Un jour, un gars qui se sentait délaissé par sa femme se baladait dans une animalerie. Il voulait avoir un compagnon mais ne savait quelle espèce choisir. Il passa devant les chiens et chats et les évita car ce n’était pas ce qu’il voulait. En passant devant les reptiles, il se dit que ce n’était pas ça non plus qu’il voulait. Il se dit la même chose en passant devant les poissons dans leur aquarium. Alors qu’il continuait à faire le tour du magasin, il entendit une voix dire :
- Achète moi achète moi, tu ne le regretteras pas
Cherchant à savoir qui proférait cette demande, il s’approcha du rayon des oiseaux et vit bientôt un perroquet tout bizarre, qui se tenait au fond de sa cage. Le gars après l’avoir inspecté lui dit :
- Pourquoi devrai-je t’acheter ? Tu n’as même pas de patte et tu es obligé de te tenir sur le fond de ta cage !…
Le perroquet lui fit alors un clin d’oeil et répondit :
- Je parie que tu as le blues et que tu suspectes ta femme de te tromper. Pas vrai ?
Le gars n’en revient pas. Tout surpris , il demande au perroquet comment il peut savoir ça. Le perroquet lui répond :
- J’ai su ça rien qu’en voyant ton air lorsque tu es rentré dans le magasin.
Alors le gars dit :
- Mais sans tes pattes, tu n’es même pas capable de te tenir sur un perchoir !
- Bien sûr que si je peux me tenir sur un perchoir ! J’ai un pénis très développé et préhensile qui me permet de me maintenir sur une branche. De plus, tu as tout intérêt à m’acheter car pendant que tu seras au travail, je pourrai espionner ta femme et te dire si réellement elle te trompe !
Le gars s’en alla voir alors le vendeur de l’animalerie et discuta un peu avec lui. Après quelques instants de discussion, le gars emporta le perroquet chez lui car il avait obtenu de pouvoir rendre le perroquet au bout de trois jours s’il n’en était pas satisfait. Il ramène donc le perroquet dans son salon. Installe le perchoir derrière le canapé avec de l’eau et des fruits à disposition. Puis il prévient le perroquet :
- Rappelle-toi : Si tes services ne me satisfont pas, je te ramène à l’animalerie.
Et le lendemain, le gars s’en va travailler. En rentrant du travail le soir, il demande au perroquet :
- Alors qu’est-ce que tu as à me raconter de cette journée ?
Mais le perroquet ne répond rien du tout.
Le deuxième jour, en rentrant du boulot, le gars demande à son perroquet si il a quelque chose à raconter.
Mais l’oiseau ne répond rien, bec cousu !
Le gars se dit qu’il s’est fait avoir, mais décide d’attendre la troisième journée avant de rendre l’oiseau.
Enfin, le dernier jour, alors qu’il rentre du travail, le gars vient aux nouvelles du perroquet. Cette fois le perroquet répond :
- Le facteur est venu aujourd’hui.
- Et alors ce n’est pas étonnant, il passe tous les jours !
- Mais aujourd’hui, il est rentré dans la maison…
- C’est certainement qu’il avait un colis et qu’il devait faire signer le reçu…
Et là le perroquet continue :
- Ensuite le facteur et ta femme se sont couchés sur le canapé.
- C’est pas vrai, tu te fous de moi ? Et qu’est-il arrivé après ?
- Il a dégrafé la chemise de ta femme et a commencé à lui masser les seins pendant qu’il l’embrassait passionnément.
- Et après ?
- Après il a mis la main entre ses jambes et elle a commencé à gémir de plaisir.
- JE LE SAVAIS, CETTE SАLОРЕ ME TROMPAIT ! Continue : Qu’est-ce qui s’est passé après ?
- Après ? J’aurais bien aimé pouvoir te le dire, mais j’ai eu une érection et je suis tombé du perchoir. Alors je n’ai plus rien vu…
C’est un jeune qui passe un examen d’ornithologie. L’examinateur a une caisse devant lui avec des oiseaux empaillés, alors il en prend un, laisse dépasser le bout de la queue et demande au jeune homme :
- Pouvez-vous me dire le nom de cet oiseau ?
- Ecoutez, monsieur le professeur, c’est très difficile, je ne peux pas dire le nom d’un oiseau dont je ne vois que le bout de la queue, mais si vous me montrez le bec…
- Vous ne savez pas ! Bon, j’en prends un autre. Pareil, il laisse dépasser le bout de la queue.
- Quel est le nom de cet oiseau ?
- Ecoutez, monsieur le professeur, je ne sais pas, montrez-moi au moins la tête, je ne sais pas.
- Bon, eh bien, vous êtes recalé; vous repasserez en septembre. Comment vous vous appelez ?
Le mec baisse son froc et fait :
- Devinez ?
Un homme se rend dans une animalerie et s’achète un canari.
Une semaine plus таrd, il revient chez le vendeur et lui demande une scie pour lui scier les pattes en lui expliquant que quand son canari est sur le perchoir, sa tête touche le haut de la cage, qu’il perd ses plumes et que donc il ne chante plus.
Le vendeur lui répond que s’il coupe les pattes du canari, il va crever, mais l’autre insiste et repart heureux avec sa scie, mais sous la menace du vendeur qui lui rappelle que ra gna gna et ra gna gna va mourir.
Bref, deux semaines plus таrd, le mec revient, rend la scie au vendeur et demande un nouveau canari !
Le vendeur victorieux lui dit :
- « Alors, je vous avais bien dis que si vous lui coupiez les pattes il allait crever votre canari ! »
Et l’autre lui répond :
- « Non, c’est pas quand je lui ai coupé les pattes, mais quand je l’ai mis dans l’étau ! »
Le curé n’a pas d’enfant de chœur pour l’aider, mais il possède un perroquet savant qu’il a dressé pour lui donner un coup de main lors de la messe : il le met sur un perchoir, à côté de l’autel, et le volatile place les fidèles :
- « Les hommes à gauche, les femmes à droite, les hommes à gauche, les femmes à droite,… »
V’la-t-y pas qu’un jour, not’curé surprend son perroquet en train de faire son affaire à une poule, dans le fond du jardin :
- « Créature de Sатаn ! Je vais t’apprendre à bien te conduire, moi ! »
Et pour punir l’oiseau, il lui rase la belle houppette de plumes rouges qu’il avait sur le crâne, et qui faisait sa fierté !
Honteux, qu’il est le perroquet ! Et à la messe suivante, le perchoir planqué dans un coin sombre à côté de l’harmonium, il officie, tout penaud :
- « Les hommes à gauche, les femmes à droite, les hommes à gauche, les femmes à droite,… »
Entrent deux chauves… Alors le perroquet, soudain ragaillardi :
- « Et les deux baiseurs de poule, avec moi près de l’harmonium ! »