Un voyageur de commerce a décidé une jolie fille, rencontrée par hasard, à le suivre dans sa chambre d’hôtel. Il s’assied sur le lit et regarde sa compagne se déshabiller. Lascivement, elle fait glisser la fermeture de sa jupe qui tombe à ses pieds et elle apparaît en petit slip rose tandis qu’elle déboutonne son pull qu’elle envoie d’un geste large à l’autre bout de la pièce.
Manifestement, elle prend plaisir à ce sтriр-tease. Elle se débarrasse de son soutien-gorge et roule son mini-slip. Elle est nue. Radieuse, elle se tourne vers son voyageur de commerce qui, lui, ne semble pas prendre le même plaisir au spectacle qui, pourtant, en vaut la peine :
- Eh ben, alors ? lui lance-t-elle, déçue.
- Va dans la salle de bains ! Mets des bigoudis et une couche de crème sur ta figure. Reviens dans la chambre et engueule-moi ! Faut pas m’en vouloir, mais j’ai la nostalgie de la maison, ce soir !
C’est un couple d’Américains qui dînent dans un grand restaurant new-yorkais.
Ils en étaient au fromage, quand une splendide brune s’approche de la table et vient rouler une non moins splendide pelle au mari, pour repartir aussitôt.
- Qui c’est !? demande la femme interloquée.
- C’est ma maîtresse, répond calmement le mari.
- Je demande le divorce immédiatement !
- Comment ça… tu veux renoncer à tes manteaux de fourrure, la villa et le yacht à Miami, notre grand appartement et mes millions de dollars ?
La femme ne répond pas et chipote dans son assiette.
Dix minutes après, on leur apporte le dessert.
- Tu vois, dit le mari, à la table du fond là-bas, Jim Parker avec la blonde… Eh bien c’est sa maîtresse aussi.
La femme regarde un instant et replonge dans son assiette.
- Pff, la nôtre est mieux !…
Après avoir pique-niqué avec sa femme, un chasseur a laissé celle-ci près de sa voiture, au cœur de la forêt, pendant qu’il va taquiner quelques lapins.
Quand il revient, trois heures plus таrd, il s’étrangle de fureur en trouvant son épouse, toute nue, en train de faire l’amour avec un garde-chasse.
Il arme son fusil et s’apprête à tuer les deux coupables quand le garde-chasse, vêtu d’un seul maillot de corps, se lève, met son képi et, d’un ton sans réplique, ordonne :
- Montrez-moi, d’abord, votre permis vous autorisant à pratiquer la chasse…