Blagues sur la médecine et les médecins
Un Noir maigre comme un clou se rend chez son médecin. Celui- ci lui demande de se déshabiller, et le patient s’exécute.
Le médecin ordonne :
- Mettez-vous à quatre pattes.
L’homme, intrigué, obéit.
- Avancez, avancez, poursuit le généraliste. Là, vers l’angle, près de la plante verte. Non, non ! plus à droite. Là, reculez un peu, ne bougez plus. Bon relevez-vous, vous pouvez vous rhabiller.
Le Noir, tout de même un peu surpris, rejoint quelques instants plus таrd le médecin dans son bureau.
- Vous n’avez rien de grave, juste un peu d’anémie. Vous allez suivre ce traitement, ça ira mieux, vous verrez. Voilà, ça fera 45 euros.
L’homme paie la consultation et avant de partir :
- Excusez-moi, docteur, mais pourquoi m’avez-vous demandé de me déshabiller et de me mettre à quatre pattes ?
- Oh ! ça, ça n’a aucun rapport. On me livre tout à l’heure une table en ébène, et je ne savais où la mettre…
- Votre patient se plaint du ventre et vous avez diagnostiqué une amibiase dysentérique à double circonvolution pancréatique et trimus du maxilaire inférieur, dit un professeur de médecine à l’un de ses élèves. Que prescrivez-vous ?
- Euh… Trois comprimés de glucksophétamol matin, midi et soir, et deux cachets de bipermanganate de strofusium toutes les heures…
- Bien, fait simplement le professeur.
L’élève se rassied, réfléchit à sa réponse et, brusquement, se lève et revient voir le professeur.
- Excusez-moi, monsieur, je me suis trompé. Ce n’est pas trois comprimés de glucksophétamol par repas qu’il fallait prescrire, mais un comprimé tous les trois jours !
- Trop таrd, mon jeune ami.
- Comment ça, trop таrd ?
Le professeur consulte sa montre et laisse tomber sèchement :
- Votre patient est mort depuis trente secondes.
À la campagne, une nuit, un vétérinaire est appelé en urgence auprès d’une femme qui est sur le point d’accoucher.
- Le médecin n’a pas pu venir, il était déjà parti faire sa tournée, et je crois que c’est pour maintenant.
- Bon, je crois que ça va aller. Je vais faire de mon mieux.
Et tout se passe admirablement puisque, quelques instants plus таrd, la femme met au monde deux superbes jumeaux. Le vétérinaire est ravi de s’en être si bien tiré et, avant de quitter la jeune maman, il lui dit :
- Vos enfants sont magnifiques, madame, mais moi je vous conseillerais plutôt de garder celui-là !
Une jeune femme belle comme un cœur, mais en proie à une terrible angoisse, va voir son médecin.
- Docteur, c’est épouvantable, je suis certaine d’avoir attrapé le Sida…
- Pourquoi ça ?
- Eh bien, j’ai embrassé un garçon douteux et j’ai bien peur que…
- Nous allons voir ça, dit le docteur. Déshabillez-vous.
La jeune femme se dévêt et s’étend sur la table de consultation. Presque aussitôt, elle sent que l’examen du médecin devient très intime et, ouvrant les yeux, elle s’aperçoit avec effarement qu’il s’est déshabillé et qu’il se prépare à se jeter sur elle.
- Mais docteur, que faites-vous ? glapit-elle, sans pouvoir l’empêcher de parvenir à ses fins.
- Mademoiselle, dit le médecin en s’interrompant quelques instants, on n’attrape pas le Sida en s’embrassant.
- Mais alors, docteur…
- Alors, mademoiselle, je vous rassure.
Alphonse, 75 ans, va voir son médecin pour une analyse de sperme. Son médecin lui donne un petit flacon et lui dit de revenir le lendemain pour l'analyse.
Le lendemain, l'homme lui remet le flacon; Vide et propre. Le médecin lui demande pourquoi.
- Eh ! Bien voilà, docteur. J'ai essaye avec la main droite, sans succès. Avec la main gauche, rien non plus. Alors, j'ai demande à ma femme de m'aider. Elle a essayé avec la main droite puis la gauche. Toujours rien. Ensuite, elle a essayé avec la bouche, avec ses dents, sans ses dents. Toujours sans succès. Alors, on a demande à la jeune voisine qui a essayé avec la main droite, la gauche, avec sa bouche, avec ses dents, sans ses dents...
Le médecin, choqué, l'interrompt :
- Vous avez même demande l'aide de la voisine ?...
- Eh ! oui, docteur. Vous voyez, on a tout essayé et on n'a toujours pas pu ouvrir ce рuтаin de flacon !