C’est un curé, un pasteur et un rabbin qui racontent leur manière de répartir l’argent de leur lieu de culte :
- Moi, dit le curé, pour déterminer la part d’argent que je garde et celle que je donne à Dieu, j’ai une méthode simple : je trace une ligne sur le sol et je jette les pièces de monnaie en l’air. Celles qui tombent avant la lignes sont pour moi, celles qui tombent de l’autre côté de la ligne sont pour le Seigneur.
- Moi, dit le pasteur, je trace un cercle, les pièces qui tombent dans le cercle sont pour moi, celles qui tombent en dehors sont pour le Seigneur.
- Moi, dit le rabbin, je lance les pièces en l’air, si Dieu il en veut il les prend et je ne garde que celles qui retombent !
Pendant la répétition du mariage, le futur marié prend monsieur le curé à part, et lui dit à l'oreille :
- Écoutez monsieur le curé, voici un billet de 100 euros.
En échange, je voudrais que vous modifiez un peu le schéma classique de la cérémonie...
En particulier, je voudrais que quand vous vous adresserez à moi, vous laissiez tomber la partie où je dois promettre "d'aimer, honorer et respecter mon épouse, renoncer aux autres femmes et lui être fidèle à jamais".
Le curé prend le billet sans mot dire, et le futur marié s'en va satisfait et confiant.
Le jour du mariage, le moment fatidique de la promesse approche.
Le curé se tourne vers le marié et lui dit en le regardant droit dans les yeux :
- Promets-tu de te prosterner devant elle, d'obéir à chacun de ses ordres, de lui apporter le petit déjeuner au lit tous les matins, et de jurer devant Dieu et ta femme exceptionnelle que jamais au grand jamais, tu ne regarderas une autre femme ?
Le jeune gars ravale sa salive, rougit, regarde autour de lui avec angoisse et répond d'une voix à peine perceptible :
- Oui je le veux.
Puis, le jeune marié se penche vers le curé et lui siffle :
- Je pensais qu'on avait fait un marché !
Alors le curé lui met son billet de 100 euros dans la poche et murmure à son oreille :
- Elle m'a fait une meilleure offre !
Un prêtre discute avec son ami rabbin :
- J’ai un bon plan pour manger gratuit.
- A oui ! Donnes-moi ton truc !
- Et bien c’est simple, je vais au restaurant assez таrd, et je commande un menu complet : entrée, plat, fromage et dessert. Et puis je prends mon temps en dégustant un café, un digestif et un cigare. Et comme ceci j’attends la fermeture. Comme je ne bouge pas, et quand toutes les autres chaises sont rangées sur les tables, le garçon vient me voir pour encaisser. Alors je lui réponds :
"Mais j’ai déjà payé à votre collègue qui est parti." Et le tour est joué !
Et le rabbin :
- Très intéressant, on essaie demain?
- D’accord si tu veux.
Le lendemain, les deux amis vont au restaurant et tout se passe comme prévu.
Au moment de la fermeture, le garçon demande s’il peut encaisser et le prêtre lui répond :
- Désolé, mais on a déjà payé à votre collègue qui est parti.
Et le rabbin qui ajoute :
- Et d’ailleurs nous attendons toujours notre monnaie...
Un jeune Flamand va se marier, alors son père lui fait la leçon :
- N'oublie jamais que tu es Flamand, alors pour rentrer dans l'église, tu passes le premier, à 5 mètres devant tout le monde, car le Flamand est fier !
- Après la cérémonie et le repas, tu prends ta fiancée dans tes bras et tu la portes majestueusement jusqu'au lit nuptial, car le Flamand est fort !
- Ensuite tu te mets tout nu et tu te places devant ta femme, car le Flamand est beau ! Pour le reste, tu fais ce que tu as à faire...
Le lendemain du mariage, le jeune flamand fait le récit à son père :
- Comme tu l'as dit, Père, je suis rentré le premier dans l'église, car le Flamand est fier !
- J'ai porté ma femme jusqu'à la couche nuptiale, car le Flamand est fort !
- Je me suis mis tout nu devant elle, car le Flamand est beau !
- « Et ensuite ? », demande le père.
- Eh bien, je me suis branlé, car le Flamand est autonome !!!
Cela se passe en France dans la région alsacienne, par manque de main d’œuvre les vignerons ont engagé des étrangers pour les vendanges et parmi eux un Africain surnommé Janvier qui parle peu le français.
