Un jour, un curé s’est engagé dans une course, sur son âne nommé « CUL », et il a gagné. Le curé était tellement content de son âne qu'il s’est engagé de nouveau dans une autre course et il a gagné encore une fois.
Le journal local a écrit en première page :
- « Le cul du curé va de l'avant ».
L’évêque était tellement contrarié par ce genre de publicité qu'il a ordonné au curé de ne pas inscrire l'âne dans une autre course.
- « LE CUL DU CURÉ DÉPLAIT À L’ÉVÊQUE » a titré le journal ; C'en était trop pour l'évêque alors il ordonna au curé de se débarrasser de l'âne.
Le curé a décidé de le donner à une religieuse dans un couvent proche. Le journal local, entendant la nouvelle, a posté le titre suivant le lendemain :
- « Une nonne a le meilleur cul de la ville. »
L'évêque s'est évanoui... Il a informé la religieuse qu'elle devrait se débarrasser de l'âne, alors elle l'a vendu à une ferme pour 10 €.
Le lendemain, le journal disait :
- « Une nonne vend son cul pour 10 € »
C'en était trop pour l'évêque alors il a ordonné à la religieuse de racheter l'âne et de le conduire dans les plaines où il pourrait courir à l’état sauvage.
Le lendemain, les titres se lisaient comme suit :
- « La nonne annonce que son cul est libre et à l’état sauvage. »
L'évêque a été enterré le lendemain.
La morale de l'histoire :
Être préoccupé par l'opinion publique peut vous apporter beaucoup de chagrin et de misère… Et même, raccourcir votre vie. Alors soyez vous-même et profitez de la vie. Arrêtez de vous inquiéter pour le cul des autres, occupez-vous juste de vos propres fesses ! Vous vivrez plus longtemps !

Le nouveau prêtre de la paroisse était très nerveux à l’idée de faire son premier sermon. Il demanda à son supérieur ce qu’il pourrait faire pour ne pas être trop nerveux lors de la messe. Ce dernier lui répondit de verser quelques gouttes de vоdка dans son verre d’eau.
Après la messe, le jeune prêtre trouva dans sa boîte aux lettres un petit mot de son supérieur, qui disait ceci :
- « J’ai quelques observations à faire concernant votre sermon :
- La prochaine fois, il faut mettre quelques gouttes de vоdка dans l’eau et non pas un peu d’eau dans la vоdка.
- Il ne faut pas mettre du sel et du citron au bord du verre. Ni de petit parasol en papier pour faire joli.
- Le manteau du Сhrisт n’est pas une serviette.
- Il y a 10 commandements et non pas 100.
- Les apôtres étaient 12 et non pas 10, et Мiск Jagger n’en faisait pas partie.
- On ne dit pas non plus (en se référant a notre Seigneur Jésus Сhrisт et ses apôtres) « JC et sa bande ».
- On ne termine pas le sermon avec un gros rot.
- On ne chante pas « Dominique nique nique » pendant l’office en riant bêtement.
- On ne dit pas aux paroissiens avant la communion :
- « T’en veux ? J’en ai et c’est de la воnnе ».
- Le Pape est sасré et on ne le surnomme pas « Le Parrain » ni « Le James Brown de la Chrétienté ».
- Le confessionnal n’est pas un WC.
- Le Magnificat n’est pas un morceau de ZZ-Top.
- Les sermons parlent uniquement de religion, pas de foot ni de bagnoles, et ne contiennent pas de blagues de cul.
- Sаinте Marie-Madeleine n’était pas une pétasse, ni la meuf de J. C.
- La prière consacrée à la Sаinте Vierge se lit « Je vous salue Marie pleine de grâce » et pas « pleine de Juana ».
- Il ne faut pas essayer d’utiliser la croix sur l’autel comme pompe à bière : ca ne marche pas.
- Bruce Willis et Sharon Stone n’étaient pas présents quand le Сhrisт a été mis en croix.
- Le Sporting d’Anderlecht n’est pas le peuple élu.
- On invite les fidèles à l’office de la semaine prochaine et pas à la rave-party de dimanche prochain au même endroit.
- Judаs a donné un baiser à Jésus, il ne baisait pas avec.
- Les trente deniers, ce n’était pas forcément pour se bourrer la gueule.
- L’encens ne se fume pas ni ne se sniffe, et encore moins devant 200 fidèles.
- Il n’y avait pas non plus de Coffee Shop à Nazareth.
- Le produit de la quête ne sert pas à payer une tournée générale aux paroissiens.
- Merci également de veiller à ne pas parler de que-quête en constatant le nombre de pièces de 1 Euro.
- Jésus Сhrisт est entré à Jérusаlем en triomphe et en est sorti avec forte escorte; il n’y est pas entré en Triumph Spitfire pour en ressortir avec une Ford Еsсоrт. Jésus n’avait pas de voiture.
- On ne vомiт pas dans le seau d’eau bénite et si on se trouve mal malgré tout, on n’asperge pas les paroissiens avec le goupillon après (cet objet porte d’ailleurs un nom qui n’est pas « cette espèce de brosse de cabinet »).
- Et enfin, la Drag Queen au fond à droite, c’était moi !!! »
Un juif religieux se demande un jour si les relations sexuelles sont vraiment compatibles avec le Shabbat. Il a peur que ce soit un péché, n'étant pas absolument sûr que ce soit un jeu et non un travail.
Son voisin de palier est un prêtre catholique, et il va lui demander ce qu'il en pense. Le prêtre réfléchit quelques instants, consulte plusieurs ouvrages aussi volumineux que poussiéreux et finit par lui répondre :
- Mon fils, tout ce que j'ai trouve concorde à laisser penser que l'œuvre de chair étant un devoir, c'est assimilé à un travail. J'ai bien peur que vous ne puissiez donc la pratiquer durant le Shabbat.
Un peu refroidi, l'homme se dit in petto :
- Pufff… Qu'est-ce que je suis bête d'être allé poser cette question à un prêtre catholique. Qu'est-ce qu'il sait sur le sexe, après tout ?
Il décide donc d'aller demander à un pasteur protestant de ses amis ce qu'il en pense. Après tout, le pasteur est marié, et en sait certainement plus qu'un prêtre voué au célibat. Il va donc le voir et lui demande son avis. Après mûre réflexion et force trifouillages dans des in-folio vénérables, le pasteur lui répond :
- Malgré quelques références contradictoires, je crains que les relations sexuelles ne relèvent du travail, les rendant par la même incompatibles avec le Shabbat.
De plus en plus agité, il décide de faire ce qu'il aurait du faire depuis le début, et interroger le rabbin. Après tout, c'est lui, le spécialiste du Shabbat. Il prend donc son courage à deux mains, traverse la moitié de la ville, et va poser sa question au rabbin.
Le rabbin n'a nul besoin de consulter quelque ouvrage que ce soit. Il lui répond immédiatement :
- Ne t’inquiète pas, il n'y a aucun doute : les relations sexuelles sont un jeu, pas un travail.
Notre homme, soulagé, est tout de même curieux de la raison qui donne une telle certitude au rabbin.
- Mais rabbin, pourquoi êtes vous sûr que c'est un jeu et non un travail, alors que beaucoup d'autres soutiennent le contraire ?
Le Rabbin répond doucement :
- Si c’était un travail, ma femme demanderait à la воnnе de s'en occuper…