Sarah et Moise viennent de se marier. A table :
- C’est bon, Sarah, ce que tu fais à manger. Mais tu ne voudrais pas me faire la recette des pastellas comme ma mère me la fait ?
Sarah, pour satisfaire son mari, lui prépare des pastellas pour le dîner du lendemain. A table :
- Comme c’est gentil ! Tu m’as fait des pastellas ! Ah elles sont pas comme ma mère les faisait. Tu as demandé à ma mère la recette ? Demande-lui, elle les fait très bien.
Sarah pousse l’abnégation jusqu’à téléphoner à sa belle-mère pour avoir la recette, et lui prépare le lendemain, avec la salade de poivrons. A table :
- Ah ! C’est très bon ! Mais ma mère, elle doit pas tout à fait faire comme ça.
Le lendemain, Sarah reçoit sa mère dans l’après-midi, pour le thé et les biscuits. Sa mère :
- Alors ma fille, heureuse en mariage ?
- … (petit soupir)
- Quoi ? il critique ta façon de cuisiner ?
- Oui belle maman.
- Ecoute mon conseil, ma fille. Ce soir, pas de petits plats, pas d’entrée, pas de dessert. Ce soir, tu mets un déshabillé affriolant, tu choisis une lumière tamisée, et tu l’attends dans la chambre.
Le soir, le mari entre, appelle sa femme :
- Sarah ?
La table n’est pas mise, pas d’odeur de cuisine.
- Sarah, où es-tu ?
Il avance vers la chambre, découvre sa femme dans un déshabillé transparent, éclairée par une lumière tamisée, et pousse un cri d’inquiétude :
- Sarah ! Qu’est-ce qui est arrivé à ma mère ?!
Avant de partir en voyage pour affaires, un business de confession juive se rend en Rolls-Royce jusqu’à une banque new yorkaise et demande un prêt court terme immédiat de 5000 $.
Le guichetier lui demande des garanties pour lui accorder le prêt. Alors l’homme d’affaire lui donne les clefs de Rolls en gage.
La Rolls est alors conduite dans le parking souterrain de la banque, et l’homme d’affaire empoche ses 5000 $.
Deux semaines plus таrd, le gars rentre d’Europe, demande au guichetier à rembourser son prêt et à récupérer sa Rolls. Le guichetier lui répond :
- Ça fera 5000 $ de capital et 15.4 $ d’intérêts.
Le gars prend son chéquier, remplit le montant, donne le chèque et s’en va avec ses clefs. A ce moment là, le guichetier l’interpelle :
- Monsieur, monsieur, avant que vous ne partiez, pouvez-vous m’expliquer une petite chose ? J’ai découvert pendant que vous étiez parti que vous êtes milliardaire. Comment se fait-il que vous ayez eu besoin d’emprunter 5000 $ ?
Et le gars répond avec un sourire:
- Et comment trouver un parking gardé pour garer ma Rolls pendant 15 jours et ne payer que 15.4 $ ?
C’est l’histoire de quatre rabbins qui discutent tous les jours de théologie, mais sur les quatre, il y en a toujours trois qui sont d’accord contre un qui n’est pas d’accord.
Un beau jour, le rabbin qui perd toujours à trois contre un en a marre et il décide de faire appel à une autorité supérieure… Il emmène les trois autres rabbins sur une colline et il prie puis il s’écrie :
- Oh Mon Dieu !, je sais au plus profond de moi que j’ai raison et qu’ils ont tort ! S’il te plaît, fais-moi un signe pour leur prouver que je dis vrai !
C’était une magnifique journée, très ensoleillée, et cependant, dès que le rabbin eut terminé sa phrase, un nuage noir d’orage obscurcit les cieux, il y eut un grondement de tonnerre, puis le nuage se dissipât aussi vite qu’il s’était formé…
- Ah vous avez vu ?! Un signe de Dieu ! Je savais bien que j’avais raison !
Mais les trois autres ne furent pas d’accord, faisant remarquer que la formation de nuages d’orage est chose tout à fait normale par une belle journée chaude.
Alors le rabbin se remit à prier :
- Oh Mon Dieu, j’ai besoin que tu fasses un signe plus fort pour leur montrer que j’ai raison et qu’ils ont tort !
Cette fois, plusieurs nuages noirs se formèrent et vinrent s’agglomérer en un seul énorme nuage; il y eut un formidable grondement, puis un magnifique éclair traversa le ciel et vint frapper un arbre sur la colline d’en face :
- Je vous l’avais dit que j’avais raison, je vous l’avais dit !