Après la première journée, la dame du vigneron inquiète demande donc à Janvier comment cela s’est-il passé.
- Oh très bien madame; il y a une воnnе ambiance et aujourd’hui nous avons coupé la riesling.
- Mais non on ne dit pas LA riesling, mais LE riesling (Vin d'Alsace).
- Ah bon ? J'ai fait une erreur sur le.
La seconde journée de nouveau la dame lui demande donc comment la journée s’est-elle passée :
- Oh très bien madame, l’ambiance est très воnnе malgré le travail dur, je me plais bien, les copains sont chouettes aujourd’hui nous avons coupé la Gewurztraminer.
- Mais non Janvier, on dit LE Gewurztraminer et pas LA Gewurztraminer (Vin d'Alsace).
Le lendemain janvier est absent au départ du matin et la dame du vigneron est donc très inquiète pour lui, mais vers 10 heures, elle rencontre Janvier, assis sur le banc près de l’église et elle l’interroge :
- Mais Janvier pourquoi n’es-tu pas venu au travail aujourd’hui ?
- Oh non madame, car aujourd’hui mes copains ont dit qu’ils coupaient LE pinot noir (Vin d'Alsace) ! J'ai eu peur qu'ils se soient trompés eux aussi ! »
C'est l'histoire de 3 copain : un médecin, un prêtre et un informaticien. Ils jouent au golf et tout, mais ils en ont marre parce que y a un groupe de 4 gars devant eux qui mettent trois heures à finir un trou.
Alors ils vont demander à un responsable si ils peuvent pas les virer.
- Ils font chier ces gars, dit l'informaticien ! Ils sont super lents!
- Faut pas leur en vouloir, dit le responsable. Je vous explique. L'an dernier, le parcours de golf a pris feu et ces 4 gars l'ont sauvé au péril de leur vie. Malheureusement, au cours de leur sauvetage, ils ont perdus la vue.
Sur ce, les 3 amis se sentent un peu cons et essayent de se rattraper :
- Je demanderais à un de mes amis ophtalmo de les aider, dit le Médecin.
- Je prierais tous les jours pour qu'ils retrouvent la vue, dit le Prêtre.
Et l'informaticien se gratte la tête et dit:
- Ben pourquoi ils jouent pas la nuit?
Un supporter de Stade Rennais aimait s'amuser à effrayer tous les supporters du FC Nantes qu'il voyait se pavaner dans la rue dans un maillot jaune et vert odieux.
Il dévierait sa camionnette comme pour les frapper, puis reculerait juste en les manquant.
Un jour, en conduisant, il a vu un prêtre.
Il pensait qu'il ferait une воnnе action, alors il s'est arrêté et a demandé au prêtre: "Où vas-tu, Pére ?"
-Je vais donner la messe à l'église Sаinт-François, à environ deux milles plus lоin,» répondit le prêtre.
-Montez, Père. Je vais vous conduire !
Le prêtre моnта sur le siège passager et ils continuèrent sur la route.
Soudain, le chauffeur a vu un supporter du FC Nantes marcher sur la route, et il a instinctivement fait un écart comme pour le frapper.
Mais, comme d'habitude, il a reculé sur la route juste à temps.
Même s'il était certain qu'il avait manqué le gars, il entendit toujours un son fort.
Ne sachant pas d'où venait le bruit, il jeta un coup d'œil dans ses miroirs mais ne vit toujours rien.
Il s'est alors souvenu du prêtre, et il s'est tourné vers le prêtre et a dit: "Désolé Père, j'ai failli frapper ce supporter du Nantes."
"C'est d'accord", répondit le prêtre "Je l'ai eu avec la porte."
Martine et Bernard sont très jeunes, et très très amoureux l’un de l’autre.
Ils décident de se marier à l’église.
Ça se passe très bien, et le prêtre a été très sympa.
Une dizaine de jour après la belle cérémonie religieuse, la mariée téléphone au curé.
- Mon père, c’est affreux. Une catastrophe. Mon mari et moi venons d’avoir une scène de ménage absolument effroyable.
- Ma fille, reste calme. Une scène de ménage ce n’est pas grand chose, vous avez tout l’avenir devant vous et vous vous aimez. Tous les ménages connaissent ce genre de choses et pourtant ils continuent de vivre heureux.
- Oui mon père, je sais, je sais, je sais tout ça. Mais là, que dois-je faire du corps?