Blagues sur les fonctionnaires
C'est l'histoire d'un patron qui veut embaucher un comptable.
Il se dit:
" je vais rechercher un militaire. Ce sont des gens rigoureux, disciplinés, etc...".
L'entretien se déroule bien, et, avant de se quitter, le patron demande à l'ancien gradé s'il sait compter.
- Mais oui, bien sûr.
- Allez-y un peu, pour voir.
- Un deux, un deux, un deux ......
Le patron réfléchit et se dit alors:
" je vais plutôt prendre un informaticien : ils sont logiques, intelligents, etc...".
L'entrevue se passe bien, et, à la fin, il pose la même question.
- Pas de problème, répond l'informaticien: zéro un, zéro un, zéro, un, zéro un....
Finalement, le patron a une illumination:
" je vais embaucher un fonctionnaire : ils sont honnêtes, consciencieux, etc...
L'entrevue est vite expédiée, et arrive la fameuse question :
- Oui, évidemment, dit le fonctionnaire : Un, deux, trois...
- Bien, et vous pouvez continuer ?
- Quatre, cinq, six, sept, huit.
- Super ! Encore un peu ?
- Neuf, dix, valet, dame, roi ...
Un homme, qui n’a pas posté à temps sa déclaration de revenus, cherche comment justifier ce rетаrd pour échapper à la pénalité de 10%.
- Tu pourrais, suggère sa femme, raconter à l’inspecteur des contributions, que tu avais laissé ta déclaration sur la table et que le chien des voisins, qui poursuivait notre chat, l’a mise en pièces et que, juste à ce moment, une tempête s’est levée et…
- Arrête, fait le mari. Ils ne croiront jamais ça. Non, je vais plutôt leur dire que j’ai mis ma déclaration, dûment timbrée, à la Poste et qu’elle s’est perdue au service du tri. Ça, ils le croiront.
En 2018 après Jésus-Сhrisт, toute la Gaule est réformée.
Toute la Gaule ?
Non...
Une petite poignée de fonctionnaires résiste encore et toujours à l’envahisseur !
Retranchés dans leur petit village privilégié, ils sont encerclés par les camps fortifiés de Réfurm, Référendum, Droidelum et ServiceMinimum.
Nos héros :
Cégétix le Syndiqué : petit gréviste malin. Il a toujours une воnnе idée pour échapper au travail et trouve toujours un prétexte pour déclencher une grève générale...
Fonctionpublix : le meilleur ami de Cégétix. Fonctionpublix refuse d’admettre qu’il mange trop, et est prêt à taper sur tous ceux qui lui font remarquer qu’il est « un peu enveloppé ». Il accompagne Cégétix dans toutes ses aventures, tant qu’on peut rigoler et échapper au boulot...
Echapofix le délégué syndical : l’heure de gloire d’Echapofix a été le jour où il a réussi à faire passer sa somptueuse résidence aux frais du CE de sa société...
Prenpadrix : c’est lui qui appelle à la grève générale.
Démagogix le Chef : Chef et époux de Poildanslamimine. Il se fait réélire depuis plus de 30 ans en promettant tout et n’importe quoi à ses militants. Il n’a qu’une seule crainte : que du travail lui tombe sur la tête !
Bloqulepayx le druide : c’est lui qui prépare la potion de grève, la recette magique qui permet à nos héros de résister encore et toujours aux réformes.
Avec leurs amis Eratépix, Assédix, Eraimix, Taxonléprofix, Essaincéfix, etc. ils luttent courageusement pour la défense de leurs privilèges !
Dans ce bar, le barman est réputé avoir une poigne terrible. À tel point qu'un concours permanent est ouvert dont le prix est quand même de 1000 euros.
Le concours consiste en ceci : Le barman presse dans sa main un citron en faisant couler le jus dans un verre. Si quelqu'un est capable de faire donner une goutte de plus au citron après le barman, alors il gagne les 1000 euros ! Tout le monde des gros bras (les forts des halles, les dockers et autres haltérophiles) s'est essayé à ce petit jeu, mais personne n'a encore gagné.
Un beau jour, un petit bonhomme, tout mince, tout fragile, avec des lunettes aux verres éраis d'un centimètre se présente au barman et lui dit :
- J'aimerai tenter ma chance au concours !
Après que les rires se soient tus, le barman dit « d'accord », il attrape un citron et le presse complètement. Ensuite, il tend les restes du citron au petit bonhomme.
La foule qui regarde la scène pousse un « Ohhh » d'étonnement lorsqu'elle voit une puis deux puis trois puis... six gouttes tomber du citron pourtant sec !
