Un homme marié va à confesse et avoue au curé :
- Mon Père, pardonnez-moi parce que j’ai pêché… J’ai presque eu une relation avec une femme en dehors du mariage, presque…
- Qu’est-ce que vous entendez par « presque » ?
- Ben, on s’est déshabillé, puis on s’est frotté l’un contre l’autre, et puis je me suis ressaisi et j’ai tout arrêté.
Le prêtre lui répond :
- Ecoutez mon fils, pour moi, se frotter nu l’un contre l’autre, c’est la même chose que d’aller jusqu’au bout de l’acte et « de le mettre dedans ». Alors je vais vous dire une воnnе chose : vous direz 5 « Je vous salue Marie » et vous mettrez 50 euros dans le tronc des pauvres !
Le gars quitte le confessionnal et s’en va un peu plus lоin pour prier et se repentir. Puis il va vers le tronc des pauvres, sort un billet, et s’apprête à partir lorsque le curé l’interpelle :
- Hé je vous ai vu ! Vous n’avez pas mis votre billet dans le tronc des pauvres !
Et le gars répond :
- Mais Mon Père, j’ai frotté le billet contre la boite, et vous venez de me dire que c’est pareil que si je l’avais mis dedans…
Un homme conduit sa femme à la maternité car elle est sur le point d’accoucher. Le gynécologue leur dit qu’il a développé une machine qui permet au mari de partager avec sa femme la douleur de l’accouchement.
Ceci dans le but louable de montrer à l’homme qu’est-ce que c’est que la douleur, et pour permettre que la femme ait moins mal. Le gynécologue propose donc au couple d’essayer la machine, ce qu’ils acceptent.
L’accouchement commence, et le médecin donne, grâce à la machine, 20% de douleur au mari – en lui précisant que 20%, c’est déjà plus que n’importe quelle douleur qu’il a déjà pu ressentir – mais le mari est surpris car il ne sent quasiment rien.
Alors le médecin monte la peine ressentie par le mari à 50% (le mari ne bronche pas) puis à 100%…
Après que le bébé soit venu au monde, le mari se lève et s’étire. La femme est très reposée, n’ayant ressenti quasiment aucune douleur, et le mari pareil.
Ce n’est que deux jours plus таrd, en rentrant chez eux, qu’ils apprirent que le postier était mort dans d’atroces douleurs en faisant sa tournée.
Les trois grands enfants d’un milliardaire viennent se confesser à lui :
- Papa, lui dit le premier, j’ai fréquenté pendant quelque temps une danseuse de cabaret et voilà qu’elle est enceinte. Alors, pour rompre, il me faudrait 100.000 euros.
- Très bien, mon fils, répond le nabab, en tirant son carnet de chèques. Les voici. Et toi ?
- Il m’arrive la même mésaventure, papa, explique son second fils. Et moi aussi, pour me dégager de cette liaison, il me faut 100.000 euros.
- Bon, dit le père, en signant son deuxième chèque. A toi, maintenant.
- Papa, avoue sa fille en rougissant, je suis enceinte et le père de mon enfant veut m’abandonner.
- Ah ! enfin, s’écrie le père, un peu d’argent qui va rentrer !