C’est une histoire qui se passe dans un fort de l’armée américaine, du temps des cowboys et des indiens.
Un beau jour, alors qu’ils sont en train d’uriner dans les toilettes du fort, le capitaine du camp ne peut s’empêcher de voir la BITE MONSTRUEUSE du caporal que l’on avait l’habitude d’appeler « ptite bite ».
Le capitaine lui dit :
- Dis-donc ptite bite, qu’est-ce qui s’est passé. On t’a toujours appelé ptite bite, mais je vois qu’il va falloir te donner un autre surnom : ta bite fait bien 30 cm de long, c’est incroyable.
- Je vais vous expliquer pourquoi mon capitaine. Il y a deux jours, je faisais ma patrouille de surveillance à quelques miles d’ici, au nord. lorsque, alors que je passais sous un chêne incroyablement haut, je vois un génie posé sur une des branches de l’arbre. Alors le génie me dit :
« Je suis un génie. Je peux exaucer un de tes voeux si tu le désires. Je t’écoute ! ». Alors moi je lui ai demandé un sexe comme mon cheval. Depuis le temps qu’on me surnommait ptite bite, je n’attendais que ça… Voila l’histoire.
Le même jour, le capitaine prend son cheval, et va en direction du nord. Arrivé près du grand chêne, il trouve effectivement le génie… et les militaires étant ce qu’ils sont, il ne trouve pas d’autre vœu à formuler que celui de son caporal :
- Génie, puisqu’il paraît que tu peux réaliser un vœu, j’aimerai avoir un sexe de la taille de celui de mon cheval !
Une heure plus таrd, le capitaine rentre au fort en hurlant :
- QUEL EST L’ABRUTI QUI M’A SELLÉ UNE JUMENT ?
Un policier arrête un type pour excès de vitesse et a l'échangeur suivant :
Officier: Puis-je voir votre permis de conduire?
Pilote: Je n'en ai pas. Il a été révoqué, je n'ai plus de points.
Officier: Puis-je voir les papiers de ce véhicule?
Pilote: Ce n'est pas ma voiture. Je l'ai volé.
Officier: La voiture est volée?
Pilote: Oui. Mais à bien y penser, je pense que j'ai vu les papiers dans la boîte à gants quand je mettais mon arme là-dedans.
Officier: Il y a un pistolet dans la boîte à gants?
Conducteur: Oui monsieur. C'est là que je l'ai mis après avoir tiré et tué la femme qui possède cette voiture et je l'ai fourrée dans le coffre.
Officier: Il y a un CORPS dans le COFFRE?!?!?
Conducteur: Oui, monsieur.
En entendant cela, l'officier a immédiatement appelé son capitaine. La voiture a été rapidement encerclée par la police et le commandant de bord s'est approché du conducteur pour gérer la situation tendue:
Capitaine: Monsieur, puis-je voir votre licence?
Pilote: Bien sûr. C'est ici.
Capitaine: A qui est cette voiture?
Conducteur: C'est la mienne, officier. Voici les papiers. Le conducteur était propriétaire de la voiture.
Capitaine: Pourriez-vous ouvrir lentement votre boîte à gants pour que je puisse voir s'il y a une arme à feu à l'intérieur?
Conducteur: Oui, monsieur, mais il n'y a pas d'arme. Effectivement, il n'y avait rien dans la boîte à gants.
Capitaine: Pourriez-vous ouvrir votre coffre? On m'a dit que vous aviez dit qu'il y avait un corps dedans.
Pilote: pas de problème. Le coffre est ouvert; personne.
Capitaine: Je ne comprends pas. L'officier qui vous a arrêté vous a dit que vous lui aviez dit que vous n'aviez pas de permis, que vous aviez volé la voiture, que vous aviez un pistolet dans la boîte à gants et qu'il y avait un cadavre dans le coffre.
Pilote: Ouais, je parie que le fils de рuте menteur t'a dit que j'allais trop vite!

Au fin fond de la campagne, un poulet traverse une route.
Question: Pourquoi le poulet a-t-il traversé la route ?
Voyons comment les grands hommes auraient répondu à cette question fondamentale... NB : Lisez bien jusqu'à la dernière...
RENÉ DESCARTES : Pour aller de l'autre côté.
PLATON : Pour son bien. De l'autre côté est le Vrai.
ARISTOTE : C'est la nature du poulet de traverser les routes.
KARL MARX : C'était historiquement inévitable.
CAPITAINE JAMES T. KIRK : Pour aller là où aucun autre poulet n'était allé auparavant.
HIPPOCRATE : En raison d'un excès de sécrétion de son pancréas.
MARTIN LUTHER KING JR. : J'ai révé d'un monde où tous les poulets seraient libres de traverser la route sans avoir à justifier leurs actes.
MOISE : Et Dieu descendit du paradis et Il dit au poulet :
" Tu dois traverser la route". Et le poulet traversa la route et Dieu vit que cela était bon.
RICHARD M. NIXON : Le poulet n'a pas traversé la route, je répète, le poulet n'a JAMAIS traversé la route.
NICOLAS MACHIAVEL : L'événement important c'est que le poulet ait traversé la route. Qui se fiсhе de savoir pourquoi ? La fin en soi de traverser la route justifie tout motif quel qu'il soit.
SIGMUND FREUD : Le fait que vous vous préoccupiez du fait que le poulet ait traversé la route révèle votre fort sentiment d'insécurité sexuelle latente.
