Blagues cinéma

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Deux metteurs en scène bavardent :
- Alors, comme ça, personne ne s’est étonné de voir un accident de voitures dans votre film sur la Grèce antique ?
- Non, répond l’autre, mais en revanche, j’ai reçu au moins une quinzaine de lettres qui attiraient mon attention sur le fait que les voitures étaient immatriculées aux Etats-Unis !

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En plein milieu d’une séance de cinéma, alors que la salle est plongée dans l’obscurité et que tout le monde est pris par le film, on entend tout à coup une jeune femme hurler :
- Aaaaah !
Puis une deuxième :
- Ououououh !
Et une troisième :
- Aowwwww !
Tant et si bien que le directeur du cinéma interrompt la projection, rallume la salle et descend pour voir ce qui se passe. Là, entre deux rangées de fauteuils, il trouve un homme à quatre pattes et lui demande :
- Mais monsieur, qu’est-ce que vous faites ?
- Excusez-moi, fait l’autre. Voilà ce qui se passe… J’ai perdu ma moumoute. Alors comme je suis un peu bigleux, je la cherche partout. Le problème, c’est que ça fait trois fois que je mets la main dessus, et ça fait trois fois qu’elle se barre en courant !

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À son mari qui lui propose de sortir, une femme répond :
- Ça me dégoûte d’aller au cinéma. De nos jours, il y a vraiment trop de sexe !
- Si tu faisais comme moi, répond le mari, en t’intéressant au film, tu ne ferais pas attention à ce qui peut se passer dans la salle.

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- C’est chaque week-end pareil, gémit une femme. On reste là, avachis, comme deux larves, à regarder de vieux navets à la télévision. J’en ai marre, tu entends, j’en ai marre !
- Bon, répond son mari. Mets ton manteau. Je te sors.
- Oh ! Mon chéri, c’est merveilleux. Et où m’emmènes-tu ?
- Voir le plus récent des navets, au cinéma.

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- J’ai vu un film assez curieux, hier, dit un amateur de salles obscures. Un western, dirigé par un metteur en scène nommé Brave-Oeil-de-Faucon-de-la-Grande-Prairie.
- C’est bizarre, ce nom.
- Il s’agit d’un Indien.
- Ah ! Bon ! Et qu’a-t-il de spécial, ce film ?
- Et bien, à ma connaissance, c’est le seul western où, à la fin, la cavalerie n’arrive pas à temps pour sauver la fille du shérif.

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- C’est merveilleux ! S’extasie un producteur hollywoodien, en visionnant une scène d’émeute. La fureur de ces figurants attaquant la forteresse et détruisant tout sur leur passage est criante de vérité. Comment avez-vous obtenu un tel résultat ?
- Simplement, répond le metteur en scène. En prenant la précaution de leur annoncer, juste avant le tournage de cette séquence, que vous aviez décidé de réduire de moitié le montant de leurs cachets.

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À Hollywood, un producteur, tout nouveau dans le métier, demande à un survivant des années cinquante.
- À votre avis, les Oscars, ça a de l’importance, pour les recettes des films ?
- Bien sûr. Le soir où des millions de gens restent devant leur téléviseur pour suivre la cérémonie de leur distribution. Ce soir-là, on ne fait pas un cent dans les salles. À cause de ces ahuris, nous autres, producteurs, perdons une fortune.

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- J’ai eu raison, dit un agent artistique à l’un des comédiens dont il s’occupe, de te faire signer pour ce rôle où tu te déguises en femme. Pour les prochains Oscars, tu es nominé dans la catégorie Meilleur acteur…
- Formidable !
- Attends ! Ta performance a été tellement appréciée que tu es également nominé dans la catégorie « Meilleure actrice ».

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Deux vieilles stars de Hollywood se retrouvent à l'occasion de la cérémonie des Oscars. La première veut se faire mousser et lâche :
- Tu sais que j'avais fait assurer cette poitrine pour un million de dollars ?
L'autre :
- Ha oui ? Et tu as fait quoi de tout cet argent ?

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Un acteur de complément va trouver un réalisateur dans le but d’obtenir un petit rôle.
- Vous avez déjà joué dans des choses importantes ? s’enquiert l’homme du septième art.
- J’ai joué dans « Julie Lescaut », je faisais un tueur, répond le comédien.
- Et ensuite ?
- Je faisais un assassin dans « Les Cordier ».
- Ah…
- Dans « Navarro », j’étais l’ennemi public n° 1, et dans « Une femme d’honneur » j’exterminais aussi quelques personnes…
- En somme, remarque le réalisateur, vous êtes une sorte de tueur en série !

