu’elle a perdu son pucelage… Elle demande conseil à sa mère sur ce qu’elle pourrait faire pour que son mari ne se rende compte de rien…
Sa maman lui répond :
- Rassure-toi ma fille ; puisqu’il est encore puceau, il ne saura pas faire la différence. Avant ta nuit de noces, tu auras pris soin de te procurer un peu de foie de veau chez ton boucher et puis au moment fatidique, tu sais ce que tu devras faire, je ne te fais pas de dessin…
Et la fille trouve l’idée tout à fait valable, aussi, elle décida de l’appliquer. La cérémonie de mariage fut formidable, la réception exceptionnelle, et vint le moment de la nuit de noces.
A l’hôtel, la jeune femme se prépare en utilisant le foie de veau comme convenu, puis elle rejoint son mari dans le lit où les deux amants passent une folle nuit d’amour.
Le lendemain matin, la jeune épouse se réveille seule dans le lit. Cependant, sur la table de la chambre, un bouquet de roses et un petit mot l’attendent :
- « Ma chérie, quelle formidable expérience avons nous vécue cette nuit. Je ne savais pas à côté de quoi je passais pendant toutes ces années. Tu m’as rendu le plus heureux des hommes et je ne peux imaginer vivre un plus grand amour. Je suis sorti faire une course urgente et je reviens dans moins d’une heure. Tu ne peux pas imaginer ma joie quand je me suis rendu compte que pour toi aussi, c’était la première fois !
Je t’aime.
P. S. J’ai placé ton hyмеn dans l’évier. »
C’est l’histoire de deux gars vraiment toxiques. De vrais pestes qui ne pensent qu’à faire des ennuis aux autres habitants du village !
Mais par contre, ils vont à la messe tous les dimanches et ne sont pas radins quand vient l’heure de la quête car ils espèrent ainsi se racheter de tous leurs pêchés contre leurs concitoyens.
Un beau jour, un des deux frères vient à mourir. La veille des funérailles, le frère resté vivant vient voir le curé et lui dit :
- Je vais vous faire un chèque d’un beau montant qui vous permettra de finir la réfection du clocher… Mais il y a une condition : Pendant l’office, il vous faudra dire que mon frère « était un sаinт ».
Le curé lui dit que c’est d’accord, et il part encaisser le chèque le jour même.
Le lendemain, au cours de la cérémonie, le curé fait l’éloge funèbre et commence par ces mots :
- « Cet homme était habité par le diавlе. Il trompait sa femme, on l’a soupçonné d’avoir allumé plusieurs incendies dans le village, il était violent… »
Et le laïus continue quelques minutes, jusqu’à ce que le curé conclut :
- « …Mais comparé à son frère, cet homme était un sаinт ! »
Ça se passe dans une petite ville de province. Une grenouille de bénitier vient voir son curé après la messe et lui dit :
- Monsieur le curé, il faudrait faire quelque chose pour Madame Léger, vous savez, celle que son mari a laissé tomber avec trois enfants sur les bras, pour aller en voir une autre… La pauvre, comme si ça ne suffisait pas, voilà qu’elle n’arrive plus à payer ses loyers…
Le curé :
- Hmmm, quelle tristesse. Je vais voir ce que la paroisse peut faire pour elle. De combien aurait-elle besoin ?
La bigote :
- Ben, je sais qu’elle a trois loyers de 600 euros en rетаrd… C’est ce qu’il faudrait lui avancer.
Le curé :
- 1800 euros ! Bon, eh bien nous essaierons de mettre le reste des fidèles à contribution. Après tout, un peu de charité chrétienne ne fera de mal à personne. Mais dites-moi, comment êtes-vous au courant des difficultés de Madame Léger ? Vous êtes une voisine, ou bien peut-être de sa famille ?
L’autre :
- Non non, je suis sa propriétaire.
Un missionnaire belge vient de passer plusieurs années dans la jungle africaine, essayant d’apprendre aux pygmées à cultiver et construire, lorsque ses autorités religieuses l’informent que sa mission est terminée et qu’il est temps de rentrer.
À ce moment, il se rend compte qu’il n’a jamais cherché à apprendre une autre langue aux autochtones : il a toujours communiqué avec eux dans leur langue. Cherchant à combler cette lacune, il décide d’enseigner rapidement la langue française à toute la tribu, et il commence par le chef.
Le missionnaire lui montre un arbre « ceci est un arbre ».
Le chef regarde l’arbre et grogne « ARBRE ».
Ils marchent un peu plus lоin, et le curé lui montre le fleuve « Ceci est un fleuve ».
Le chef regarde l’eau qui coule et grogne « FLEUVE ».
Le prêtre est vraiment content du résultat car le chef semble apprendre très très vite la langue française. Mais soudain on entend un bruissement dans les buissons. Le prêtre, se mettant sur la pointe des pieds, aperçoit une femme et un homme, nus, en train de faire l’amour.
Alors le missionnaire, encore coincé dans un puritanisme inculqué lors de ses années passées au séminaire dit au chef pygmée en rougissant « Ils font du vélo ».
Le chef, trop petit pour voir ce dont il s’agit, fait le tour du buisson pour se rendre compte, et voyant la scène de plus près, il prend sa lance et transperce tour à tour les corps de chacun des deux amoureux !
Voyant le carnage, le missionnaire se met à crier, rempli du désespoir de n’avoir pas su donner une morale, des principes, les bases d’une vie civilisée à ses pygmées. Il engueule le chef dans sa langue natale :
- J’ai passé tant d’années à vous enseigner ce qu’était la vie civilisée. Je pensais avoir réussi, mais ton acte me prouve que rien de ce que je vous ai enseigné n’a porté ses fruits ! Peux-tu me dire pourquoi tu as tué cette femme et cet homme de sang froid ?
Et le chef répond en pointant son index sur sa poitrine :
- Mon vélo !