Blagues sur les Américains
Attention, ceci n'est pas une blague, c'est un test pour savoir si vous pensez comme les psycopathes . Attention, j'ai bien dit pensez, et pas vous ÊTES un psycopathe . Désolé si ce n'est pas forcément une blague, mais je n'ai trouvé aucun autre site pour parler de ce test . Il a été utilisé sur des criminels américains et tueurs en série et 87% d'entre eux ont répondus vrais . Je précise que si vous trouvez la воnnе réponse, c'est que vous pensez comme un psycopathe . Donc si vous trouvez la mauvaise, vous êtes quelqu'un de normal .
N'hésitez pas au passage a me dire si vous pensez comme un psycopathe ou pas !
Le voici, le test :
Une fille mature va à l'enterrement de sa grand-mère, et y voit un mec, c'est immédiatement le coup de foudre . Malheureusement, l'enterrement se finit et tout le monde doit rentrer chez soi . Trois jours après, la fille poignarde sa mère et flingue sa sœur . Pourquoi ? La réponse est quelques lignes plus bas !Ne regardez pas pour éviter le spoil ne regardez que quand vous avez réfléchi .
Elle voulait revenir à l'enterrement pour revoir le mec ! Si tu as trouvé cette réponse, tu tueras au moins un animal ou quelque chose quand tu sera grand, ou, si tu es déjà grand, dans les prochains mois ou jours .
Premier jour d'école dans une classe américaine. L'institutrice présente à la classe un nouvel élève, Sakiro Suzuki (le fils du boss de Sony). L'heure commence.
L'institutrice :
- Bon, voyons qui maîtrise l'histoire de la culture américaine. Qui a dit :
"Donnez-moi la liberté ou la mort ?"
Pas un murmure dans la salle. Suzuki lève la main :
- Patrick Henry, 1775, à Philadelphia.
- Très bien Suzuki !
- Et qui a dit : L'ETAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE PEUT PAS SOMBRER ?
- Abraham Lincoln, 1863 à Washington, répond Suzuki.
L'institutrice regarde les élève et dit :
- Honte à vous ! Suzuki est Japonais et il connaît l'histoire américaine mieux que vous !
On entend alors une petite voix au fond de la classe :
- Allez tous vous faire f..., connards de Japonais !
- Qui a dit ça ? S'insurge l'institutrice.
Suzuki lève la main et sans attendre dit :
- Général Mc Arthur, 1942, au Canal de Panama et Lee Iacocca, 1982, lors de l'assemblée générale de General Motors.
Dans la classe plongée dans le silence, on entend un discret :
- Y'm'fait vomir ...
L'institutrice de hurler :
- Qui a dit ça ?
Et Suzuki :
- George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un dîner officiel à Tokyo en 1991.
Un des élèves se lève alors et crie :
- Pomp'moi l'gland !!
Et Suzuki, sans ciller :
- Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la Maison Blanche à Washington.
Un autre élève lui hurle alors :
- Suzuki, espèce de меrdе !
Et Suzuki :
- Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002.
La salle tombe littéralement dans l'hystérie, l'institutrice perd connaissance, la porte s'ouvre et le directeur de l'école apparaît :
- МЕRDЕ, j'ai encore jamais vu un bordel pareil !
Et Suzuki :
- Chirac, après s'être vu remettre les comptes de la Sécu par le premier ministre … >> Cliquez pour lire la suite
Galiciens (bruit de fond) : Ici le A-853, merci de bien vouloir dévier votre trajectoire de 15 degrés au sud pour éviter d'entrer en collision avec nous. Vous arrivez directement sur nous à une distance de 25 miles nautiques.
Américains (bruit de fond) : Nous vous recommandons de dévier vous-même votre trajectoire de 15 degrés nord pour éviter la collision.
Galiciens : Négatif! Nous répétons: déviez votre trajectoire de 15 degrés sud pour éviter la collision.
Américains (une voix différente de la précédente) : Ici le capitaine! Le capitaine d'un navire des Etats-Unis d'Amérique. Nous insistons, déviez votre trajectoire de 15 degrés nord pour éviter la collision.
Galiciens : Négatif ! Nous ne pensons pas que cette alternative puisse convenir, nous vous suggérons donc de dévier votre trajectoire de 15 degrés sud pour éviter la collision.