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Un réalisateur de films très connu vient de mourir. Il arrive devant Sаinт-Pierre qui est ravi de l’accueillir :
- Ah.. Enfin vous ! Vous savez que nous vous attendions avec impatience ! Dieu veut produire un film et nous avions besoin du plus grand des réalisateurs…
Le réalisateur :
- Non, non, non ! J’en ai fini avec ce métier. J’aimerai me reposer maintenant. J’ai bossé dans le show-biz pendant 40 ans. C’est assez. Trouvez quelqu’un d’autre.
Saint-Pierre :
- Attendez… Le scénario est de Shakespeare tout de même
Le réalisateur :
- Ouais, c’est pas mal. Je verrais le film lors de sa sortie, c’est promis. Mais ne comptez pas sur moi pour le réaliser.
Saint-Pierre :
- Et les décors sont le fruit de la collaboration entre Léonard de Vinci et M. C. Escher…
Le réalisateur :
- C’est bien, mais j’ai vraiment besoin d’arrêter le métier. Peut-être une autre fois !
Saint-Pierre :
- La bande son est une oeuvre originale de Beethoven, une symphonie ! Allez, un effort…
Le réalisateur :
- Vous commencez à me tenter Sаinт-Pierre…
Saint-Pierre :
- Voici de quoi vous décider : vous aurez un budget illimité, votre casting sera d’enfer -heu, de Paradis- et vous disposerez de tout le matériel nécessaire sur le champ !
Le réalisateur :
- D’accord, d’accord. C’est bon, j’accepte. Où est le chef de plateau ?
Saint-Pierre :
- Là-bas. Mais avant toute chose, il y a quelque chose dont je voulais vous parler : Vous voyez, Dieu a une petite amie, et comment dire, elle chante…

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A Hollywood, un bel acteur, renommé pour être un homosexuel, vient de tourner un film dans lequel il joue une scène d’amour torride avec Sharon Stone.
- Cette séquence, raconte-t-il, à un journaliste, a été la plus difficile…
- …A réaliser ?
- Non. A faire gober aux spectateurs.

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Ils vont bientôt sortir la suite de Titanic… Cela s’appellera :
- « Tita se repose. »

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- Pensez-vous, demande-t-on à une mère de famille que le cinéma puisse avoir une mauvaise influence sur les enfants ?
- Certainement. Par exemple, c’est après avoir vu Massacre à la tronçonneuse, à la télévision, un soir où mon mari et moi étions allés au concert, que notre fils a eu l’idée épouvantable…
- De débiter en tranches un de ses camarades d’école ?
- Pire ! D’arroser n’importe quel plat qu’on lui sert avec du ketchup.

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Dans un hall de cinéma, une spectatrice dit à une autre :
- C’est curieux qu’au moment de se lancer dans la carrière d’acteur ce Schwarzenegger n’ait pas pris un nom qui fasse rêver davantage.
- Lequel, par exemple ?
- Et bien, plutôt qu’Arnold Schwarzenegger, il aurait très bien pu choisir quelque chose comme Roméo Schwarzenegger.

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Un producteur de cinéma, qui s’était trop surmené, avait dû aller se reposer dans une maison de santé où il était pratiquement coupé du monde. Après quelques semaines de soins, une infirmière le trouve en train de feuilleter avec passion l’annuaire du téléphone.
- Qu’est-ce que vous lisez là ? Demande-t-elle.
- Le script de ma prochaine superproduction. L’histoire ne vaut pas grand chose mais quelle distribution !

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A Hollywood, un scénariste présente son dernier synopsis à un producteur.
- Comme vous me l’avez demandé, dit-il, j’ai situé l’action du film en Alaska.
- Parfait.
- Alors, j’ai imaginé que cet état se trouvait frappé d’une vague de chaleur, avec des pointes à 40°C à l’ombre.
- Une vague de chaleur en Alaska ? Mais pourquoi donc ?
- Voyons, si nous faisons évoluer notre vedette féminine au milieu des neiges, comment voulez-vous trouver un prétexte pour qu’elle exhibe ses charmes en revêtant un bikini ?

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Un cinéaste vient de se voir décerner le HOT D’OR du film le plus pornographique de l’année :
- Je dois avouer, déclare-t-il, devant les caméras de la télévision, que j’éprouve, aujourd’hui, des sentiments mêlés. D’une part, je suis très heureux de recevoir cette récompense pour une production où tous les records de galipettes sont battus. Et, d’autre part, je ne peux m’empêcher de regretter que le sujet de ce film ultra-роrnо m’ait été inspiré par la lecture du journal intime de ma fille de quinze ans.

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