Blague sur les coiffeurs, Blague coiffeur, Blagues coiffeur
Au cours d’une tournée en province, un représentant, qui a oublié son rasoir électrique, va chez le coiffeur de la petite ville où il a passé la nuit. Un apprenti, en blouse blanche, le fait installer dans un fauteuil.
- Rasez-moi, dit le représentant. Mais, attention, en douceur.
- Oh , monsieur, s’écrie le jeune homme, ici, la surveillance est très stricte. Pour chaque coupure, le patron nous inflige 2 euros d’amende. Remarquez que ce matin, je m’en balance… Hier, j’ai gagné 756 euros au Loto.
Dans une petite ville, il y a quelques lustres, un gars arrive chez le coiffeur pour hommes. Il demande à se faire raser.
Le coiffeur lui demande :
- C’est la première fois que vous venez ?
- Oui, répond le gars, c’est la première fois.
Alors le coiffeur prend le blaireau, crache un coup sur les poils de l’ustensile, puis il le frotte sur le savon et s’apprête à en barbouiller la barbe du gars…
- Hé ! Vous n’allez tout de même pas me passer ça sur les joues après avoir craché dedans ? Vous faites ça avec tous les clients qui viennent se faire raser chez vous ?
- Oh non, répond le coiffeur, c’est parce que c’est la première fois que vous venez ; sans ça, les clients réguliers, on leur crache directement dans la gueule !
Kévin vient de débuter en apprentissage dans le salon de coiffure de son papa. Pour la première fois, son père a décidé de lui laisser le champ libre pour voir si son fiston a la fibre capillicole.
Un client se présente pour une coupe de cheveux.
- « Prenez ce fauteuil, monsieur », lui dit le père ; « et toi Kévin, vient ici : tu vas couper les cheveux de monsieur, c’est une coupe au rasoir ! »
Puis s’adressant au client, il lui dit sur le ton de la confidence :
- « Je vous laisse entre les mains de mon fils ; ça sera sa première coupe, mais rassurez-vous, je le surveille ! »
Et là-dessus, Kévin se met au travail.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que jeune apprenti n’est pas à son aise, et au bout d’une minute à peine, d’un geste brusque « SCOUIK », Kévin tranche net l’oreille du client. Ça рissе le sang dans tout le salon, on dirait un cochon qu’on vient de saigner pour faire du boudin, et monsieur Mastard se ramène en courant, affolé et très en colère.
- « Satané bougre de d’andouille, tu ne peux pas faire attention ? »
Et il va lui filer une énorme gifle, sauf que Kévin a l’habitude et hop, il se baisse… Et c’est le client qui se prend la mandale !
- « Mon pauvre monsieur, je suis désolé, ce n’est pas vous que je visais… Bon, je vais vous mettre une compresse sur l’oreille et Kévin va terminer votre coupe, d’accord ? »
Alors Kévin reprend le rasoir et entreprend de terminer sa coupe. Il est encore plus nerveux lorsqu’il attaque l’autre côté… Tellement nerveux et tellement tremblant que d’un geste fou il tranche la deuxième oreille du client ! Ça рissе à nouveau le sang sur le carrelage su salon et une fois de plus, son père se ramène furibard !
- « Espèce de petit соn, tu te rends compte de ce que tu as fait ? »
Et il va lui recoller une mandale, mais Kévin est un maître de l’esquive et hop, la mandale atterrie sur le nez du client, une fois de plus.
Après s’être excusé une fois de plus auprès du client, et après avoir stoppé l’hémorragie au moyen d’une compresse, le coiffeur dit à son fils :
- « Bon, je te laisse une dernière chance. Tu vas terminer la coupe de monsieur… »
Et Kévin, secoué de tremblements, se remet en piste. Il a presque terminé. Il va enfin pouvoir se décontracté lorsque… « ZIP! » D’un seul coup d’un seul, il vient de couper le bout du nez du client.
Alors le client se retient de crier et tire Kévin par la manche pour lui dire à l’oreille :
- « Surtout ne dites rien : je crois que votre père n’a rien vu cette fois. »
- Que se passe-t-il ? S’inquiète un coiffeur, en voyant pénétrer dans sa boutique un homme avec les cheveux dans un état épouvantable : des mèches partant dans tous les sens, des échelles, des endroits entièrement rasés… Ma parole, vous étiez dans le coup de l’attaque de la diligence ?
- Ne m’en parlez pas, gémit le malheureux, d’un air accablé. C’est ma femme qui a voulu faire des économies. Hier soir, elle me dit :
- « Assieds-toi, chéri. Prends un magazine. Bouquine tranquillement, je vais te couper les cheveux comme ils l’ont expliqué à la radio. ». Bon bougre, j’obéis. Je me plonge dans Paris Match. Pendant ce temps-là, ma femme coupait, taillait, tondait… Je ne me méfiais pas du tout. Jusqu’au moment où, sans arrêter de manœuvrer ses instruments, elle m’a dit :
- « Ne tourne pas la page, chéri. Je n’ai pas tout à fait fini de lire cet article. »
Joséphine fait son entrée chez le coiffeur. Les autres clientes ne manquent pas de remarquer qu’elle a encore le ventre bien rond.
- Dis-nous Joséphine, tu ne serais pas encore enceinte toi ? Lui demande en souriant la coiffeuse.
- Ben si, répond Joséphine.
- Et c’est ton combientième ? Le neuvième, c’est pas ça ? Continue la coiffeuse.
- Ben oui, avoue la pauvre femme.
- Mais Joséphine, entre nous, tu ne trouves pas que ça fait un peu beaucoup, neuf enfants ? Poursuit l’agréable coiffeuse.
- Oh ben si… mais pour que je tombe enceinte si souvent, c’est qu’il doit y avoir quelque chose dans l’air…
- Ah ça je pense bien, répond la femme de l’art, tes jambes !
C’est un gars qui rentre chez le coiffeur. Comme il n’y a personne, il s’installe directement dans le fauteuil ,et il dit à l’adresse du coiffeur :
- Je voudrai une coupe, toute simple. Mais avant que vous ne commenciez, je veux que vous sachiez que j’aime beaucoup le genre de temps que l’on a en ce moment, que je me fous éperdument que le PSG ne gagne plus ses matchs depuis plusieurs mois, que je ne chasse pas, que ma voiture n’est pas une Renault mais qu’elle tombe quand même en panne de temps en temps, que je ne joue pas au loto ni au P. M. U., que la vie des stars m’indiffère, et en dernier lieu, que je déteste parler politique. Maintenant, allez-y, faites votre boulot…
Le coiffeur lui répond :
- D’accord. Et de mon côté, je ne voudrais pas vous offenser, mais je travaillerai vite et mieux si vous n’étiez pas tout le temps en train de parler !