Le capitaine Lefebvre, un ancien de la marine marchande, s'est lancé dans les affaires, ce qui l'amène à monter chaque semaine à Paris. Un jour, alors qu'il s'apprête à partir, sa femme, une valise à la main, lui dit :
- Chéri ! Je t'ai fait une surprise... Je viens avec toi !
- J'aimerais tellement, répond le capitaine, qui n'en pense pas un mot, mais c'est impossible. Les trains sont complets et j'ai une chambre pour une personne...
- Ne t'inquiète pas, je me suis occupé de tout, j'ai acheté un billet et j'ai prévenu ton hôtel. Je serai tellement heureuse que nous passions une soirée ensemble !
Ils arrivent à Paris, s'installent dans leurs hôtel, et le soir, au moment où ils s'apprêtent à sortir, le concierge leur dit :
- Bonsoir monsieur Lefebvre, j'ai fait réserver votre table au Crazy Horse.
- Comment ? Fait sa femme. Tu vas voir des femmes nues quand tu vas à Paris ?
- Bien sûr que non, ma douce. J'ai demandé au concierge de nous réserver un spectacle pour te faire plaisir.
- Bon...
Dehors, un taxi les attend.
- Au Crazy Horse, capitaine Lefebvre ?
- Comment le chauffeur est au courant ? Demande la femme de plus en plus soupçonneuse.
- C'est le concierge qui l'a appelé et qui lui a donné notre destination, c'est ça les grands hôtels !
Ah peine arriver au cabaret, le maître d'hôtel les accueils :
- Bonsoir capitaine Lefebvre, je vous ai réservé notre meilleure table...
- Oses-tu me dire que tu n'es pas un habitué ? Chuchote la femme.
- J'ose, répond le capitaine. Je ne viens jamais ici... C'est l'hôtel qui a réservé une table en notre nom.
Le spectacle commence, une superbe fille commence un magnifique sтriр-tease. Elle arrive à son string, quel fait glisser le long de ses jambes puis tournoyer au-dessus de sa tête. Et là elle lance d'une voix coquine :
- Pour qui ma petite culotte ?
Et là tout le public répond en chœur :
- Pour le capitaine Lefebvre !!!
C'est l'histoire d'un magicien qui faisait ses spectacles lors de croisières aux Antilles dans un paquebot de luxe. Comme le public est renouvelé tous les 15 jours, le magicien se permet de répéter les mêmes numéros encore et encore, sans jamais les renouveler.
Tout irait très bien pour cet homme, si le perroquet du capitaine, à force de voir les même numéros se répéter, n'avait compris quels étaient les trucs de chacun de ses tours. Malheureusement, le perroquet se permettait maintenant de crier au beau milieu du show :
- Regardez, ce n'est pas le même chapeau !
Ou bien :
- Regardez, il cache les fleurs sous la table !
Ou encore :
- Eh, toutes les cartes du jeu sont des As de Carreau !
Outre que le psittacidé faisait rire toute la salle par ses remarques, ça avait fini par rendre le magicien furieux, d'autant plus qu'il ne pouvait rien faire contre la bête puisque l'oiseau appartenait au capitaine.
Un beau jour, alors que le magicien était en représentation, le bateau heurte un iceberg (quoi c'est pas possible ? Bon alors disons qu'il heurte un autre bateau) et il fait naufrage. Le magicien se retrouve accroché à une poutre en bois au beau milieu de la mer, avec le perroquet à côté de lui bien sûr.
Le magicien lance un regard haineux à l'oiseau qui lui rend bien. Aucun des deux ne parle pendant une journée; le lendemain, pareil; le surlendemain, encore pareil. Finalement, au bout de quatre jours, le perroquet dit :
- Bon d'accord, j'abandonne. Où est le bateau ?
Galiciens (bruit de fond) : Ici le A-853, merci de bien vouloir dévier votre trajectoire de 15 degrés au sud pour éviter d'entrer en collision avec nous. Vous arrivez directement sur nous à une distance de 25 miles nautiques.
Américains (bruit de fond) : Nous vous recommandons de dévier vous-même votre trajectoire de 15 degrés nord pour éviter la collision.
Galiciens : Négatif! Nous répétons: déviez votre trajectoire de 15 degrés sud pour éviter la collision.
