Blagues Cochonnes +18 ans, Blague salace

C'était le jour où Robert l'agriculteur était parti à la ville pour acheter des fournitures pour la ferme.
Tout d'abord, il s'arrêta chez le quincaillier pour acheter un seau et un petit étau. Puis il repassa par le marché pour acheter deux poules et une oie. C'est alors qu'il dut faire face à un problème de taille : comment allait-il ramener ses achats chez lui alors qu'il était à pieds ?
La marchande à qui il demandait conseil lui conseilla ceci :
- Pourquoi ne pas mettre votre étau dans le seau que vous porterez de la main gauche, ensuite, vous placez un poulet sous votre bras gauche, un poulet sous votre bras droit, et vous tenez l'oie par ses pattes, de votre main droite.
Le fermier remercia la marchande pour son conseil et quitta alors le marché. Il arpentait un trottoir de la périphérie de la ville, lorsqu'il tomba nez à nez avec une jeune femme très jolie et à la poitrine plus qu'avenante. La jeune femme était perdue et lui demandait son chemin :
- Pouvez-vous me dire où se trouve la rue Camille Desmoulins ?
Et le fermier lui répondit :
- Oui, c'est une des rues transversales là-bas plus lоin. Si vous voulez, je peux vous montrer un raccourci par une petite ruelle et vous y serez tout de suite...
La jeune femme le regarda d'un oeil suspect et s'inquiéta :
- Et comment saurai-je qu'après m'avoir accompagnée dans la ruelle, vous ne me collerez pas contre un mur avant de me retirer mon corsage et de caresser mes seins magnifiques ?
L'homme de la campagne, sans s'énerver le moins du monde expliqua :
- Comme vous pouvez le voir, je transporte un seau, un étau, une oie et deux poulets. Comment voulez-vous que je puisse en plus vous coller contre un mur pour caresser vos seins ?
Et la jeune femme répliqua alors :
- Eh bien, vous pourriez mettre l'oie par terre, renverser le seau sur l'oie, mettre l'étau au-dessus du seau renversé, et je pourrais vous tenir les deux poulets...
A New York, dans son bar favori, un type aperçoit une bombe entrer au bras d'un mec d'une laideur inénarrable. Il demande au barman s'il connaît la fille et est surpris d'apprendre que c'est une prostituée.
Il la regarde tout le reste de la soirée, en se disant qu'il pourrait s'offrir une telle beauté.
Il revient le lendemain.
La gueuse est là, seule.
Il prend son courage à deux mains et l'aborde. - Est-ce vrai que vous êtes une prostituée ?
- Bien sur, mon grand loup.
Que puis-je pour toi ?
- Ben, ch'sais pas.
Combien vous prenez ?
- 500 FF pour une branlette. - 500 la branlette ?
Mais ça va pas ?!
- Tu vois, la Ferrari garée devant le bar ?
Le type zieute et voit une Ferrari rouge rutilante. - J'ai payé cette Ferrari en liquide, avec l'argent que j'ai gagné de mes branlettes et crois-moi, ça les vaut.
Le type réfléchit un peu et se décide.
Ils partent ensemble et le type reçoit la plus phénoménale branlette qui soit, mieux qu'une nuit complète d'amour :
La plus extraordinaire expérience de sa misérable vie.
La nuit suivante, il l'attend avec impatiente au bar et, quand elle entre, l'aborde immédiatement. - La nuit dernière était incroyable !
- Bien sûr que c'était incroyable et encore, t'as pas goûté à mes pipes... - Et c'est combien ?
- 1000 F. - 1000 F., c'est impossible !
- Tu vois l'immeuble grand standing, en face de la rue ?
Le type regard l'immeuble de 12 étages. - J'ai payé cet immeuble en liquide avec l'argent que j'ai gagné de mes pipes et crois-moi, ça les vaut.
Basé sur son expérience de la veille, le type se doit d'essayer.
Il part avec elle et, une fois encore, n'est pas déçu.
Il manque même de s'évanouir de plaisir.
La nuit suivante, il peut à peine se contenir, tant il est impatient de la voir. Quand elle arrive, il se précipite :
- Je suis accro !
T'es la meilleure ! >> Cliquez pour lire la suite