Le curé de la paroisse est découragé. Les fruits de la quête du dimanche sont misérables. Un jour il en parle au curé d'une autre paroisse qu'il connait. L'autre curé lui dit :
- J'avais le même problème mais j'ai trouvé la solution. Pendant l'office, j'hypnotise mes fidèles en balançant ma montre devant eux et je leur dis :
"Je veux que chacun d'entre vous donne 10 euros à la quête."
Notre curé trouve l'idée formidable et le dimanche suivant, décide d'essayer le truc. Il sort sa montre, la balance devant ses fidèles et leur dit :
- Je veux que vous chacun d'entre vous donne un euro à la quête.
À son grand étonnement, tous les paroissiens présents dans l'église mettent un euro dans l'assiette. Encouragé, le dimanche suivant, il recommence mais cette fois, il leur demande 5 euros. Et sa marche !
La semaine suivante, il est sûr de lui. Il va demander 10$ et ça marchera !!! Il est sûr de lui. Donc il sort sa montre, la balance et il dit :
- Je veux...
Et au même moment, il échappe sa montre.
- Меrdе !
Ça a pris une semaine pour nettoyer l'église.
Un curé débarque dans un petit village. Il cherche la poste mais, ne la trouvant pas, se rend dans un bar pour demander son chemin.
Le problème est que personne ne prête attention à lui.
Alors qu'il s'apprête à sortir, un mec bourré l'interpelle:
- Hep, msieur l'curé ! Vous cherchez la poste ?
- Oui mon fils, lui répond-il, pourriez-vous m'indiquer le chemin à prendre ? Je vous en serais très reconnaissant.
- Avec plaisir mon père ! Vous partez tout droit, vous prenez à droite, puis à gauche et encore à gauche.
Le curé s'éxécute et trouve effectivement le bureau de poste qu'il cherchait.
Souhaitant remercier le seul qui l'a aidé, il retourne au bar pour prêcher la воnnе parole à l'homme ivre:
- Mon fils, je vous suis reconnaissant de votre aide, c'est pourquoi j'aimerais vous montrer le chemin vers le paradis.
Le type saoul lui répond alors:
- Le chemin vers le paradis ? Mais tu connais même pas celui de la poste !
Le jeune Roi Arthur fut fait prisonnier par le monarque d'un royaume voisin.
Celui-ci aurait pu le tuer, mais il fut ému par la jeunesse de son prisonnier et il lui proposa un marché : il lui laisserait la vie sauve s'il réussissait à trouver la réponse à une question très difficile.
Arthur aurait un an pour trouver la réponse ; si au bout d'un an, il revenait avec la réponse, alors il serait libre, sinon, le monarque le tuerait.
La question était : que veulent réellement les femmes ? Une telle question rendrait perplexe n'importe quel homme d'expérience, mais pour le jeune roi, la réponse paraissait impossible à trouver.
Mais, ce marché étant toujours préférable à la mort, Arthur accepta la proposition du Roi et promit de revenir dans un an avec la réponse à cette difficile question.
Il repartit alors dans son royaume et commença à chercher la réponse à cette question en interrogeant tous ses sujets : la princesse, les prostituées, les prêtres, les sages, les courtisans..
Finalement, il interrogea tout le monde, mais personne ne put lui donner une réponse satisfaisante.
Ce que la plupart des gens lui conseillèrent fut d'aller consulter une vieille sorcière qui seule pourrait connaître la réponse.
Mais le prix serait élevé, la sorcière étant en effet connue dans tout le royaume pour les tarifs exorbitants qu'elle réclamait pour ses services...
Le dernier jour de l'année de réflexion accordée étant arrivé, Arthur n'avait plus le choix et il alla consulter la sorcière. Elle accepta de répondre à sa question, mais à condition qu'il lui accorde d'épouser Gawain, le plus noble des chevaliers de la Table Ronde, et l'ami le plus cher d'Arthur !
Le jeune Arthur fut horrifié : La sorcière était bossue et véritablement hideuse, elle n'avait plus qu'une dent, sentait l'eau croupie et faisait sans arrêt entendre des bruits obscènes... c'était la créature la plus répugnante qu'il ait jamais rencontré. Il refusa d'obl… >> Cliquez pour lire la suite
Un bistrot en zone occupée, en 1943. Le propriétaire a un perroquet qui crie tout le temps :
- À mort les Boches ! A mort, sales Boches !
Au début, les Allemands du coin s'amusent :
- Ach, das ist ein lustiger Papagai !
Mais à la fin cela les énerve et le feldwebel dit au gargotier :
- Si demain le perroquet recommence à nous traiter de sales Boches, tu seras fusillé avec lui !
