C’est un petit garçon qui se rend au confessionnal :
- Eh bien voilà, mon père, je m’accuse de m’être livré, surtout le soir, aux plaisirs solitaires.
- Mon enfant, dit le curé, c’est une très mauvaise habitude pour deux raisons. La première, c’est que ça fait perdre la mémoire, la deuxième, la deuxième… Меrdе, j’ai oublié !
C’est un paysan qui s’est inscrit à la chorale du curé et qui explique à son voisin :
- Ça, сré bon dieu, je n’regrette pas d’avoir été m’inscrire à la chorale du curé. Ah ça ! c’est drôlement bien ! Quand on y va, le curé, il est gentil, il nous sert un petit porto. Et puis il est bon, son petit porto… Les curés, comme qui dirait, ils se démerdent toujours pour avoir des bons trucs. Après, il nous sert un petit mousseux. De temps en temps, on s’en ouvre même une caisse… quand ce n’est pas un petit blanc du Poitou, alors c’est vous dire ! Pis pour finir, des fois, on s’tape un petit marc de Bourgogne…
- Mais alors, vous chantez quand ?
- Ben le soir, quand on rentre chez nous !
Un bistrot en zone occupée, en 1943. Le propriétaire a un perroquet qui crie tout le temps :
- À mort les Boches ! A mort, sales Boches !
Au début, les Allemands du coin s'amusent :
- Ach, das ist ein lustiger Papagai !
Mais à la fin cela les énerve et le feldwebel dit au gargotier :
- Si demain le perroquet recommence à nous traiter de sales Boches, tu seras fusillé avec lui !
Le cafetier prend son perroquet et va chez le curé, qui lui propose de faire un échange avec le sien, de la même espèce.
Le lendemain soir, les Allemands sont là et le perroquet reste silencieux. C'est comme cela tous les jours mais au bout de quelques semaines les Allemands regrettent les injures du perroquet. Ils commencent à lui parler et à lui demander de parler :
- Dis-nous encore à mort les Boches ! Papagai ! Sales Boches ! Sales Boches !
Finalement, le perroquet les regarde calmement et leur crie :
- Que Dieu vous entende, mes fils !
Un jour, un curé s’est engagé dans une course, sur son âne nommé « CUL », et il a gagné. Le curé était tellement content de son âne qu'il s’est engagé de nouveau dans une autre course et il a gagné encore une fois.
Le journal local a écrit en première page :
- « Le cul du curé va de l'avant ».
L’évêque était tellement contrarié par ce genre de publicité qu'il a ordonné au curé de ne pas inscrire l'âne dans une autre course.
- « LE CUL DU CURÉ DÉPLAIT À L’ÉVÊQUE » a titré le journal ; C'en était trop pour l'évêque alors il ordonna au curé de se débarrasser de l'âne.
Le curé a décidé de le donner à une religieuse dans un couvent proche. Le journal local, entendant la nouvelle, a posté le titre suivant le lendemain :
- « Une nonne a le meilleur cul de la ville. »
L'évêque s'est évanoui... Il a informé la religieuse qu'elle devrait se débarrasser de l'âne, alors elle l'a vendu à une ferme pour 10 €.
Le lendemain, le journal disait :
- « Une nonne vend son cul pour 10 € »
C'en était trop pour l'évêque alors il a ordonné à la religieuse de racheter l'âne et de le conduire dans les plaines où il pourrait courir à l’état sauvage.
Le lendemain, les titres se lisaient comme suit :
- « La nonne annonce que son cul est libre et à l’état sauvage. »
L'évêque a été enterré le lendemain.
La morale de l'histoire :
Être préoccupé par l'opinion publique peut vous apporter beaucoup de chagrin et de misère… Et même, raccourcir votre vie. Alors soyez vous-même et profitez de la vie. Arrêtez de vous inquiéter pour le cul des autres, occupez-vous juste de vos propres fesses ! Vous vivrez plus longtemps !
A l’approche de l’hiver, le curé d’une petite paroisse se dit que si son chauffage ne marche pas parfaitement, il n’aura plus personne à la messe.
Il convoque donc le chauffagiste et lui demande de réviser toute son installation. Le gars commence donc son travail en inspectant les tuyauteries.
Alors qu’il se trouve derrière un des autels, il aperçoit une vieille bigote acariâtre en train d’égrainer un rosaire. Et bien évidemment, Sатаn inspire alors au chauffagiste une idée de blague...
Toujours caché derrière l’autel, le gars prend sa voix la plus grave, il fait :
- Je suis Jésus Сhrisт, Fils de Dieu. Tes prières vont être exaucées...
Mais la petite vieille ne bouge pas d’un cil et continue son rosaire.
Le gars insiste en forçant la voix :
- Je suis Jésus Сhrisт, le Fils de Dieu ! Je vais exaucer tes prières !
Toujours rien... La vieille est toujours le nez dans son rosaire
Cette fois-ci, le gars hurle carrément :
- Je suis jesus-сhrisт, le fils de dieu ! Je vais exaucer tes prieres !
