Blague Alcool, Blague sur les Alcooliques
C'est un homme qui va dans un bar et qui demande :
- Deux grands whisky secs, s'il vous plaît.
Le barman les lui sert et le gars se les enfile l'un derrière l'autre.
Il paye, sort du bar et va dans un autre bar en marchant moins droit. Là, il demande :
- Un grand whisky sec, s'il vous plaît.
Le barman le lui sert et le gars se l'enfile.
Il paye, sort du bar et va dans un autre bar, en marchant un encore moins droit. Là, il demande :
- Un whisky sec, hips !
Le barman le lui sert et le gars le boit. Il paye et sort comme il peu du bar, en titubant.
Il rentre chez lui et en bas de l'immeuble, il sort de sa poche une petite flasque de whisky et s'en boit une grande lampée.
Après ça, il rampe dans l'escalier jusqu'à sa porte. L'ouvre comme il peu en tremblant et en mettant un bon moment à trouver le trou de la serrure. Il entre, va dans son salon, ouvre son bar, prend un verre à digestif et le remplit de whisky qu'il écluse en une gorgée.
De là, il se traîne jusque dans sa chambre, monte péniblement sur son lit, prend un dé à coudre sur la table de nuit qu'il remplit de whisky avec la flasque qu'il n'avait pas vidée. Et il boit cul sec tout le contenu du dé à coudre.
A ce moment là, il dit à sa femme :
- C'est t-t-tout de même cur-hips-ieux. Moins jjje bois, plus j'suis saoul.
C’est un monsieur complètement ivre qui entre dans un bar. Au comptoir, il y a un Sénégalais qui est en train de boire son apéritif. L’ivrogne lui dit :
- Eh dites donc… vous êtes noir !
- Laissez-moi tranquille. Laissez-moi boire mon apéritif tranquillement, pour moi-même.
- Mais non, je déconne pas… vous êtes noir !
- Vous commencez à m’énerver… Arrêtez, hein !
- Non, non, je déconne pas, vous êtes noir !
- Vous, Monsieur, vous êtes ivre, mouiii !
- Peut-être, mais moi, demain, ça ne se verra plus !
C’est deux bagnoles qui viennent de se rentrer dedans. Les conducteurs sortent en hurlant de leur caisse complètement défoncée. Mais là, ils s’aperçoivent qu’ils sont deux amis de très longue date !
- Ben, ça alors ! René !
- Par exemple, Jacquot ! Comme le monde est petit !
- Ouais… Dis, t’as rien de cassé ?
- Bah, nan, et toi ?
- Ça va, j’ai rien… juste un peu secoué.
- Bah, normal ! J’te comprend ! Tiens, prend donc un verre de cognac ! Ca ira mieux après ! Pendant ce temps, j’vais essayer de trouver un flic.
- Merci. Ouaaouhh ! Il est vachement bon, ton cognac dis-donc ! Mais, t’en prend pas toi ?
- Ah, non, pas maintenant, si ça ne te fait rien ! Finis la bouteille, moi j’en prendrai plus таrd… après l’alcootest !
C’est une histoire de vin. C’est un grand oenologue qui est descendu dans le Bordelais pour goûter un petit vin de propriétaire, le Château Château, et il se régale :
- La couleur est belle ! Oui, bel ensoleillement. C’est un vin qui a de la jupe. Je vais goûter ! Ssssslurp… Hummm… Reureureu… Aaaah, il attaque sèchement le palais, il est un peu râpeux ! On l’a bien en bouche. Mouis, il n’y a pas à dire, c’est un très très bon cru: je vous mettrai dix-huit sur vingt !
Pas peu fier, le propriétaire lui dit :
- Je vous remercie ! Tenez, prenez-en quelques caisses. Et puis restez déjeuner !
- Non, non, je n’ai pas fini ma tournée, il faut que j’aille inspecter la vigne de votre voisin !
L’oenologue se rend donc chez le voisin…
- Eh, monsieur l’œnologue ! Content de vous vouér ! Depuis l’matin, je goûte mon pinard pour vérifier. Je suis sûr qu’il vous plaira.
- Voyons voir ça !
- De toute façon, il n’y a point d’raison qu’il soit mauvais. Parce que tout de même, j’ai les mêmes ceps, la même terre et la même orientation que le voisin de chez qui vous venez !
- Ssssslurp… Hummm… Reureureu… Aaaah non, non ! Oh non ! Ce qu’il est acide ! Alors là, mon vieux, je vous mets quatre sur vingt ! Ça ne vaut pas plus !
- Ben quoi ? A lui vous lui mettez dix-huit sur vingt, et à moi seulement quatre sur vingt alors que c’est le même ensoleillement, le même sucre et le même coteau ! C’est dégueulasse !
- Je vais vous expliquer une chose. Vous êtes marié ?
- Bah pour sûr, que ch’ suis marié !
- Alors ce soir, quand vous serez au lit avec votre dame, vous lui mettrez un doigt devant, un autre doigt derrière, vous goûterez et vous verrez la différence : ça n’a pas le même goût et pourtant ils sont voisins !