BILL GATES : Nous venons justement de mettre au point le nouveau "Poulet Office 2003", qui ne se contentera pas seulement de traverser les routes, mais couvera aussi des oeufs, classera vos dossiers importants, etc...
BOUDDHA : Poser cette question renie votre propre nature de poulet.
GALILEE : Et pourtant, il traverse.
DE GAULLE : Le poulet a peut-être traversé la route, mais il n'a pas encore traversé l'autoroute
EINSTEIN : Le fait que ce soit le poulet qui traverse la route ou que ce soit la route qui se meuve sous le poulet dépend uniquement de votre référentiel.
GEORGE W. BUSH : Le fait que le poulet ait pu traverser cette route en toute impunité malgré les résolutions de l'ONU représente un affront à la démocratie, à la liberté, à la justice. Ceci prouve indubitablement que nous aurions dû déjà bombarder cette route depuis longtemps. Dans le but d'assurer la paix dans cette région, et pour éviter que les valeurs que nous défendons ne soient une fois de plus bafouées par ce genre de terrorisme, le gouvernement des Etats-Unis d'Amérique a décidé d'envoyer 3 porte-avions, 25 destroyers 54 croiseurs, appuyés au sol par 243000 G. I. et dans les airs par 49 bombardiers, qui auront pour mission au nom de la liberté et de la démocratie, d'éliminer toute trace de vie dans les poulaillers à 5000 km à la ronde, puis de s'assurer par des tirs de missiles biens ciblés, que tout ce qui ressemble de près ou de lоin à un poulailler soit réduit à un tas de cendres et ne puisse plus défier notre nation par son arrogance. Nous avons décidé qu'ensuite, ce pays sera généreusement pris en charge par notre gouvernement, qui rebatira des poulaillers suivant les normes de sécurité en vigueur, avec à leur tête, un coq démocratiquement élu par l'ambassadeur des Etats Unis. En financement de ces reconstructions, nous nous contenterons du contrôle total de la production céréalière de la région pendant 30 ans, sachant que les habitants locaux bénificieront d'un tarif préférentiel sur une partie de cette production, en échange de leur totale coopération. Dans ce nouveau pays de justice, de paix et de liberté, nous pouvons vous assurer que plus jamais un poulet ne tentera de traverser une route, pour la simple воnnе raison, qu'il n'y aura plus de routes, et que les poulets n'auront plus de pattes.
Que Dieu bénisse l'Amérique !

C'est un navire de guerre américain qui vogue vers la Thaïlande, où il doit effectuer des manoeuvres. Bien entendu, tous les hommes à bord ne pensent qu'à l'escale qu'ils vont faire dans le port de Bangkok. Malheureusement, à quelques miles du port de Bangkok, le Capitaine reçoit un câble :
- Très grave épidémie dans les bordels. Interdire à vos hommes tout rapport sexuel avec les prostituées.
Arrivé à quai, ce sont des hommes abattus par cette nouvelle qui descendent du bateau. 48 heures plus таrd, tout le monde est remonté et le navire repart.
Direction : le port de Marseille où une dernière escale les attends avant le retour au pays. Sur le chemin, les hommes commentent leur séjour en Thaïlande :
- Moi, j'ai joué aux dés. Qu'est-ce que je me suis emmerdé...
- Ben moi, je me suis saoulé tout le temps. Qu'est-ce que je me suis emmerdé.
- Ben moi, j'ai baisé comme un sаlаud 24h/24...
Tout le monde regarde l'auteur de cette phrase.
- Mais t'es fou...
- Et la maladie ?
Le G. I. répond :
- Rien à cirer, au moins je me suis éclaté. Les thaïlandaises, les gars, elles font de ces trucs...
Tout le monde le regarde d'un air envieux. Le voyage continue. Quelques jours avant l'arrivée à Marseille, notre G. I. prend sa dоuсhе. Il s'aperçoit alors qu'il a... Le sexe tout bleu. Il panique, et va voir le médecin du bord. Celui-ci ne lui cache pas son inquiétude :
- Qu'est-ce qui vous est arrivé ?
- Ben c'est à dire, à Bangkok, j'ai pas pu m'empêcher de...
- Malheureux ! Vous avez attrapé la Coïtus Bleuïtitis. Il faut vous amputer du sexe, ou vous serez mort dans une semaine. Le G. I. est désespéré. Le navire à quai à Marseille, il part se saouler dans un bar louche. Là, un de ses potes le trouve. Ils discutent :
- Qu'est-ce qui t'arrive ?
- J'ai attrapé une saloperie à Bangkok. Ils veulent me couper la bite.
- Écoute, si ça peut t'aider, je connais un vieux Chinois ici. Il m'avait soigné pour une chaude рissе en 45, peut-être qu'il peut quelque chose pour toi...
Ils vont voir le vieux. Celui-ci examine le G. I., marmonne, puis se précipite sur une armoire. Il en sort 3 pots d'herbe, des gélules, des onguents, des sirops. Il débite :
- Voilà, vous prenez çà 3 fois le matin, avec çà. Après vous massez avec ça. A midi, vous avalez ça sans respirer, et après vous prenez ça. Le soir, vous prenez ça en infusion. Tout va bien se passer. Le G. I., radieux, lui demande :
- Alors, on ne va pas me la couper ?
Le vieux lui réponds :
- Non, non, rassurez-vous. Ça va tomber tout seul...