Un Juif écossais ashkénaze (ashkénaze veut dire allemand en hébreu ancien) se rend avec son épouse à l’hôtel Beau-Rivage, à Genève, Suisse.
Il y passe trois jours et trois nuits. Au moment de repartir, il tique en voyant la note : 3000 francs suisses, plus 900 francs (suisses, toujours) pour les repas.
- Comment !, s’exclame-t-il, Vous me demandez une somme pareille pour les repas ? Mais je n’y ai même pas touché, à votre nourriture ! Je n’ai rien mangé ! Votre nourriture n’est même pas cacher.
- Rien à faire !, répond le gérant. La nourriture était à votre disposition, et si vous n’y avez pas touché, cela vous regarde ! Vous nous devez 3900 francs !
Le Juif écossais ashkénaze réfléchit un moment :
- D’accord !, finit-il par répondre. Mais maintenant, c’est vous qui me devez 2100 francs !
- Comment ?, demande le gérant.
- Je vous paye les 3900 francs, mais vous, vous m’en devez 6000, parce que trois nuits de suite, vous avez couché avec ma femme ! Je compte 2000 francs par nuit, parce que je l’aime beaucoup. 6000 francs moins 3900, ça fait 2100 ! Vous savez compter, non ?
- Mais… je n’ai pas couché avec votre femme !, balbutie le gérant.
- C’est votre problème ! Ma femme était là, à votre disposition, et si vous ne l’avez pas touchée, cela vous regarde ! Rien à faire.
A trois heures du matin, la réceptionniste de l’hôtel reçoit un coup de fil d’un homme, apparemment ivre. Le type demande à quelle heure ouvre le bar de l’hôtel et la réceptionniste lui répond :
- Notre bar ouvre à midi.
Une воnnе heure plus таrd, la réceptionniste reçoit un nouveau coup de fil du type, qui paraît encore plus éméché :
- A quelle heure il ouvre, votre bar ?
La réceptionniste, aimable, répond :
- Notre bar ouvre toujours à midi, Monsieur.
Une heure passe et nouveau coup de fil, du même type, cette fois dans un état vraiment pitoyable :
- A quelle heure, déjà, tu m’as dit qu’il ouvrait ton bar ?
La réceptionniste, un peu agacée, lui répond :
- A midi, Monsieur, je vous le répète… Notre bar ouvre à midi !
Avant de raccrocher, la réceptionniste propose :
- Ca ouvre à midi, mais si vous ne voulez pas attendre, je peux vous faire monter une collation dans votre chambre.
Et le type :
- Non… Ce que je veux, c’est sortir du bar !
Toto, 15 ans, ne connaît pas encore femmes. Son père, croyant bien faire, l’ emmène aux putes. Comme Toto ne sait pas y faire, le père lui donne un talkie-walkie.
- Voilà, comme ça, je te donnerai des instructions à distance.
Toto va dans un hôtel avec une рuте qui, une fois dans une chambre, lui enlève son jean.
- Papa, papa, elle m’a enlevé mon jean !
- C’est bien, ça ! Enlève lui sa jupe !
Toto s’ exécute ; la fille lui enlève son T-shirt.
- Papa, papa, elle m’a enlevé mon T-shirt !
- Bon, toi, tu lui enlèves son T-shirt aussi.
Toto lui enlève son T-shirt avec délicatesse. La fille lui enlève son slip.
- Papa, papa, elle m’a enlève mon slip !
- Enlève-lui ses sous-vêtements !
Toto découvre complètement sa compagne et devant le corps de déesse qui lui est montré, fit d’une voix tremblante :
- Et maintenant ?
- Enfonce lui ce que nous on a, et que elle, elle n’a pas.
Et il lui enfonce le talkie-walkie !
Lundi
Seul à la maison. Ma femme est partie pour la semaine. Génial ! Je sens qu’on va vivre des instants inoubliables, le chien et moi. Je me suis concocté un emploi du temps réglé comme du papier à musique. Je sais exactement à quelle heure je vais me lever et le temps que je passerai dans la salle de bains ou dans la cuisine, à préparer le déjeuner. J’ai également compté les heures qu’il me faudra pour liquider la vaisselle, le ménage, les promenades du chien, les courses et la cuisine. Et là, surprise : il me restera plein de temps libre ! Pourquoi les femmes se font-elles une montagne de toutes ces tâches alors qu’elles peuvent être expédiées si rapidement ? Tout est une question d’organisation. Pour le souper, le chien et moi avons un steak chacun. J’ai disposé une jolie nappe, une bougie et un bouquet de roses pour faire plus intime. Le chien a mangé de la mousse de canard en hors-d’œuvre et aussi en plat principal, mais accompagnée d’une farandole de petits légumes. Et, comme dessert, des biscuits. Moi, je me suis octroyé du vin et un cigare. Cela faisait des lustres que je ne m’étais pas senti aussi bien.