Mais les trois autres rabbins lui répondirent que tout ce qui venait de se passer pouvait être expliqué de façon naturelle…
Le rabbin s’apprêtait à demander un énooorme signe à son Dieu, mais au moment où il ouvrait la bouche pour parler, la nuit se fit dans le ciel, la terre trembla, et venue de nulle part, une voix caverneuse dit :
- « Illl aaaa raaaiiiisooooon »
Alors le rabbin mit ses poings sur ses hanches et se tourna vers les trois autres pour leur dire :
- Ha ! Alors ? Qu’est-ce qu’on dit maintenant ?
Et les trois autres répondent :
- Ben, maintenant ça fait 3 contre 2
David et Sarah, sa femme, vont au cinéma. Là, au milieu du film, il y a une grande scène d’amour où Belmondo tente de séduire Carole Bouquet. Et c’est vraiment le Belmondo des grands jours :
- Pardon, me voilà ! J’arrive ! Vous m’attendiez ! Mystère, sadisme, tout le charme de l’Orient, poussez-vous !
Alors Bébel prend la main de Carole Bouquet, qui est rose comme un bouquet de crevettes, et il la caresse en disant :
- Vos yeux sont merveilleux, ils ont les reflets bleus des harengs du Mexique lorsqu’ils sont amoureux. On partira, on s’aimera dans des draps turquoise. Il y aura la mer, il y aura vous, il y aura moi, il y aura nous, etc.
Le film se termine sur un baiser langoureux, les gens sortent de la salle et Sarah dit à David d’un air rêveur :
- Quand même, tu as vu dans le film, qu’est-ce qu’il est amoureux de sa femme ! Tous les beaux poèmes qu’il lui dit ! Pourquoi tu as jamais fait ça avec moi ?
Et David lui répond :
- Tu sais combien il est payé, lui ?
David, donc, va prier tous les samedis à la synagogue et dit :
- « Mon Dieu, s’il te plaît fais-moi gagner 1 million, s’il te plaît, je sais que c’est toi le vrai Dieu, alors fais-moi gagner un million et je donne la moitié à la synagogue ». Tous les jours, c’est la même chose, et il ne gagne jamais.
Dégoûté, il dit :
- « Attention, mon Dieu, si je ne gagne pas cette fois, je vais à l’église ! »
Et comme il perd, il va prier à l’église :
- « Jésus, s’il te plaît, fais-moi gagner 1 million et je te jure que je donnerai la moitié à l’église et à toutes les paroisses. »
Il joue le jour même et hop ! il gagne le million…
Alors, il retourne à la synagogue et dit :
- « Mon Dieu, il y a que toi qui savait que j’allais rien donner, hein ? »
Trois pécheurs sont installés à pécher le long d’une rivière.
Au bout d’une heure, le premier n’a toujours rien pris alors que le second a rempli un seau. Quant au troisième, il a déjà trois seaux pleins de poissons frétillants.
Comme ça continue, excédé, le premier type va vers son voisin qui a déjà rempli un seau :
- J’comprends pas, j’ai des asticots super et j’ai toujours rien pris. Comment vous faites ?
- Ben vous savez, moi, je suis boucher, les petits déchets de viande, les poissons ils adorent.
- Mais l’autre là-bas ?
- Ben oui ça alors, j’comprends pas comment il fait !
Et ils s’approchent du troisième :
- Qu’est ce que vous faites pour attraper autant de poisson ? C’est quoi vos appâts ?
- Bah répond le troisième, vous savez je suis rabbin alors pour les appâts, j’utilise ce que j’ai sous la main…
A l’aéroport de Tel-Aviv, un douanier israélien arrête un vieux juif qui s’apprête à immigrer, et lui demande d’ouvrir ses deux valises.
Dans la première, le douanier découvre 1 million de dollars en billets de 1$ !
- Wow ! fait le douanier, Auriez vous une explication pour posséder tout cet argent en billets de 1$ ?
- Je vais vous expliquer: Il y a de nombreuses années alors que j’étais un tout jeune homme, je traversais les Etats-Unis en long et en large. Je visitais pas mal de grandes villes comme New York, Chicago…, et dans chaque grande ville, je choisissais des toilettes publiques, et je repérais si un homme seul était en train d’uriner. A ce moment là, je lui disais :
- « Donne moi un dollar pour Israël ou je te coupe les couilles avec mon couteau. »
Le douanier, qui ne croit pas à l’histoire du vieil homme, se met à rigoler. Puis il demande :
- Et qu’y a-t-il dans la deuxième valise ?
- Allons ! Vous devriez le savoir… dit le vieil homme en secouant la tête, Tout le monde n’aime pas donner !