Blagues sur les Américains
Un richissime Américain vient s'encanailler a Paris, ville dont un de ses potes a (discrètement), vanté les charmes sulfureux lors du dernier congrès conservateur. Il débarque à Orly, il saute dans un taxi :
- Haille, monsieuw, voudrwiez-vo condouiwre moi à Pigalle, please?
Le chauffeur acquiesce et hop.
Arrivé, il écarquille et finalement choisit. Blonde, mignonne, bien roulée, pas trop vulgaire, mais on sent l'efficacité. Un bon choix, quoi.
- Haille ! C'est combwien ?
- Trois cents, pour toi, mon chou.
- O. K. ! Let's go !
A peine arrivé dans la chambre borgne, suivant la fille, il ferme vigoureusement la porte, donne un tour de clef, et extirpe un gigantesque 44 Magnum chargé jusqu'à la gueule (la fille pâlit méchamment), :
- Well ! A pwoil, maintenant !
Elle se dessape fissa.
- All right, retouwrne yourself !
Elle s'exécute.
- Penche-toi en avant (bend over !),!
Il lui colle alors le canon de l'arme derrière l'oreille, et d'un coup, crac, sodomise la pauvrette apeurée (elle est au bord de la syncope),. Après avoir fait sa petite affaire, il remballe sérieusement son attirail, range le flingue, sort 300 dollars (!), de sa poche, les donne à la fille, ouvre la porte et s'en va tranquillement.
Martine, se remettant de ses émotions et ne comprenant plus rien, lui court après :
- Eh ! Monsieur ! J'ai droit à une explication, non ? Dites-moi, peut-être que cela ne se fait pas chez vous, mais ici, par derrière, c'est courant. Pourquoi avoir sorti le revolver ?
Il s'arrête, la regarde gentiment, sourit et lui répond :
- Well. Tou say, si je avais pas sowrti le wrevolvewr, ton twrou, il auwrait été gwros comme ça ! (avec un geste mimant une assiette),.
C'est un Belge, un Français et un Américain qui vont dans un hôtel. Malheureusement, il ne reste plus qu'une chambre avec un lit double. Ils acceptent. Vers minuit, il y a le Français qui éternue, mais très très fort.
Les deux autres râlent et l'engueulent. Vers une heure, l'Américain éternue à son tour. Après que les deux autres se soient énervés le Belge dit :
- "La prochaine fois, on prévient !".
Puis, vers deux heures, le Belge dit :
- "Attention", les deux autres se mettent sous la couverture, "Je pète !"
C’est l’histoire d’un couple stérile. Ils ont tout essayé et en désespoir de cause, ils se décident à consulter un grand spécialiste américain.
Ils se rendent donc de l’autre côté de l’Atlantique. Le problème c’est que le couple ne parle pas anglais et le spécialiste de la stérilité ne parle pas français. Néanmoins, il leur fait comprendre par des gestes qui ne portent pas à confusion qu’ils doivent se mettre au travail devant lui. Un peu gênés au départ, les deux protagonistes se livrent donc à un ébat sexuel devant le spécialiste mondial des problèmes de fécondité. Il commence alors à inspecter le couple sous toutes les coutures pendant 4 à 5 minutes puis crie STOP ! Et il s’engouffre alors dans son bureau et rédige une ordonnance qu’il remet au couple. Les deux amoureux sont soulagés, certains que le grand professeur a trouvé un remède à leur incapacité folle de procréer. De retour en France, ils s’empressent d’aller à la pharmacie et monsieur demande :
- Je voudrais du Trytheotherhole s’il vous plaît.
- Pardon ? Lui répond la pharmacienne.
- Ben oui, du Trytheotherhole comme c’est marqué sur l’ordonnance !
- Faites voir, demande la pharmacienne. Ah! je vois, vous avez mal lu, c’est écrit en anglais TRY THE OTHER HOLE, traduction (essayez l’autre trou)…
C’est une histoire qui se passe dans un fort de l’armée américaine, du temps des cowboys et des indiens.
Un beau jour, alors qu’ils sont en train d’uriner dans les toilettes du fort, le capitaine du camp ne peut s’empêcher de voir la BITE MONSTRUEUSE du caporal que l’on avait l’habitude d’appeler « ptite bite ».
Le capitaine lui dit :
- Dis-donc ptite bite, qu’est-ce qui s’est passé. On t’a toujours appelé ptite bite, mais je vois qu’il va falloir te donner un autre surnom : ta bite fait bien 30 cm de long, c’est incroyable.
- Je vais vous expliquer pourquoi mon capitaine. Il y a deux jours, je faisais ma patrouille de surveillance à quelques miles d’ici, au nord. lorsque, alors que je passais sous un chêne incroyablement haut, je vois un génie posé sur une des branches de l’arbre. Alors le génie me dit :
« Je suis un génie. Je peux exaucer un de tes voeux si tu le désires. Je t’écoute ! ». Alors moi je lui ai demandé un sexe comme mon cheval. Depuis le temps qu’on me surnommait ptite bite, je n’attendais que ça… Voila l’histoire.
Le même jour, le capitaine prend son cheval, et va en direction du nord. Arrivé près du grand chêne, il trouve effectivement le génie… et les militaires étant ce qu’ils sont, il ne trouve pas d’autre vœu à formuler que celui de son caporal :
- Génie, puisqu’il paraît que tu peux réaliser un vœu, j’aimerai avoir un sexe de la taille de celui de mon cheval !
Une heure plus таrd, le capitaine rentre au fort en hurlant :
- QUEL EST L’ABRUTI QUI M’A SELLÉ UNE JUMENT ?
Un avion est sur le point de se crasher. Il y a 5 personnes a bord et seulement 4 parachutes.
Le premier passager dit :
" Je suis Kobe Bryant, le meilleur joueur de la NBA. Les LA Lakers ont besoin de moi. Je ne peux pas mourir " . Il prend un parachute et saute.
Le second passager, Hillary Clinton dit:
" Je suis la femme de l'ex président des USA. Je suis aussi la femme la plus ambitieuse sur terre et je suis sénateur de New York et une présidente otentielle des USA... ".
Elle prend le second parachute et saute.
Le troisième passager, George W. Bush dit:
" Je suis le président des USA. J'ai de grandes responsabilités. Je suis le leader du monde libre et de la plus grande nation mondiale. Et plus encore, je suis le président le plus intelligent de l'Histoire Américaine, donc les Américains ne veulent pas me voir mourir". Il endosse le troisième parachute et saute.
Le quatrième passager, le Pape, dit au cinquième passager, un petit écolier de 10 ans:
" Je suis vieux et malade et il ne me reste pas beaucoup de temps sur terre de toute façon. En tant que catholique, je te donne le dernier parachute... "
Le gamin répond :
" Non, c'est bon, il reste un parachute pour vous. Le président le plus intelligent de l'Histoire Américaine a pris mon cartable...