Mardi
Je dois revoir mon emploi du temps : apparemment, quelques aménagements s’imposent. J’ai expliqué au chien que, bien entendu, ce n’est pas tous les jours fête ; il ne doit donc pas s’attendre à des hors- d’œuvre et à un service dans trois bols différents, vu que le préposé à la vaisselle, c’est moi ! En prenant mon déjeuner, j’ai noté les inconvénients du jus d’orange pressé : ça vous oblige à nettoyer chaque fois le presse-agrume. À moins d’en prévoir suffisamment pour deux jours, et dans ce cas, vous avez moitié moins de vaisselle. Ma femme a insisté pour que je passe l’aspirateur tous les jours. Pas question ! Une fois tous les deux jours suffira amplement. Il n’y a qu’enfiler des pantoufles et à nettoyer les pattes du chien… À part ça, je suis en pleine forme.
Mercredi
J’ai le sentiment que le ménage prend plus de temps que prévu. Il va falloir affiner ma stratégie. D’abord, acheter des repas tout préparés. Cela me fera gagner quelques minutes en cuisine. La préparation du souper ne devrait jamais être plus longue que sa consommation. En revanche, la chambre reste un problème. Il faut s’extraire des couvertures, aérer et enfin faire le lit. Trop compliqué ! D’ailleurs, je ne vois pas l’intérêt de faire le lit tous les jours dans la mesure ou on se recouche le soir même. Pour le chien, fini les préparations culinaires élaborées. Au menu : pâtée en boîte. Il boude, mais tant pis. Si je peux me contenter de plats cuisinés, pourquoi pas lui ?
Jeudi
Plus de jus d’orange ! Comment un fruit d’aspect si anodin peut-il provoquer une telle pagaille ? Désormais, j’achèterai du jus en bouteille. Découverte numéro 1 : j’ai réussi à m’extirper du lit en défaisant à peine les couvertures. Comme ça, il n’y a plus qu’à les retaper un peu. Bien sûr, cela nécessite un certain entraînement et on a intérêt à ne pas trop gigoter pendant la nuit. J’ai un peu mal au dos, mais une воnnе dоuсhе chaude et il n’y paraîtra plus. J’ai cessé de me raser tous les jours. Je gagne ainsi de précieuses minutes. Découverte numéro 2 : changer d’assiette à chaque repas est une hérésie. Les vaisselles à répétition commencent à m’énerver. Le chien, lui aussi, peut manger dans le même bol. Ce n’est qu’un animal après tout ! Remarque 1 : je suis parvenu à la conclusion que le passage de l’aspirateur ne s’imposait qu’une fois par semaine… maximum. Remarque 2 : saucisses au dîner et au souper.
Vendredi
Terminé le jus de fruit en bouteille ! Trop lourd à porter. J’ai observé un curieux phénomène : les saucisses sont excellentes le matin, un peu moins bonnes le midi et carrément infectes le soir. Si un homme en mange plus de deux jours de suite, elles risquent même de lui occasionner de légères nausées. Le chien a eu des croquettes. C’est tout aussi nutritif et le bol reste propre. J’ai découvert qu’on pouvait boire la soupe directement à la casserole. Elle a exactement le même goût. Plus de bol, plus de louche ! Désormais j’ai moins l’impression d’être réincarné en lave-vaisselle. J’ai cessé de passer le balai dans la cuisine. Cela me tapait autant sur les nerfs que de faire le lit. Note : laisser tomber les conserves, ça salit l’ouvre-boîtes.
Samedi
À quoi bon se déshabiller le soir pour se rhabiller le lendemain matin ? Je préfère occuper ce temps à me reposer un peu. Pas la peine non plus d’utiliser les couvertures comme ça, le lit reste impeccable. Le chien a laissé des miettes partout. Il s’est fait gronder. Je ne suis pas sa воnnе ! Étrange : c’est exactement la réflexion que ma femme me fait parfois. Aujourd’hui, rasage. Mais je n’en ai vraiment pas envie. Je suis à bout de nerfs. Pour le déjeuner, proscrire ce qui doit être déballé, ouvert, coupé en tranches, étalé, cuit ou passé au mixer. Toutes ces corvées m’exaspèrent. Pour le dîner, manger à même l’emballage. Sans assiette, ni couverts, ni nappe, ni rien de toutes ces choses superflues. Mes gencives sont un peu sensibles. Peut-être parce que je ne mange pas de fruits : ils sont trop lourds à transporter. C’est sans doute un début de scorbut. Ma femme a appelé dans l’après-midi pour savoir si j’avais fait les vitres et la lessive. Je suis parti d’un éclat de rire hystérique. Comme si j’avais le temps ! Malaise dans la baignoire : le siphon est bouché par des spaghettis. Ce n’est pas si grave, puisque, de toute façon, je ne me dоuсhе plus. Note : le chien et moi mangeons ensemble, directement du frigo. Il faut faire vite pour ne pas laisser la porte ouverte trop longtemps.
