Blagues sur les Américains
Un pasteur américain traverse les États-Unis en voiture. Il s’arrête dans un hôtel-restaurant et monte dans la chambre qu’il vient de louer. Sur la table de chevet, il trouve une bible, comme c’est souvent le cas dans ce pays.
Il lit quelques pages de la Bible, puis descend au bar. Là, il drague la barmaid et cette dernière accepte de monter dans la chambre du pasteur.
Ils se mettent au lit, mais la fille demande :
- C’est peut-être mal de faire ça ?
- Mais non, répond le pasteur, c’est écrit dans la Bible.
Ils passent la nuit ensemble et au petit matin la fille questionne de nouveau le pasteur.
- Montre-moi donc où c’est écrit dans la Bible.
- Tiens, regarde, dit le pasteur, qui ouvre la Bible et sort un petit papier laissé là par un voyageur précédent :
- « La barmaid accepte pour 30 dollars ».
Un organisme de tourisme a organisé une visite au Mont-Sаinт-Michel. La clientèle est très cosmopolite et Anglais, Belges, Italiens, Suisses et Américains voyagent ensemble.
Dans le car, un citoyen belge, très américanophile, a essayé d’engager la conversation avec son voisin californien, mais ne connaissant pas du tout l’anglais il a eu beaucoup de mal.
Arrivés à destination, ils se retrouvent tous au bar de l’hôtel où on leur offre l’apéritif. Le Belge cherche désespérément à parler à l’Américain et tout d’un coup aperçoit une fourmi. Il saute sur l’occasion et en montrant le petit animal, il dit :
- Fourmi.
L’Américain rectifie aussitôt :
- No, for me…
Le Belge insiste :
- Fourmi.
- For me…
- Fourmi.
L’Américain s’énerve, un peu éméché par les whiskies successifs et hurle :
- For me !
Et dans la foulée, il envoie un énorme coup de poing sur le nez du Belge qui se retrouve K.-O. Après avoir emmené le pauvre garçon dans sa chambre, un Anglais qui connaît bien la langue française explique au Californien sa méprise.
Le lendemain matin, tout le monde est dans le hall en attendant le car qui doit les emmener en excursion. Quand le Belge arrive à son tour, l’Américain confus et gêné de l’incident de la veille lui ouvre les bras en disant :
- Come here ! Come here !
- Comme hier ? Comme hier ? Alors ça ! Sûrement pas ! s’exclame le Belge.
Une jeune américaine revient aux États-Unis, après un voyage de noces en Europe, et va prendre le thé chez sa mère.
- Alors, ma chérie, ça c’est bien passé, avec ton mari ?
- Oh oui, maman. John a été égal à lui-même.
- Et l’Europe, c’était bien ?
- Superbe, maman.
- Qu’est-ce qui t’a le plus frappée, là-bas ?
La jeune fille réfléchit quelques secondes, mais quelques secondes seulement, puis répond :
- John.