Un avocat fou de football américain avait tout essayé pour obtenir des tickets pour la finale du Superbowl. Il parvint finalement, en payant une somme astronomique, à obtenir deux places côte à côte en tribune d'honneur. Le jour de la finale arrive. L'avocat s'installe. Son voisin immédiat entame la conversation pendant que la fanfare joue sur le terrain:
- C'est incroyable: le siège à côté de vous est vide. Je ne comprends pas... ça fait déjà 15 jours qu'on arrive plus à avoir de billets!
Et l'avocat répond:
- Oh, c'est la place de ma femme. Mais un incident de dernière minute l'a empêchée de venir.
Le voisin reprend:
- C'est dommage... Mais vous connaissez certainement un ami ou un parent qui aurait aimé la remplacer!
L'avocat:
- Si bien sûr... Mais ils sont tous à l'enterrement.

Deux avocats américains prennent le vol Los Angeles - New York. L'un est assis près du hublot, l'autre sur le siège du milieu. Juste avant le décollage, un chirurgien vient s'asseoir sur le troisième siège de la rangée, celui se trouvant au bord de l'allée. Aussitôt le chirurgien reconnaît les avocats :
"Hé, mais vous faites partie du cabinet Burnett & Burnett... Vous avez failli faire fermer mon hôpital avec vos procès à répétition..."
"Oui, c'est vrai," répondent les avocats, "Mais nous n'avons fait que notre métier. Faisons la trêve le temps de ce vol..."
"C'est d'accord" répond le médecin.
Sur ce, l'avion décolle. Pour être plus à l'aise, le médecin retire ses chaussures, et se remue les orteils pour se détendre. Au bout d'un moment, un des avocats dit qu’il va aller chercher un verre de soda. Le médecin lui propose gentiment d'aller chercher le verre pour lui, ce qui évitera le dérangement. Pendant qu'il est parti, l'avocat prend la chaussure du chirurgien et crache dedans. Lorsque le médecin revient avec un Coca, l'autre avocat dit aussitôt :
"Je m'excuse, je ne voudrais pas abuser, mais j'en prendrais bien un moi aussi..."
Très obligeamment, le médecin retourne cherche un autre verre de Coca, et pendant ce temps là, le deuxième avocat prend l'autre chaussure du médecin et crache dedans lui aussi ! Le chirurgien revient avec le deuxième Coca, le tend à l'avocat et se rassied. Au moment où l'avion atterri à New-York, il remet ses chaussures et aussitôt, il comprend ce qui s'est passé.
"Mais combien de temps est-ce que cela va durer à la fin ?!... Cette guéguerre entre nos professions ? Cette animosité ? Cette haine latente ? Ces crachats dans les chaussures et cette urinе dans les verres de Coca ?"...

C’est une histoire qui se passe dans un fort de l’armée américaine, du temps des cowboys et des indiens.
Un beau jour, alors qu’ils sont en train d’uriner dans les toilettes du fort, le capitaine du camp ne peut s’empêcher de voir la BITE MONSTRUEUSE du caporal que l’on avait l’habitude d’appeler « ptite bite ».
Le capitaine lui dit :
- Dis-donc ptite bite, qu’est-ce qui s’est passé. On t’a toujours appelé ptite bite, mais je vois qu’il va falloir te donner un autre surnom : ta bite fait bien 30 cm de long, c’est incroyable.
- Je vais vous expliquer pourquoi mon capitaine. Il y a deux jours, je faisais ma patrouille de surveillance à quelques miles d’ici, au nord. lorsque, alors que je passais sous un chêne incroyablement haut, je vois un génie posé sur une des branches de l’arbre. Alors le génie me dit :
« Je suis un génie. Je peux exaucer un de tes voeux si tu le désires. Je t’écoute ! ». Alors moi je lui ai demandé un sexe comme mon cheval. Depuis le temps qu’on me surnommait ptite bite, je n’attendais que ça… Voila l’histoire.
Le même jour, le capitaine prend son cheval, et va en direction du nord. Arrivé près du grand chêne, il trouve effectivement le génie… et les militaires étant ce qu’ils sont, il ne trouve pas d’autre vœu à formuler que celui de son caporal :
- Génie, puisqu’il paraît que tu peux réaliser un vœu, j’aimerai avoir un sexe de la taille de celui de mon cheval !
Une heure plus таrd, le capitaine rentre au fort en hurlant :
- QUEL EST L’ABRUTI QUI M’A SELLÉ UNE JUMENT ?
C’est l’histoire de Ben Laden qui arrive en Enfer. Tout de suite après être entré, il aperçoit deux personnes en grande discussion et qu’il reconnaît tout de suite. Ce sont Нiтlеr et Staline.
Ben Laden s’approche :
« Bonjour, je suis Ben Laden ».
Ils continuent à discuter comme si de rien n’était.
« J’ai été le grand terroriste international du début du 21ème siècle. »
Ils continuent à discuter de plus belle.
« Avant de mourir, j’étais le pire ennemi des Américains et des Juifs. »
Les deux s’arrêtent et se retournent.
« Le pire ennemi des Juifs, hmm », fait Нiтlеr.
« Le pire ennemi des Américains, hmm », fait Staline.
Ben Laden qui voit qu’il les intéresse enfin dit encore :
« À une époque, j’avais des milliers de gens à mes ordres qui étaient prêts à se sacrifier pour moi. Pour mieux les convaincre, je leur avais même dit que s’ils mourraient en martyrs, ils iraient droit au paradis où ils seraient accueillis par des dizaines de jeunes vierges. »
Hitler dit :
« Moi, j’avais des millions d’hommes qui étaient prêts à mourir sur un mot de moi, et je ne leur avais rien promis en échange. »
Staline dit :
« Moi aussi, des millions de gens sont même morts en me remerciant, et je ne leur avais rien promis non plus. »
Ben Laden continue :
« J’ai quand même fait tuer 3000 américains en moins de deux heures à New York et Washington. En plus, j’ai failli faire tomber un avion sur une centrale nucléaire, ce qui aurait tué au moins plusieurs dizaines de milliers de personnes supplémentaires et contaminé la région de Washington pendant plusieurs dizaines d’années. »
Hitler n’a pas l’air convaincu :
« Moi, en 5 ans, j’ai fait tuer 6 millions de juifs, des centaines de milliers d’homosexuels et de tziganes. »
Staline continue :
« Moi, en 30 ans, j’ai fait tuer 20 millions de personnes, j’ai aussi fait irradier une воnnе partie de la Sibérie avec des essais atomiques sur des zones habitées. »
Ben Laden essaie de continuer :
« Quand même, pendant plusieurs mois, j’ai été l’ennemi public numéro un du monde entier ! »
Hitler répond :
« Petit, moi j’ai été l’ennemi du reste de la planète pendant 5 ans. J’ai même failli être maître du monde. »
Staline dit :
« Moi, pendant 10 ans, j’ai été maître absolu du monde communiste, soit un tiers de la population mondiale. »
Ben Laden fond en larmes :
« Moi aussi je suis un génie du mal, vous n’avez pas à me mépriser comme ça. »
Hitler s’approche et le prend par l’épaule :
« Allons, allons. Tu sais, tu nous as amusé. On t’aime bien finalement... La preuve, d’ailleurs, avec Staline, on discutait pour savoir qui allait faire la femme ce soir, et bien on a trouvé ! »