Dimanche
Le chien et moi sommes restés au lit à regarder la télévision. Nous avons salivé tous deux en voyant des gens faire des agapes. Nous sommes épuisés et grognons autant l’un que l’autre. Ce matin, j’ai mangé quelque chose dans son bol. Aucun de nous deux n’a aimé. Je devrais vraiment me laver. Me raser. Me peigner. Lui préparer sa pâtée. Le sortir. Faire la vaisselle. Ranger. Penser aux courses. Et tout le reste… Mais je n’en ai vraiment pas la force. J’ai l’impression d’avoir des problèmes d’équilibre et de vision. Le chien ne remue même plus la queue. Seul l’instinct de conservation nous a permis de nous traîner jusqu’au restaurant, où nous avons passé plus d’une heure à manger des tas de bonnes choses dans de multiples assiettes… avant d’aller à l’hôtel. La chambre est propre, bien rangée et douillette. J’ai trouvé la solution idéale. Je me demande si ma femme y a jamais pensé ?
Un V. R. P. fait du démarchage en pleine cambrousse. Il est déjà très таrd, et, alors qu’il pensait rentrer à l’hôtel pour dîner et se coucher, sa voiture tombe en panne.
Malheureusement pour lui, il n’a pas de téléphone mobile et il n’y a pas d’habitation dans les parages. En fait, si, il y a cette ferme là-bas plus lоin. Le V. R. P. décide de marcher jusque-là.
Sur place, le fermier et la très jolie fermière l’accueillent. Le V. R. P. demande à passer un coup de fil pour être dépanné par Peugeot assistance, mais le fermier lui dit qu’il n’a pas de téléphone. Par contre, très gentiment, le paysan propose au gars de l’héberger pour la nuit, et de tirer sa voiture son tracteur jusqu’au village voisin le lendemain matin.
Le V. R. P. accepte de bon cœur ; ils prennent le repas et dès 10 heures du soir, le fermier dit qu’il est l’heure de « faire un gros dodo ». Mais il ajoute :
- « nous n’avons qu’une chambre, aussi vous devrez coucher sur le canapé du salon ».
Après la toilette, tout le monde rejoint sa couche et s’endort. Enfin presque, car quelques minutes après s’être couché, le V. R. P. reçoit la visite de la fermière, en chemise de nuit, qui vient lui susurrer à l’oreille :
- Faites-moi l’amour !
Le V. R. P. n’est pas sûr de l’attitude à avoir :
- Mais votre mari est dans l’autre pièce, il va nous entendre !
- Rien à craindre de ce côté-là : Il dort comme une marmotte…
Et pour lui montrer qu’elle dit vrai, elle le tire jusque dans la chambre maritale, tire les couvertures du lit et met à nu le postérieur de son mari, duquel elle arrache un poil d’un coup sec sans que celui-ci ne se trémousse le moins du monde !
Rassuré par tant de tranquillité, les amants s’en donnent à cœur joie et réinventent des positions du Kamasutra. Le ça-va-ça-vient dure une воnnе heure, et alors que la femme semblait assouvie, elle se lève, va manger un bout de saucisson, se refait une santé, et revient voir son V. R. P. d’amour en lui disant :
- « Chéri, encore ! ». Le V. R. P. se demande si, à force, le mari ne va pas se réveiller. Une fois encore, la femme l’emmène dans la chambre prélever un deuxième poil de cul sans que cela ne crée l’ombre d’un frémissement. Et du coup le ça-va-ça-vient reprend de plus belle. L’opération se répétera une nouvelle fois par la suite, et finalement, les deux amants exténués repartiront dans leur draps respectifs pour terminer la nuit.
Le lendemain matin, au déjeuner comme on dit, le V. R. P. se retrouve en face du fermier et se sent un peu honteux. A ce moment-là, le fermier lui dit :
- Tu sais mon gars, j’ai rien contre le fait que tu fasses l’amour à ma femme sous mon toit, mais est-ce qu’il fallait vraiment que tu marques ton score en me tirant les poils du cul ?