Là, la vieille bigote tourne la tête vers le сruсifix et lance :
- Tu vas te taire, petit impertinent ? c’est a ta mere que je parle !
Le nouveau prêtre de la paroisse était très nerveux à l’idée de faire son premier sermon. Il demanda à son supérieur ce qu’il pourrait faire pour ne pas être trop nerveux lors de la messe. Ce dernier lui répondit de verser quelques gouttes de vоdка dans son verre d’eau.
Après la messe, le jeune prêtre trouva dans sa boîte aux lettres un petit mot de son supérieur, qui disait ceci :
- « J’ai quelques observations à faire concernant votre sermon :
- La prochaine fois, il faut mettre quelques gouttes de vоdка dans l’eau et non pas un peu d’eau dans la vоdка.
- Il ne faut pas mettre du sel et du citron au bord du verre. Ni de petit parasol en papier pour faire joli.
- Le manteau du Сhrisт n’est pas une serviette.
- Il y a 10 commandements et non pas 100.
- Les apôtres étaient 12 et non pas 10, et Мiск Jagger n’en faisait pas partie.
- On ne dit pas non plus (en se référant a notre Seigneur Jésus Сhrisт et ses apôtres) « JC et sa bande ».
- On ne termine pas le sermon avec un gros rot.
- On ne chante pas « Dominique nique nique » pendant l’office en riant bêtement.
- On ne dit pas aux paroissiens avant la communion :
- « T’en veux ? J’en ai et c’est de la воnnе ».
- Le Pape est sасré et on ne le surnomme pas « Le Parrain » ni « Le James Brown de la Chrétienté ».
- Le confessionnal n’est pas un WC.
- Le Magnificat n’est pas un morceau de ZZ-Top.
- Les sermons parlent uniquement de religion, pas de foot ni de bagnoles, et ne contiennent pas de blagues de cul.
- Sаinте Marie-Madeleine n’était pas une pétasse, ni la meuf de J. C.
- La prière consacrée à la Sаinте Vierge se lit « Je vous salue Marie pleine de grâce » et pas « pleine de Juana ».
- Il ne faut pas essayer d’utiliser la croix sur l’autel comme pompe à bière : ca ne marche pas.
- Bruce Willis et Sharon Stone n’étaient pas présents quand le Сhrisт a été mis en croix.
- Le Sporting d’Anderlecht n’est pas le peuple élu.
- On invite les fidèles à l’office de la semaine prochaine et pas à la rave-party de dimanche prochain au même endroit.
- Judаs a donné un baiser à Jésus, il ne baisait pas avec.
- Les trente deniers, ce n’était pas forcément pour se bourrer la gueule.
- L’encens ne se fume pas ni ne se sniffe, et encore moins devant 200 fidèles.
- Il n’y avait pas non plus de Coffee Shop à Nazareth.
- Le produit de la quête ne sert pas à payer une tournée générale aux paroissiens.
- Merci également de veiller à ne pas parler de que-quête en constatant le nombre de pièces de 1 Euro.
- Jésus Сhrisт est entré à Jérusаlем en triomphe et en est sorti avec forte escorte; il n’y est pas entré en Triumph Spitfire pour en ressortir avec une Ford Еsсоrт. Jésus n’avait pas de voiture.
- On ne vомiт pas dans le seau d’eau bénite et si on se trouve mal malgré tout, on n’asperge pas les paroissiens avec le goupillon après (cet objet porte d’ailleurs un nom qui n’est pas « cette espèce de brosse de cabinet »).
- Et enfin, la Drag Queen au fond à droite, c’était moi !!! »
Un juif religieux se demande un jour si les relations sexuelles sont vraiment compatibles avec le Shabbat. Il a peur que ce soit un péché, n'étant pas absolument sûr que ce soit un jeu et non un travail.
Son voisin de palier est un prêtre catholique, et il va lui demander ce qu'il en pense. Le prêtre réfléchit quelques instants, consulte plusieurs ouvrages aussi volumineux que poussiéreux et finit par lui répondre :
- Mon fils, tout ce que j'ai trouve concorde à laisser penser que l'œuvre de chair étant un devoir, c'est assimilé à un travail. J'ai bien peur que vous ne puissiez donc la pratiquer durant le Shabbat.
Un peu refroidi, l'homme se dit in petto :
- Pufff… Qu'est-ce que je suis bête d'être allé poser cette question à un prêtre catholique. Qu'est-ce qu'il sait sur le sexe, après tout ?
Il décide donc d'aller demander à un pasteur protestant de ses amis ce qu'il en pense. Après tout, le pasteur est marié, et en sait certainement plus qu'un prêtre voué au célibat. Il va donc le voir et lui demande son avis. Après mûre réflexion et force trifouillages dans des in-folio vénérables, le pasteur lui répond :
- Malgré quelques références contradictoires, je crains que les relations sexuelles ne relèvent du travail, les rendant par la même incompatibles avec le Shabbat.
