Blagues sur les banques et les banquiers
Un banquier épouse une femme, auparavant mariée 6 fois. Au cours de la nuit de noce, la jeune femme dit à son mari :
- Mon chéri, sois plus doux, s'il te plaît. Je suis vierge.
- Comment ? Mais tu as déjà été mariée 6 fois.
- Oui mais voici l'histoire :
Mon premier mari était psychiatre et se contentait de parler sexe.
Mon deuxième était gynécologue et ne faisait qu'ausculter.
Mon troisième était philatéliste et ne faisait que lécher.
Mon quatrième mari était manager des ventes, disait qu'il connaissait bien le produit, mais ne savait comment l'utiliser.
Le cinquième était fonctionnaire et affirmait qu'il savait ce qu'il fallait faire, mais que ce n'était pas de sa compétence.
Mon sixième mari était informaticien et disait que si tout fonctionne normalement, mieux vaut ne toucher à rien.
Enfin, je t'ai épousé toi, un banquier, pour être certaine de bien me faire baiser !
C'est un vieux billet de 10 FF et un autre de deux cent francs dans le même état d'usure qui se retrouvent au centre de destruction des vieux billets de la Banque de France.
Sur le tapis-roulant qui les amène à la déchiqueteuse, ils discutent de leurs vies respectives. Le billet de 200 évoque ses voyages au travers du pays.
"J'ai eu une assez воnnе vie : Je suis allé à Nice et à Bordeaux, dans les meilleurs restaurants de France, dans les spectacles parisiens, je suis meme parti en croisière en Méditerrannée.
- Pas mal ! T'as vraiment fait du chemin !", dit le billet de dix.
- Ouais, je suis assez content. Et toi?, où as-tu été durant ta vie ?
- Oh, j'ai été à l'église méthodiste, à l'église charismatique, à l'église baptiste, à l'église catholique, à l'église luthérienne...
Et le billet de deux cent dit:
- C'est quoi, une église ?
Pour la première fois de sa vie, Marcel l’agriculteur peut partir en vacances. Il s’en fut voir Salomon, son meilleur ami, et lui tient à peu près ce langage :
- Ecoute Salomon, c’est la première fois de ma vie que je peux partir en vacances. Pour les vaches, je les ai confiées à Martin. Mais j’ai encore un truc précieux et j’ai pas confiance dans les banques. Si je te le confie, tu me promets d’y veiller comme la prunelle de tes yeux ?
- Pas de problème Marcel, mais c’est quoi ?
- C’est ce petit coffret. Et il tend à Salomon un petit coffret, de la taille d’une boîte à cigares.
- Tu peux partir tranquille, et passe de bonnes vacances !
Mais le Salomon, en cette période de sa vie, il crève de faim. Au bout d’une semaine, il ouvre le coffret et là, oh surprise ! c’est un Сhrisт en or massif de воnnе taille. Salomon se dit que c’est vraiment trop соn de mourir de faim à coté d’un Сhrisт en or massif. Il sort son canif, découpe un petit copeau, va le vendre au bijoutier et s’achète à manger pour la semaine.
Au bout d’une semaine, il a toujours aussi faim. N’y tenant plus, il découpe un autre copeau à un autre endroit, va le vendre, et s’achète à manger.
Et le Marcel rentre de vacances. Il file chez le Salomon lui demander son coffret.
- Tu n’as pas perdu mon coffret, Salomon ?
- Non Marcel, le voila. Marcel ouvre le coffret, regarde le сhrisт et dit, mi surpris, mi étonné :
- Il a pas maigri ?
- Ecoute Marcel, tu m’as demandé de le garder, pas de le nourrir.
C’est la rentrée dans une école maternelle de Washington D. C. et, comme il y a beaucoup de nouvelles têtes, la maîtresse demande à chaque enfant de se présenter et de dire ce que font ses parents.
On entend les réponses habituelles : avocat, plombier, pompier…
Seul dans son coin, un élève ne dit rien.
Quand la maîtresse se tourne vers lui, il se lève et dit, les yeux baissés :
“Mon papa est danseur nu dans un cabaret homosexuel. Il se trémousse autour d’un bâton en fer, il enlève ses vêtements devant d’autres messieurs qui lui fourrent des billets de banque dans son slip. Si un monsieur met beaucoup d’argent dans son slip, mon Papa va passer la nuit avec lui dans un hôtel et ils se touchent le zizi.”
La maîtresse est horrifiée, alors à la fin de la classe elle le retient et lui demande :
“C’est vraiment ce que fait ton père pour gagner sa vie ?”
“Non, en fait il travaille pour le Président Bush, mais j’avais trop honte de le dire devant mes copains”.