Blagues sur les Américains
C'est un conducteur de taxi à Paris qui prend un touriste Américain. Il demande à ce qu'il lui fasse visiter la ville avant de le déposer. Ils passent devant le Louvre.
L'américain lui demande ''Hey, qu'est-ce que c'est, ça?''
Le conducteur de taxi lui répond ''Ça? Mais c'est la pyramide Louvre, mon gars.''
- Et en combien de temps vous l'avez construit?
- Euh... Chais pas, 5 ans...
- Ah, nous on le fait en trois mois ça...
Le conducteur ne relève pas et continue la visite. Il passe devant l'Arc de Triomphe.
- Et ça, demanda l'Américain, qu'est-ce que c'est ?
- Ça, s'étonna le conducteur, mais c'est l'Arc de Triomphe, avec le 14 Juillet et tout.
- Et en combien de temps vous l'avez construit ?
- Boah, une trentaine d'années...
- Et nous on vous fait ça en une semaine, ça ! Se vanta l'Américain.
Le conducteur commence à en avoir marre. Il l'amène aux Champs-de-Mars.
- Et ça qu'est ce que c'est ? en montrant du doigt la Tour Eiffel.
- Ça ? Je sais pas, c'était pas là ce matin.
Une ville française et une ville américaine de 50000 habitants chacune se sont jumelées. Au bout d’un an, les Américains invitent les Français pour célébrer le premier anniversaire du jumelage. Au cours d’un banquet, le maire Ricain dit au maire Français :
- J’ai eu une idée formidable. J’ai demandé à un ami architecte de faire des plans pour un centre de loisirs afin d’accueillir les jeunes et les personnes âgées en difficulté. L’idée serait de bâtir le même centre dans nos deux villes. Le projet a séduit mon ami, qui m’a fait les plans bénévolement. On pourrait baptiser ces deux centres du même nom, par exemple :
- « centre de solidarité franco-américaine », ou autre, bien sûr ! Qu’en dites-vous ?
- Cela me semble être une воnnе idée. Vous me donnez une copie de ces plans, et on s’appelle dans quelques mois.
Six mois plus таrd, le maire américain appelle le maire français :
- Hello, cher ami ! Dans quinze jours, notre centre sera achevé. Nous voulons vous inviter pour son inauguration. Et vous, où en êtes-vous ?
- Ben …nous, dans quinze jours nous devrions recevoir les formulaires et les dossiers à remplir afin d’obtenir le permis de construire dans les six mois. Mais pour l’instant, nous n’avons toujours pas de nouvelles des subventions !
Le Président des États-Unis, téléphone au président Français et lui demande :
- Nicolas, j'ai un service à vous demander : j'aurais un urgent commande for you. Notre usine de condoms est hors-service. C'est un disaster.
- Allons, Barack, calmez-vous, qu'est-ce qu'on peut faire pour vous aider?
- Well Nicolas, j'aurais besoin d'environ 100,000 condoms pour nous dépanner, il faut qu'ils soient livré le plus vite possible.
- Pas de problème, je vous envoie ça rapidement.
- Les condoms doivent être rouges, bleus et blancs, avoir 40 cm de long et un diamètre de 15 cm.
Sarkozy est abasourdit par les dimensions. Il se dit qu'Obama veut juste se vanter, lui et toute la population américaine. Néanmoins, il appelle une usine de préservatif.
- Bonjour, ici Nicolas Sarkozy. Je voudrais 100 000 capotes pour envoyer aux États-Unis. Ils demandent qu'ils soient bleus, blancs et rouges. Et de préciser les dimensions.
Le PDG de l'usine s'exclame :
- Ouaaah ! Ils sont équipés pour veiller таrd les Américains ! Parfait monsieur Sarkozy, je prépare cette commande. Autre chose ?
- Oui ! Sur chaque capote écrivez:
"Made in france. Size : small"
Un canadien prend son déjeuner (Café, croissants, pain de blé entier, confiture) dans un restaurant quand un gros américain, mâchant sa gomme balloune vient s'asseoir près de lui et lui dit :
- Vous autres au canada, vous mangez le pain de blé entier au complet ?
- Bien sûr !
- (Tout en mâchant sa gomme) Pas nous autres. Aux États, on mange rien que de la mie. Mais on récupère les croûtes dans un conteneur, on les recycle, on les transforme en croissants puis on les revend au canadiens.
Avec un petit sourire en coin, le canadien écoute en silence. L'Américain :
- Mangez vous de la confiture avec votre pain ?
- Évidemment.
- (Tout en mâchant sa gomme et en se moquant du canadien) Pas nous autres. Aux États, on mange des fruits frais au déjeuner. Ensuite avec les pelures et les graines qu'un met dans un conteneur, on les recycle, on les transforme en confiture puis on vend ça au canadiens.
Le canadien lui demande :
- Baisez vous aux États ?
- Bien sûr que oui !
- Qu'est-ce que vous faites avec les condoms après les avoir utilisés ?
- (Tout en mâchant sa gomme) On les jette à la toilette évidemment.
- Pas nous autres. Au canada, on les met dans un gros conteneur, on les recycle, on en fait de la gomme balloune puis on en vend au américains !
Aux Etats-Unis, dans un parc d'enfants, un jeune arabe se balade. Soudain, il voit un pitbull errant, sale, semblant porteur de la rage, qui commence à s'attaquer à une fillette. Tandis que l'enfant hurle de peur, ni une ni deux l'arabe fonce droit vers le chien, l'attrape et lui tord le cou. Une foule de passants ayant vu la scène l'acclame tel un héros. Parmis ce groupe de personnes, un journaliste qui s'approche de l'arabe et lui demande:
- Monsieur, j'aimerais vous poser quelques questions, cela ne vous dérange pas ?
L'arabe accepte et répond au journaliste. Ce dernier, après l'interview, conclut:
- Merci beaucoup, et bravo encore pour cet acte héroïque ! On entendra parler de vous ! Je vois déjà la une du journal demain:
"Un jeune new-yorkais sauve une jeune enfant des griffes d'un pitbull enragé" !
L'arabe rectifie:
- Mais... je ne suis pas new-yorkais.
Le journaliste continue donc:
- Et bien dans ce cas:
"Un jeune et brave citoyen américain évite la mort à une fillette en la défendant d'un féroce chien errant" ! Qu'en dites-vous ?
Il le corrige encore une fois:
- Je ne suis pas américain non plus, je suis arabe.
Le journaliste ne dit rien et s'en va. Le lendemain, l'arabe est interpellé à son domicile. Ne comprenant pas, on lui montre la une du journal qui dit:
"Un extrémiste islamiste tue sans pitié le chien d'une petite fille"
Dans l'Ouest américain. Un shérif adjoint arrête un automobiliste pour excès de vitesse. L'automobiliste pressé tente de se défendre:
- Mais, shérif, j'ai une explication, laissez-moi parler et vous verrez, vous me laisserez partir!
- Taisez-vous! je vous emmène au poste. là vous attendrez bien sagement que le chef soit de retour.
- Mais shérif, ce n'est pas possible...
- Vous allez vous taire! Je ne prendrai aucune décision sans l'accord de mon chef. On va aller l'attendre au poste.
Deux heures plus таrd, le shérif adjoint s'adresse à l'automobiliste:
- Vous avez de la chance que le chef est au mariage de sa fille: Quand il va rentrer il sera de воnnе humeur!
- Ne comptez pas là-dessus, répond l'automobiliste.
- Ah bon? et pourquoi?
- Parce que son futur gendre, c'est moi, et qu'en ce moment, tout le monde m'attend à l'église.