Américains (voix irritée) : Ici le capitaine Richard James Howard, au commandement du porte-avions USS LINCOLN, de la marine nationale des Etats-Unis d'Amérique, le second plus gros navire de guerre de la flotte américaine! Nous sommes escortés deux cuirassiers, 6 destroyers, 5 croiseurs, 4 sous-marins et de nombreuses embarcations d'appui. Nous nous dirigeons vers les eaux du Golfe Persique pour préparer les manœuvres militaires en prévision d'une éventuelle offensive Irakienne. Nous ne vous suggérons pas, nous vous ordonnons, de dévier votre route de 15 degrés nord! Dans le cas contraire nous nous verrions obligés de prendre les mesures qui s'imposent pour garantir la sécurité de cette flotte et de la force de cette coalition. Vous appartenez à un pays allié, membre de l'OTAN et de cette coalition, s'il vous plait, obéissez immédiatement et sortez de notre trajectoire.
Galiciens : C'est Juan Manuel Salas Alcántara qui vous parle, nous sommes deux personnes, nous sommes escortés par notre chien, par notre bouffe,deux bières et un canari qui est actuellement en train de dormir. Nous avons l'appui de la radio de la Corogne et d… >> Cliquez pour lire la suite
On rapporte une anecdote concernant la vie de Von Neumann, grand mathématicien américain de ce siècle.
Comme tout personnage reconnu doté d’un génie hors de la norme, notre sympathique savant s’efforçait de ne consacrer aux activités journalières qui nous préoccupent tous qu’un minimum d’attention, qui tendait vers 0 lorsque « t » tendait vers l’infini.
Il arriva un jour qu’il devait déménager, sa femme ayant géré toute l’opération depuis son début, tint à indiquer à notre savant cosinus l’adresse de leur nouveau home sweet home : elle la nota soigneusement sur un bristol qu’elle glissa dans la poche droite de son savant logarithme de mari. L’égérie du génie laissa son protégé au matin non sans lui rappeler qu’il quittait cette maison pour toujours.
Mais ce qui devait arriver arriva, et c’est là que les athéniens s’éteignirent. Une géniale idée traversa le génial cerveau du génial savant. La saisissant au vol, le savant exponentiel la nota sur un bout de papier qui traînait dans sa poche droite. Mais après avoir nettoyé ses lunettes, la géniale idée devint bête comme choux et le papier la supportant finit sa trajectoire parabolique dans une corbeille heureusement placée.
Le soir venu, notre hyperbolique savant quitta son travail et rentra chez lui. Comme vous l’avez tous deviné, il trouva porte close. En plein désarroi, il accosta une petite fille qui jouait à la marelle sur le trottoir.
- Dis-moi petite, je suis Monsieur Von Neumann, j’habitais ici, est-ce que tu sais ou j’habite ?
- Oui papa, maman m’a dit de venir t’attendre ici.
C’est l’entraîneur d’une équipe de football américain qui est en train de regarder CNN. Le reportage montre la guerre dans les territoires occupés, et plus précisément, il décrit les combats vécus du côté israélien : tout le reportage est centré sur un jeune appelé qui est la coqueluche de tous ses camarades car il a une force et une précision dans le bras incroyables !
On le voit tout d’abord jeter une grenade à main à plus de 100 mètres juste dans l’immeuble d’où provenaient les tirs palestiniens : BOUM !
Ensuite, il jette une autre grenade à main sur un groupe d’ennemis cachés derrière les ruines d’un char : Et RE-BOUM !
Enfin, c’est une voiture qui passe devant lui à plus de cent à l’heure et paf il parvient à faire passer la grenade par la vitre des assaillants et la voiture explose !!!
- « Je dois obtenir ce type pour le championnat » se dit l’entraîneur. Il décroche son téléphone, passe plusieurs coups de fil, donne quelques pots-de-vin par-ci-par-là, et une semaine plus таrd, le jeune troufion israélien est aux États-Unis, sur un terrain, en train de subir son premier entraînement de football américain.
Comme l’entraîneur l’avait subodoré, le jeune homme pulvérise tous les records de la NFL pour la précision de ses lancers et pour les touchdowns qu’il a généré. L’équipe va grâce à lui gagner le Superbowl.
Le jeune israélien est traité en véritable héros. L’entraîneur qui veut le remercier lui demande alors ce qu’il souhaite le plus au monde :
- « Je veux passer un coup de fil à ma mère », répond le jeune héros.
L’entraîneur donne son portable au jeune quarterback :
- Maman ? C’est toi ? Tu ne devineras jamais maman : j’ai gagné le Superbowl !
- Je ne veux pas te parler, dit la vieille femme. Tu nous a abandonnés. Tu n’es plus mon fils.