Après que la foule l'ait acclamé comme il se doit, le barman sort euros francs de sa caisse et demande au petit bonhomme :
- Et qu'est-ce que vous faites comme métier ? Bûcheron ou quelque chose comme ça ?
Et le petit bonhomme répond :
- Non, non... Je suis contrôleur aux impôts.
Dans une cour de récréation (rentrée oblige), trois gamins discutent :
Le premier dit :
- Oui moi mon papa, il est l'homme le plus rapide au monde.
Les autres :
- Ah bon !
- Ben oui, il fait Paris-Lyon en 2 heures.
- Eh !
- Eh oui il est conducteur de TGV !
- Ah bon.
Silence et réflexion…
Le deuxième dit :
- Eh bien, moi mon papa il est l'homme le plus rapide.
Les autres :
- N'importe quoi !
- Mais non, mon papa il fait Paris-New York en 2 heures.
- Tu déconnes hé hé !
- Ben non , il est pilote de concorde hé hé.
Silence, et le troisième qui ne se sent pas bien, réfléchit et réfléchit encore.
Le troisième dit alors :
- Eh bien, moi mon papa il est plus rapide que vos papas !
Les autres :
- Non, non ce n'est pas possible, que fait ton papa ?
- Eh bien, mon papa est fonctionnaire, il termine son boulot à 5 heures, et à quatre heures il est déjà à la maison.
Un type qui poireaute dans une gare à cause de la grève. D'autres types, qui semblent être des employés de la S. N. C. F. le repèrent, seul, qui s'ennuie.
- Tu viens faire un poker avec nous, pour passer le temps. On s'ennuie un peu à force de faire grève…
- Non, ma femme m'interdit.
- Allez viens, on s'ennuie a ne rien faire.
- Bon d'accord.
Un peu plus lоin, alors qu'ils se prépare à les accompagner pour aller taper le carton, le gars leur avoue que lui aussi est fonctionnaire : il travaille à la poste.
Les gars commencent à jouer :
- Puisque tu es notre invité, à toi l'honneur de battre les cartes.
Notre homme prend le paquet, le soupèse et s'écrie :
- Mais il manque une carte !
Deux fonctionnaires sont en train de soupirer au bureau. Ils voudraient bien prendre un jour de congé, mais le directeur a supprimé tous les congés parce qu'il y a trop de travail.
Un des deux se lève et annonce :
- Je connais un moyen d'avoir quelques jours de congé.
L'autre :
- Comment ?
Le premier regarde si le directeur est en vue - rien à l'horizon -
Il monte sur son bureau, enlève quelques plaques du faux-plafond, grimpe à l'intérieur du plafond, met ses jambes sur un tuyau métallique et se laisse pendre la tête en bas au-dessus du bureau.
Le Directeur arrive dans le bureau et demande :
- Que se passe-t-il ici ?
- Je suis une lampe, dit l'homme.
- Je crois que vous avez besoin de vous reposer, vous êtes surmené. Je vous ordonne de rentrer chez vous. Je ne veux plus vous voir avant au moins deux jours, dit le Directeur !!
Là-dessus, le 2ème fonctionnaire se lève, prend son cartable et met son manteau.
- Où allez-vous ?, dit le Directeur.
- Je rentre à la maison, je ne peux pas travailler dans le noir.
Madame, Monsieur le Directeur des Relations Humaines Intra-RATP,
Actuellement salarié dans le secteur privé, je vous soumets ma candidature pour un poste de cheminot à la RATP.
La solidarité entre collègues de travail qui règne dans votre entreprise et le sens aigu de la qualité du service qu'on y développe motive cette candidature spontanée que je souhaite voir couronnée de succès.
Mes prétentions salariales importent peu étant donné que nous rediscuterons chaque année avec vigueur des augmentations auxquelles vous saurez donner des réponses positives (situation qui m'est inconnue à ce jour).
Désireux de m'associer à la cause, je saurai exploiter mon expérience de la marche à pieds, les jours de grève, pour défiler aux côtés de vos meilleurs employés. J'optimiserai ainsi cette journée chômée que vous ne manquerez pas de me payer. Cet avantage social fait partie des nombreuses motivations de ma candidature : dans le privé, quand je ne peux pas me rendre à mon travail pour cause de grève des transports, on me retire un jour de mes congés annuels !
Cette pression patronale injuste ne tient aucun compte des efforts laborieux que je produis au service d'un capitalisme inhumain. J'aspire donc, dorénavant, à profiter au mieux de la souplesse des outils productifs de la RATP (incidents techniques, accidents voyageurs, suppression d'interconnexion...) pour freiner mes dangereuses surcapacités de travail.
Je suis à votre disposition pour que nous nous entretenions plus avant de ma conception du service public et de mes incompétences à le développer pour m'intégrer au mieux à vos équipes.