Comment piloter un avion ?
1. Chaque décollage est optionnel. Chaque atterrissage est obligatoire. Tentez de toujours garder le nombre d'atterrissages que vous faites, égal au nombre de décollages.
2. Si vous poussez le manche à balai par en avant, les maisons deviennent plus grosses. Si vous tirez sur le manche à balai, elles deviennent plus petites. Une seule exception : si vous continuez de toujours tirer le manche à balai vers l'arrière, les maisons recommencent à devenir grosses.
3. Voler n'est pas dangereux. S'écraser est dangereux.
4. Il est toujours préférable d'être en bas et souhaiter être en haut que d'être en haut et souhaiter être en bas.
5. Le SEUL moment ou vous avez trop de carburant est quand l'avion est en feu.
6. L'hélice devant l'avion est un gros ventilateur conçu pour garder le pilote au frais. Lorsqu'il s'arrête, vous commencerez à avoir chaud... Il est donc important de le faire fonctionner en tout temps durant le vol.
7. En cas de doute, maintenez votre altitude ou montez. Aucun avion n'est jamais entre en collision avec le ciel. Plusieurs sont cependant déjà entres en collision avec le sol.
8. On peut définir un bon atterrissage par le fait que vous pouvez sortir de l'avion à pied sans blessures. On peut définir un excellent atterrissage par le fait que l'avion peut être réutilisé par la suite.
9. Apprenez par les erreurs des autres. Vous ne vivrez pas assez longtemps pour toutes les faire vous-même.
10. Si vous avez atterri et que vous devez mettre plein gaz pour avancer jusqu'au terminal, c'est que vous avez oublie de sortir le train d'atterrissage.
11. Les chances de survivre à un atterrissage sont inversement proportionnelles à l'angle d'atterrissage. Plus l'angle d'atterrissage est élevé, moins grandes sont les chances d'y survivre, et vice versa.
12. Restez à l'extérieur des nuages. Les reflets argentés qu'on voit dans les nuages peuvent être d'autres avions. Les montagnes sont… >> Cliquez pour lire la suite

C’est un pilote de bombardier anglais qui se fait descendre par la D. C. A. allemande au cours de la Deuxième guerre mondiale. On l’emmène à l’hôpital où il s’avère que sa jambe droite a subit de très gros dégâts. Seule l’amputation permettra de lui sauver la vie. L’anglais reste stoïque lorsqu’on lui annonce la nouvelle, mais il demande simplement à ce que son membre amputé soit expédié sur le sol anglais. C’est pourquoi il demande aux allemands si un de leurs pilotes ne pourrait pas emmener la jambe dans le cockpit d’un avion pour le balancer au cours du prochain raid sur Londres.
Les allemands trouvant l’idée très amusante, la jambe est emportée dans un bombardier dès le lendemain.
Une semaine plus таrd, il s’avère que la main du pilote anglais est sérieusement contaminée par un staphylocoque doré de la pire espèce. Une fois encore, la seule option est l’amputation. Comme la première fois, le pilote anglais est d’accord sous réserve que la main soit balancée sur le sol anglais.
Et le lendemain, la main est balancée en même temps que les bombes au dessus de Londres.
Mais deux semaines plus таrd, c’est la deuxième jambe du pilote qui donne des signes de faiblesse. Le pilote anglais s’apprête déjà à donner son accord pour l’amputation, mais cette fois-ci, les autorités militaires allemandes répondent « NON, pas question ! »
Le pilote anglais, perplexe, leur demande pourquoi ce revirement de situation. Et les allemands répondent :
- Nous pensons que vous cherchez à vous échapper.