De plus en plus agité, il décide de faire ce qu'il aurait du faire depuis le début, et interroger le rabbin. Après tout, c'est lui, le spécialiste du Shabbat. Il prend donc son courage à deux mains, traverse la moitié de la ville, et va poser sa question au rabbin.
Le rabbin n'a nul besoin de consulter quelque ouvrage que ce soit. Il lui répond immédiatement :
- Ne t’inquiète pas, il n'y a aucun doute : les relations sexuelles sont un jeu, pas un travail.
Notre homme, soulagé, est tout de même curieux de la raison qui donne une telle certitude au rabbin.
- Mais rabbin, pourquoi êtes vous sûr que c'est un jeu et non un travail, alors que beaucoup d'autres soutiennent le contraire ?
Le Rabbin répond doucement :
- Si c’était un travail, ma femme demanderait à la воnnе de s'en occuper…
C'est l'histoire d'Abraham qui vient d’emménager dans une bourgade très catholique.
Et depuis qu'Abraham s'est installé à côté de l'église, tous les vendredi parmi les grenouilles de bénitier, c'est le branle-bas de combat parce que, au lieu de manger tout bonnement du poisson comme tout le monde, Abraham fait des steaks au barbecue dans son jardin.
Pas décidés à s'en laisser compter, les cathos du coin décident de convertir le juif au catholicisme. C'est dur, mais finalement, à force de menaces et de supplications, ils réussissent ; ils emmènent Abraham chez le curé qui lui balance quelques gouttes d'eau bénite sur le crâne et qui psalmodie :
- « Tu es né juif
Tu as été élevé comme un juif
Tu es maintenant un catholique. »
À la fin de la cérémonie, c'est la liesse parmi les cathos. Ils pensent :
- « Enfin ! Nous n'aurons plus à respirer ces odeurs de viande grillée le jour du poisson ! »
Mais le vendredi suivant, l'odeur du barbecue et de la viande grillée flotte dans tout le voisinage. Tous les cathos foncent directement chez Abraham pour lui rappeler à quel régime alimentaire il est censé souscrire le vendredi… Et ils le voient dans le jardin, en train d'arroser une entrecôte d'un peu d'eau et disant :
- « Tu es né vache
Tu as été élevé comme une vache
Tu es maintenant du poisson. »
C'est une bigote qui s'en va voir son curé :
- « Mon père, j'ai un problème. Je viens d'acheter deux perroquets femelles, mais ils ne savent dire qu'une seule chose... »
- « Et que disent-ils ? » demande le prêtre.
- « La seule chose qu'elles savent dire c'est : Salut, nous sommes des prostituées. Ça te dirait de prendre ton pied ? » « C'est terrible ! » s'exclame le prêtre. « Mais j'ai la solution à votre problème. Vous savez que j'ai moi aussi deux perroquets, mais les miens sont des mâles. Amenez-moi vos deux perroquettes, je les mettrais avec les miens. Comme je leur ai appris à prier et à lire la bible, mes perroquets apprendront à vos perroquettes les bonnes manières. Et ainsi vos perroquettes ne diront plus ces phrases dégoûtantes, mais prieront avec dévotion. »
- « Merci M. le curé » dit la dame, toute rassurée.
Alors le lendemain, la dame amène ses perroquettes chez le prêtre. Les perroquets du prêtre sont dans leur cage, en train de prier avec leur rosaire entre les pattes et le perchoir.
La dame fait alors rentrer ses perroquettes dans la cage des deux mâles. Naturellement, les deux perroquettes lancent :
- « Salut, nous sommes des prostituées. Ça vous dirait de prendre votre pied ? »
Et un des deux perroquets mâle regarde alors son copain et lui dit :
- « Hé, tu peux balancer ta bible maintenant ! Nos prières ont été exaucées ! »
C'est dimanche, et le Père Barnabé a décidé de frapper un grand coup : à l'heure de la messe, il rentre dans le café du village et s'adresse à un des maris accoudés au bar (un de ceux qui n'ont pas accompagné leur femme à l'église) :
- Dis moi Gilbert, n'as-tu pas envie d'aller au Paradis ?
- Si bien sûr Monsieur le curé, répond Gilbert.
- Alors mets-toi là contre ce mur.
Puis le père Barnabé s'adresse à un deuxième gars :
- Et toi Maurice, n'as-tu pas envie d'aller au Paradis ?
- Ben... si mon père..., répond Maurice.
- Alors mets-toi là aussi contre le mur.
Enfin le père Barnabé s'adresse à Raymond, le mari de d'Henriette, celui « Qu'est un peu simplet » :
- Et toi Raymond, Dis moi, n'as-tu pas envie d'aller au Paradis ?
- Ah ça non m'sieur l'curé !
- Quoi ? Tu veux dire qu'à l'heure de ta mort ça ne te feras rien de ne pas aller au Paradis rejoindre ta famille et tous ceux que tu aimes ?
Et là Raymond répond :
- Oh si, bien sûr. Si c'est pour quand je mourrai, ça va. Je croyais que vous formiez un groupe pour partir maintenant...