Américains (une voix différente de la précédente) : Ici le capitaine! Le capitaine d'un navire des Etats-Unis d'Amérique. Nous insistons, déviez votre trajectoire de 15 degrés nord pour éviter la collision.
Galiciens : Négatif ! Nous ne pensons pas que cette alternative puisse convenir, nous vous suggérons donc de dévier votre trajectoire de 15 degrés sud pour éviter la collision.
Américains (voix irritée) : Ici le capitaine Richard James Howard, au commandement du porte-avions USS LINCOLN, de la marine nationale des Etats-Unis d'Amérique, le second plus gros navire de guerre de la flotte américaine! Nous sommes escortés deux cuirassiers, 6 destroyers, 5 croiseurs, 4 sous-marins et de nombreuses embarcations d'appui. Nous nous dirigeons vers les eaux du Golfe Persique pour préparer les manœuvres militaires en prévision d'une éventuelle offensive Irakienne. Nous ne vous suggérons pas, nous vous ordonnons, de dévier votre route de 15 degrés nord! Dans le cas contraire nous nous verrions obligés de prendre les mesures qui s'imposent pour garantir la sécurité de cette flotte et de la force de cette coalition. Vous appartenez à un pays allié, membre de l'OTAN et de cette coalition, s'il vous plait, obéissez immédiatement et sortez de notre trajectoire.
Galiciens : C'est Juan Manuel Salas Alcántara qui vous parle, nous sommes deux personnes, nous sommes escortés par notre chien, par notre bouffe,deux bières et un canari qui est actuellement en train de dormir. Nous avons l'appui de la radio de la Corogne et d… >> Cliquez pour lire la suite
Jack le borgne est un grand pirate : il navigue dans les eaux près de la Jamaïque, en traquant les navires marchands. Un jour, son bateau croise la route de l'un d'eux. C'est l'occasion pour Peter, le nouveau second de Jack, de faire son premier pillage. Une fois sur le pont, Jack dit à son second :
- Vite, va chercher ma chemise rouge !
Peter ne comprend pas mais s'exécute. Et l'abordage commence. L'équipage du navire marchand résiste, mais finit par céder. Le navire est pillé, et les hommes de Jack repartent avec le butin. Peter demande alors à Jack :
- Capitaine, pourquoi m'avez-vous envoyé chercher votre chemise rouge ?
- Vois-tu, dit Jack, si je suis blessé au combat, les hommes pourraient être découragés en voyant leur capitaine en sang. Avec ma chemise rouge, ils ne voient rien !
- Ah d'accord !
Deux heures plus таrd, le bateau fait face à toute une flotte d'une vingtaine de navires de l'armée britanique ! Ils ne peuvent pas reculer. Empli de terreur, Jack demande naturallement à Peter :
- Vite, va me chercher mon pantalon marron !
Un marin embarqué à bord de la Jeanne d’Arc depuis plusieurs mois envoie le message suivant à sa petite amie restée à terre :
- « Nous serons de retour au port dans 25 jours, le 30 octobre. Ma chérie, tu m’as tellement manqué… Je veux que tu me retrouves sur le quai avec le break de Bernard et surtout, n’oublie pas de poser un matelas à l’arrière, parce que je veux qu’on le fasse dès que j’aurai mis le pied sur le sol. Il est temps qu’on arrive, j’ai les couilles qui vont exploser. À bientôt ma poupée, ton Loulou. »
La fiancée qui n’en pouvait plus elle non plus d’attendre, lui envoya cette réponse :
- « Bernard est d’accord pour prêter son break le 30 octobre, et j’ai aussi trouvé un matelas. Je vais me garer au plus près du bateau, mais je te préviens, tu as intérêt à être le premier à toucher le sol, parce que je ne demanderai pas les cartes d’identité à l’entrée ! »
C’est l’histoire d’un engagé de la Marine qui s’est toujours fait fort de tromper sa femme à chaque escale. Mais un beau jour, son épouse apprend les infidélités de son matelot volage…
Alors qu’il fait escale aux antipodes, on lui remet un paquet envoyé par sa femme. Le marin déballe le paquet et trouve à l’intérieur une boite métallique dans laquelle se trouvent un bon kilo de gaufrettes faites-maison, ainsi qu’une cassette vidéo de ses émissions télévisées préférées.