Le cafetier prend son perroquet et va chez le curé, qui lui propose de faire un échange avec le sien, de la même espèce.
Le lendemain soir, les Allemands sont là et le perroquet reste silencieux. C'est comme cela tous les jours mais au bout de quelques semaines les Allemands regrettent les injures du perroquet. Ils commencent à lui parler et à lui demander de parler :
- Dis-nous encore à mort les Boches ! Papagai ! Sales Boches ! Sales Boches !
Finalement, le perroquet les regarde calmement et leur crie :
- Que Dieu vous entende, mes fils !
Un jour, un curé s’est engagé dans une course, sur son âne nommé « CUL », et il a gagné. Le curé était tellement content de son âne qu'il s’est engagé de nouveau dans une autre course et il a gagné encore une fois.
Le journal local a écrit en première page :
- « Le cul du curé va de l'avant ».
L’évêque était tellement contrarié par ce genre de publicité qu'il a ordonné au curé de ne pas inscrire l'âne dans une autre course.
- « LE CUL DU CURÉ DÉPLAIT À L’ÉVÊQUE » a titré le journal ; C'en était trop pour l'évêque alors il ordonna au curé de se débarrasser de l'âne.
Le curé a décidé de le donner à une religieuse dans un couvent proche. Le journal local, entendant la nouvelle, a posté le titre suivant le lendemain :
- « Une nonne a le meilleur cul de la ville. »
L'évêque s'est évanoui... Il a informé la religieuse qu'elle devrait se débarrasser de l'âne, alors elle l'a vendu à une ferme pour 10 €.
Le lendemain, le journal disait :
- « Une nonne vend son cul pour 10 € »
C'en était trop pour l'évêque alors il a ordonné à la religieuse de racheter l'âne et de le conduire dans les plaines où il pourrait courir à l’état sauvage.
Le lendemain, les titres se lisaient comme suit :
- « La nonne annonce que son cul est libre et à l’état sauvage. »
L'évêque a été enterré le lendemain.
La morale de l'histoire :
Être préoccupé par l'opinion publique peut vous apporter beaucoup de chagrin et de misère… Et même, raccourcir votre vie. Alors soyez vous-même et profitez de la vie. Arrêtez de vous inquiéter pour le cul des autres, occupez-vous juste de vos propres fesses ! Vous vivrez plus longtemps !
C’est un curé qui exerçait son sacerdoce en ville, et qui vient de prendre sa retraite à la campagne, dans un petit village de la Creuse.
Il a acheté une petite maison dotée d’un jardin et le moment de tondre la pelouse est arrivé. Au cours d’une ballade dans le village, il a remarqué le panonceau « TONDEUSE À VENDRE » devant la maison de Toto.
Se rendant sur place, il est accueilli par Toto lui-même qui était en train de tondre la pelouse justement, et qui l’emmène voir la machine.
Le curé essaie la tondeuse, ralentit, accélère, tond un peu de gazon, et voyant que tout fonctionne bien, fait un chèque de 150 euros à Toto et rentre chez lui avec la tondeuse.
Un peu plus таrd dans la journée, Toto passe en vélo devant monsieur le curé. Il s’arrête pour regarder l’ex-prêtre s’escrimer à tirer sur la corde du démarreur sans autre résultat que des « Beurrh Beurrh » lamentables.
Toto lance à son acheteur :
- Alors Monsieur le curé, qu’est-ce qui se passe ?
- Ah ben, tu tombes bien ! Je n’arrive pas à démarrer ta tondeuse. Tu peux m’aider ?
Et Toto répond :
- C’est parce qu’il y a une méthode. Pour la faire démarrer, il faut la traiter !
- Qu’est-ce que tu veux dire par « la traiter » ?
- Ben, il faut lui balancer tous les jurons qu’on connaît, la maudire, la traiter quoi…
- Mais mon garçon, je suis un curé tu sais, et à supposer que j’aie un jour utilisé des jurons, j’ai oublié comment on faisait après toutes ces années au service du Bon Dieu !
Alors Toto lui répond :
- Bah, vous en faîtes pas monsieur l’curé. Si vous continuez à tirer cette corde, tout ça va ne va pas tarder à vous revenir…
Fernand va se confesser :
- Mon père, avoue-t-il d’un air contrit, tout à l’heure en venant à l’église, je suis passé devant chez Emile, la porte de sa cave était ouverte… il n’y avait personne, alors je suis descendu et j’ai bu quelques bouteilles.
- C’est très mal, mon fils ! s’exclame le prêtre, et combien en as-tu bu ?
Le gars Fernand fait un rapide calcul :
- Trois, mon père, mais pendant que vous y êtes, punissez-moi pour six, des fois que l’Emile ne soit pas encore rentré quand je repasserai devant chez lui.