Barzellette francese, Barzelletta sui francesi
Trois clients s’attablent dans un restaurant.
Quand le patron vient prendre la commande, l’un deux lui lance :
- Je peux vous dire ce qu’il y avait hier dans ces trois assiettes.
- Monsieur, fait le patron, nos assiettes sont impéccablements lavées en machine et essuyées.
- Je n’en doute pas, mais j’ai un odorat exceptionnel.
- C’est impossible. Si vous y arrivez, je vous offre le déjeuner à tous les trois !
L’autre prend la première assiette et la sent.
- Escalope milanaise
Il flaire la deuxième.
- Rougets à la provençale
Puis la troisième.
- Choucroute alsacienne.
- Monsieur, fait le patron, vous êtes stupéfiant. C’étaient effectivement nos trois plats du jour, vous avez gagné !
Le lendemain, les trois clients reviennent.
- On fait quitte ou double ?
- D’accord, dit le restaurateur, je vais chercher les assiettes. Il passe dans la cuisine et dit à la jeune femme qui est aux fourneaux :
- Josette, ne cherchez pas à comprendre, prenez cette assiette et frottez-la contre votre foufounette !
La nommée Josette s’exécute, et le patron ramène trois assiettes dont celle-là. Le client flaire la première.
- Boeuf bourguignon
Il sent la seconde.
- Canard au poivre vert
Et enfin la troisième. Il a l’air surpris, la renifle de nouveau, et dit au patron :
- Josette travaille chez vous ?
Au ciel, depuis des siècles et des siècles, on a perdu la trace de sаinт Joseph. On l’a cherché partout, on a fouillé tous les coins du paradis, rien. Et voilà qu’un jour l’ange qui s’occupe du purgatoire dit à sаinт Pierre:
- Vous savez, j’ai un drôle de client chez moi. Il est amnésique, Tout ce dont il se souvient, c’est qu’il était charpentier, qu’il a un enfant, un garçon, sans être vraiment père, et que cet enfant serait devenu célèbre dans le monde entier… “Dieu soit loué ! se dit sаinт Pierre, on l’a retrouvé !” Il va chercher le vieillard, le ramène dare-dare au paradis, et fonce prévenir Jésus. Le сhrisт accourt, très ému, se précipite vers l’homme et s’exclame :
- Papa !
- Alors le vieux, bouleversé, ouvre grands les bras en s’écriant :
- Pinocchio !
Le patron d’une grosse entreprise fait une visite inopinée dans une de ses succursales de province.
Dans un entrepôt, il surprend un homme affalé sur des caisses, en train de fumer et de boire du café.
- Hep, vous là-bas, vous gagnez combien par mois ? Demande le PDG.
- Bof, avec les primes, ça tourne entre 7000 et 10000 francs bruts par mois, répond le gars.
Le patron sort alors un chéquier de sa poche et signe un chèque de 10000 francs.
- Tenez, prenez ça et disparaissez, je ne veux plus vous voir ici.
Vous vous arrangerez avec notre service comptabilité pour les papiers !
Le type prend le chèque et s’en va, sans demander d’explication.
Le directeur de la succursale arrive alors et voit le patron.
- Au fait, Monsieur le Président, vous n’auriez pas vu le livreur de la SERNAM ?
Une petite pièce de 20 centimes d’euro vient de mourir.
Après une vie exemplaire, elle monte au paradis, un peu inquiète du sort que lui réserve Sаinт Pierre. En arrivant, elle est accueillie chaleureusement par tous les anges; Sаinт Pierre en personne l’embrasse et l’installe sur le plus beau nuage du Paradis. On la traite comme une reine, elle-même ne comprend pas ce qui lui arrive…
Peu de temps après, c’est un billet de 100 E qui passe l’arme à gauche. Le voilà aussi au paradis. Mais l’accueil est nettement plus froid et Sаinт Pierre lui montre un discret petit nuage en lui disant que sa place est là. Lui le billet de 100 E est laissé de côté et personne ne s’occupe de lui. Alors que pour la pièce de 20 centimes, tout le monde se met en quatre.
Quelque temps plus таrd, le billet de 100 E, n’y tenant plus, demande à parler à Sаinт Pierre:
“Sаinт Pierre, comment se fait-il que la pièce de 20 centimes soit traitée comme une reine et que moi, le billet de 100 E, je sois mis de côté?”
Et Sаinт Pierre lui répond:
“Toi, tu te tais, on t’a pas vu souvent à la messe.”
Un couple marié est en train de rouler tranquillement à 90 sur une départementale.
L’homme conduit . Soudain, la femme le regarde enfin et lui dit :
“Ecoute, je sais que nous sommes mariés depuis 15 ans, mais je veux divorcer …”
Le mari ne dit rien et se contente d’accélérer, 100 km/h.
“J’ai eu une aventure avec ton meilleur ami et il est bien meilleur amant que toi”
Encore une fois, le mari ne dit rien et se contente d’accélérer, 110 km/h.
Elle :
“Je veux la maison et les enfants”
Le mari se contente d’accélérer, 120 km/h .
Elle :
“Je veux aussi la voiture, le compte en banque et les cartes de crédit …”
La voiture arrive près d’un mur et le mari encore une fois se contente d’accélérer, 130 km/h .
Elle :
“Et toi, que veux-tu ?”
Lui :
“Rien, j’ai déjà tout ce dont j’ai besoin !”
Elle :
“Et c’est quoi ?”
Le mari lui dit juste avant de percuter le mur a 130 :
“c’est moi qui ai l’airbag …”