Ravi de pouvoir enfin oublier le mal du pays, le soir même, le marin invite ses copains à regarder la cassette avec lui, tout en dégustant les petits gâteaux.
Une воnnе dizaine de marins sont réunis dans la cabine et rigolent de bon cœur devant les « Guignols » de Canal+ lorsque, au beau milieu de la cassette, les marionnettes cèdent la place à un enregistrement vidéo fait avec la caméra familiale.
La scène est édifiante : on voit l’épouse du matelot en train de prodiguer des caresses buccales au meilleur ami du mari !!! Le tout dure une quinzaine de secondes ; des secondes qui semblent durer des heures pour le marin, devenu soudain aussi blanc qu’un linge, alors que ses potes s’étranglent de rire…
Et puis l’ami du matelot, au paroxysme du plaisir atteint enfin l’extase et « crache sa purée » comme on dit… L’épouse se retourne alors lentement vers la caméra, elle tend la main vers un objet hors du champ qui s’avère être un bol rempli de pâte à gaufrette… Et elle crache ce qu’elle vient de prendre en bouche dedans !
Ceci fait, elle regarde fixement l’objectif et dit :
- « Je veux divorcer… »
Après sa matinée de pêche, Marius vient prendre son pastaga au Café des amis lorsqu’il tombe sur Dominique.
- Oh Dominique, il faut que je te raconte ce qui m’est arrivé ce matin ! J’avais pris ma barque et je pêchais tranquillement dans mon coin habituel lorsque je sens que ça mord. Je rembobine ma ligne, et qu’est-ce que je sors de l’eau ? Un bon mètre d’anguille ! Je remonte encore la ligne… Té voilà un deuxième mètre d’anguille qui arrive. Je continue à rembobiner ma ligne, encore, et je te sors 3 nouveaux mètres d’anguille. Mais c’est pas tout, le plus gros était encore dans l’eau, alors je tire sur ma ligne, et je tire, et je tire… Finalement je te sors vingt mètres d’anguille ! Té peuchère, l’anguille elle était tellement longue que j’ai dû la couper en plusieurs morceaux pour qu’elle rentre entière dans la barque !
- Eh bé dis donc…, dit Dominique, je suis admiratif. Mais tu sais, moi aussi il m’est arrivé un truc formidable à la pêche ce matin : en tirant sur ma ligne, je la sens qui est retenue. Alors je tire, je tire, je tire… Et finalement, je te sors un side-car allemand de la guerre 40. Tu te rends compte, un side-car ! Et c’est pas tout. Tu me croiras si tu veux, mais la lumière de son phare était ALLUMÉE !
- Oh Dominique… lui dit Marius, tu te fous de moi ? Tu sais que tu devrais pas te moquer comme ça !
- Bon d’accord, lui répond Dominique. Tu me coupes une quinzaine de mètres d’anguille et je veux bien éteindre le phare.
Dans la cour de la caserne, le capitaine éduque les nouvelles recrues.
- Nous sommes en temps de guerre, les avions ennemis sillonnent le ciel, soldat Durand, que faites-vous ?
- Je rampe, mon capitaine.
- Bien ! Une bombe vous arrache l’oreille, que faites-vous ?
- Je rampe toujours, mon capitaine !
- Bien ! Une autre bombe vous arrache l’autre oreille, que faites-vous ?
- Je ne sais pas, mon capitaine, je n’y vois plus.
- Allons, vous savez que les oreilles servent à entendre et non à voir !
- Je le sais, mon capitaine, mais ce sont elles qui retiennent mon casque.
Un marin passe à la douane, cachant un perroquet dans son sac. Brusquement, le sac fait entendre :
- Coucou ! Coucou !
Devant l’étonnement du douanier, le marin explique rapidement :
- Cette fois, j’ai emporté une horloge suisse. Je n’ai pas réussi à la régler, comme vous le constatez…
Sorti de la zone portuaire, le marin s’exclame :
- Jacquot, tu n’as pas de certificat de santé, tu risquais l’euthanasie ! Pourquoi ne m’as-tu pas écouté et pourquoi ce « coucou » au lieu de « dring » ?
Le perroquet penaud :
- Dans ma forêt, il y a des coucous faciles à imiter, mais il n’y a pas de réveille-matin…