- Maman, je ne pense pas que tu comprennes ce qui m’arrive, plaide le jeune homme. Je viens de faire remporter à mon équipe la compétition sportive la plus regardée au monde ! Tous les jours, je suis cerné par des centaines de fans en délire dès que je quitte mon appartement.
- Non, laisse-MOI te dire ce qui ne va pas, s’énerve la mère. Au moment où je te parle, il y a des gens armés tout autour de nous. Ça tire dans tous les coins. On n’ose plus sortir de la maison. Le voisinage n’est qu’une pile de gravats, tes deux frères ont été battus par un groupe de vauriens et ta sœur a été attaquée et violée en plein jour !
La vieille dame marque une pause, elle est en larmes, et elle ajoute :
- « … Je ne te pardonnerai jamais de nous avoir fait déménager à Miami. »
C’est un couple d’Américains qui dînent dans un grand restaurant new-yorkais.
Ils en étaient au fromage, quand une splendide brune s’approche de la table et vient rouler une non moins splendide pelle au mari, pour repartir aussitôt.
- Qui c’est !? demande la femme interloquée.
- C’est ma maîtresse, répond calmement le mari.
- Je demande le divorce immédiatement !
- Comment ça… tu veux renoncer à tes manteaux de fourrure, la villa et le yacht à Miami, notre grand appartement et mes millions de dollars ?
La femme ne répond pas et chipote dans son assiette.
Dix minutes après, on leur apporte le dessert.
- Tu vois, dit le mari, à la table du fond là-bas, Jim Parker avec la blonde… Eh bien c’est sa maîtresse aussi.
La femme regarde un instant et replonge dans son assiette.
- Pff, la nôtre est mieux !…
Un soldat américain, après avoir passé six mois en Irak, a obtenu une permission de quinze jours. Fou de joie, il retrouve à Chicago sa jeune femme qui l’accueille, transportée d’enthousiasme. Après une soirée des plus mouvementées, ils s’endorment, éperdus de bonheur.
Au petit matin, la femme se met à rêver. Dans son sommeil, elle crie :
- Chéri, on frappe, c’est mon mari !
Aussitôt, mû comme par un ressort, le G. I saute du lit, rassemble ses vêtements épars et file se cacher dans un placard.
C’est Georges Marchais dans un avion. Il va sauter en parachute. Le gars lui explique :
- Alors voilà ! T’as deux parachutes : un dans le dos, et un sur le ventre. Tu sautes, et quand t’arrives à une certaine hauteur, t’ouvres le parachute que t’as dans l’dos. Si le parachute que t’as dans l’dos s’ouvre pas, t’ouvres le parachute que t’as sur le ventre… Et si le parachute que t’as sur le ventre, il s’ouvre pas… ben… tu l’as dans l’cul !
Arrive donc le grand moment. Georges saute ! Il tire la languette du parachute qu’il a dans le dos… le parachute s’ouvre pas !
- Меrdе ! Comment j’vais faire ! Ah ! Oui !
Il tire la manette parachute qu’il a sur le ventre… Pas d’bol, le parachute ne s’ouvre pas non plus !
- Hum… C’est trop соn c’t’histoire ! J’vais quand même pas m’éclater la tronche en bas !
A ce moment-là, un ange apparaît et dit :
- Je veux bien vous sauver… mais il faut crier trrrrès forrt « Vive l’impérialisme américain » !
- Non mais attends, ça va pas la tête ou quoi ? J’vais pas crier ça tout haut!… Non, non, je ne crierai pas, je ne crierai pas !
- Comme vous voudrez…
Et paf ! L’ange disparaît !
Georges voit peu à peu le sol se rapprocher de lui…
- Меrdе ! J’vais quand même pas m’écraser ! C’est pas possible !
Il réessaie donc les parachutes… Rien à faire, ils ne s’ouvrent pas !
L’ange réapparaît et dit :
- Alors, vous êtes prêts à crier :
- « Vive l’impérialisme américain » ?!
- Non ! J’peux pas crier ça ! Je ne crierai pas, je ne cr… (Il regarde le sol qui approche)… Bon, d’accord, mais c’est la première et la dernière fois !… VIVE L’IMPÉRIALISME AMÉRICAIN !!! VIVE L’IMPÉRIALISME AMÉRICAIN !
Et là son copain Fitterman qu’est à côté de lui lui donne un coup de coude et dit :
- Non seulement tu dors pendant les réunions, mais en plus tu trouves le moyen de dire des conneries !