Les 21 raisons qui font qu'un film américain est un film américain :
1- Dans une maison hantée, les femmes recherchent toujours l'origine des bruits étranges en portant leurs plus beaux sous-vêtements.
2- Pourchassé dans une ville, vous aurez toujours la chance de pouvoir vous dissimuler au milieu d'un défilé de la Sаinт Patrick (fête Irlandaise où l'on se démonte! Une воnnе raison aussi pour faire la fête, mais on s'éloigne du sujet).
3- Tous les lits ont des draps spéciaux qui s'arrêtent au niveau des aisselles pour la femme, mais seulement au niveau de la taille de l'homme allongé à ces côtés.
4- N'importe qui peut facilement faire décoller un avion, pourvu qu'il y ait quelqu'un dans la tour contrôle pour lui donner l'autorisation de partir.
5- Le système de ventilation de n'importe quel bâtiment est le parfait endroit pour se cacher. La personne ne pensera pas à vous trouver et en plus, vous pourrez accéder à toutes les pièces de l'édifice sans aucun problème.
6- Vous survivrez très probablement à toutes les guerres, à moins que vous ne commettiez la fatale erreur de montrer à quelqu'un la photo de votre bien-aimée qui vous attend sagement à la maison.
7- Un homme se prendra les plus terribles coups sans broncher, mais sursautera quand une femme tentera de nettoyer ses blessures.
8- Le chef de la police est toujours Noir. Le premier mort est toujours un noir dans les films datant d'avant 1990. Depuis, il ne meurt plus grâce à son copain blanc le héros du film, auquel il aura également sauvé la vie, mais c'est toujours pas lui qui emballe ni la meuf, ni le cachet.
9- Au moment de payer le taxi, ne regardez jamais dans votre portefeuille pour sortir un billet, prenez un billet au hasard et tendez-le. C'est toujours le prix exact !
10- Les cuisines ne sont pas équipées de lumières. Quand vous pénétrez dans une cuisine en pleine nuit, ouvrez le frigo et utilisez sa lumière… >> Cliquez pour lire la suite
Une grande société américaine, développa pour l'air force, un appareil destiné à tester la résistance des cockpits aux impacts en vol avec des volatiles.
Il s'agissait ni plus ni moins qu'un lanceur à gaz pressurisé.
On y introduisait des sacs de sable de différentes tailles et poids, pour vérifier que la verrière de l'avion résistait à l'impact d'oiseaux de différentes tailles.
Lors du développement final de leur train à grande vitesse les belges décidèrent de faire appel à cette société pour leur fournir un exemplaire afin de finir les tests de résistance de la cabine.
Après plusieurs semaine la société américaine reçu un mail de mécontentement dont le dernier paragraphe était :
- Ainsi donc, après avoir suivit toutes vos préconisations et respecté votre cahier des charges, force est de constater que votre lanceur est bien trop puissant. Malgré un réglage de puissance minimum, la vitre de la cabine fut perforée et le projectile s'est encastré de 20 cm dans l'armoire électrique métallique située derrière le conducteur qui fort heureusement ne se trouvait pas sur la trajectoire....
Après quelques échanges de courrier les américains envoyèrent un expert pour valider le test.
L'expérience fut répétée avec le même résultat malheureux.
L'expert resta dubitatif et reparti en concluant "vous recevrez nos conclusions par courrier".
Quelques jours plus таrd l'ingénieur belge responsable du projet reçu un mail laconique :
" Monsieur, suite au rapport de notre expert, nous sommes en mesure de vous affirmer que notre appareil n'est nullement en cause.
Nous comprenons que par souci d'exactitude vous ayez remplacé le projectile par un poulet mort, mais celui ci doit être :
Décongelé. "

Au bord de l'eau dans un petit village côtier mexicain, un bateau rentre au port, ramenant plusieurs thons. L'Américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer :
- Pas très longtemps , répond le Mexicain.
- Mais alors, pourquoi n'êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus, demande l'Américain ?
Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de sa famille. L'Américain demande alors :
- Mais que faites-vous le reste du temps?
- Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin et jouons de la guitare. J'ai une vie bien remplie.
L'Américain l'interrompt :
- J'ai un MBA de l'université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l'argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu'à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l'usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut-être New York, d'où vous dirigeriez toutes vos affaires.
Le Mexicain demande alors :
- Combien de temps cela prendrait-il?
- 15 à 20 ans , répond le banquier américain.
- Et après?
- Après, c'est là que ça devient intéressant , répond l'Américain en riant. Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions .
- Des millions? Mais après?
- Après, vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos petits-enfants, pêcher un peu, faire la siest… >> Cliquez pour lire la suite
C'est Bill Gates qui meurt dans un accident de voiture. Il est accueilli au purgatoire par St Pierre :
- En fait, Bill, je ne sais pas ce que je vais faire de toi. Je ne suis pas sûr si je dois t'envoyer au paradis ou bien en enfer. D'un côté, tu as aidé la société en mettant un ordinateur dans presque tous les foyers américains, mais d'un autre côté, tu as crée cet abominable Windows.
Je vais faire quelque chose que je n'ai jamais fait auparavant : je
Vais te permettre de choisir ou tu veux aller.
Bill Gates répond :
- Quelle est la différence entre l'enfer et le paradis ?
St Pierre lui dit :
- Je veux bien te laisser la possibilité de visiter les deux endroits, si ça peut t'aider dans ta prise de décision.
- Dans ce cas, allons voir l'enfer en premier, propose Gates.
Alors Bill va en enfer. C'était une plage superbe et vierge avec une eau claire avec beaucoup de filles en bikini courant partout, rieuses et offertes. Le soleil brillait et la température était parfaite. Bill en fut ravi.
- C'est le pied ici, dit Bill à St Pierre. Si c'est ça l'enfer, alors je veux voir absolument ce qu'est le paradis?
Le paradis était un endroit perché sur les nuages, avec des anges voletant de-ci de-là, jouant de la harpe et chantant.
C'était beau, mais pas aussi excitant que l'enfer.
Bill réfléchit un instant, puis donna sa décision :
- Hum, je crois que j'aime mieux l'enfer, dit-il à St Pierre.
Alors Bill alla en enfer.
Deux semaines plus таrd, St Pierre décide de rendre visite à l'ancien milliardaire pour voir comment il se portait en enfer.
Lorsqu'il y arriva, il trouva Bill cloué sur un mur, hurlant dans des flammes au fond de caves profondes, se faisant torturer et brûler par des démons.
- Comment ça va ? demanda St Pierre à Bill.
Bill lui répondit :
- C'est atroce! Ça n'a rien à voir avec l'enfer que j'ai visité il y a deux semaines ! Je n’arrive pas à croire ce qui m'arrive ! Qu'est devenu l'autre e… >> Cliquez pour lire la suite