Monsieur le curé fait son petit tour à vélo dans le village, lorsqu’il croise Robert, un vagabond un peu jardinier, un peu braconnier, et très bricoleur, qui ne met jamais les pieds à l’église.
- Robert, je t’attends demain au confessionnal ! Ca fait bien vingt ans que je ne t’ai pas vu dans la Maison de Dieu… Tu dois en avoir des choses à raconter !
Robert, pas enthousiaste du tout à cette idée accepte malgré tout l’invitation. Le lendemain dans le confessionnal, Monsieur le Curé commence l’interrogatoire :
- Alors Robert, raconte-moi un peu tes péchés. Tu as bien du en faire des bêtises depuis ta Communion Solennelle…
- Ben, heu… oui. J’ai volé un peu de bois chez le charpentier, répond Robert honteux.
- Un peu de bois, ça veut dire combien ?
- Ben, juste assez pour construire un chenil à mon chien.
- Hmmm… Ca va encore dans ce cas.
Robert continue :
- Il me restait un peu de bois, alors je me suis construit une remise pour mes outils…
- Ah ! C’est un peu plus sérieux alors.
- Monsieur le curé… il me restait encore un peu de bois après la remise, alors j’en ai profité pour construire un garage…
Là, le curé marque une pause, puis il dit :
- Ca c’est quand même beaucoup plus grave. Pour ça, j’ai bien peur que tu doives me faire une neuvaine.
- Monsieur le curé, je ne sais pas trop ce que c’est qu’une neuvaine, mais si vous me donnez les plans, moi, j’ai le bois…
Un pasteur protestant, un prêtre et un rabbin décident d’aller faire une ballade par un beau dimanche d’été. Il fait très très chaud et les trois amis sont épuisés et en sueur lorsqu’ils arrivent sur les berges d’un petit lac aux eaux claires.
L’endroit étant vraiment retiré de tout, ils n’hésitent pas une seule seconde et retirent tous leurs vêtements avant d’aller « piquer une tête » dans le lac.
S’étant bien rafraîchi, le trio sort de l’eau et entreprend de ramasser quelques myrtilles, toujours en tenue d’Adam… Seulement, alors qu’ils arrivent dans une clairière, ils tombent nez à nez avec un groupe d’une dizaine de dames qui visiblement avaient choisi cet endroit comme lieu de randonnée.
Sachant qu’il leur est impossible de retrouver leurs vêtements à temps, le pasteur et le prêtre cachent tant bien que mal leurs « parties » derrière leurs mains. Le rabbin, par contre, se sert de ses mains pour se cacher la face !
Après que les dames aient quitté les lieux et que les trois amis se soient rhabillés, le pasteur et le prêtre s’enquièrent de la réaction de leur confrère rabbin :
- « Pourquoi s’est-il caché le visage, plutôt que ses organes génitaux ? »
Et là le rabbin leur répond :
- « Mes amis, je ne sais pas comment ça se passe chez vous, mais dans ma congrégation, c’est mon visage que les fidèles risqueraient de reconnaître… »
C’est l’histoire de deux gars vraiment toxiques. De vrais pestes qui ne pensent qu’à faire des ennuis aux autres habitants du village !
Mais par contre, ils vont à la messe tous les dimanches et ne sont pas radins quand vient l’heure de la quête car ils espèrent ainsi se racheter de tous leurs pêchés contre leurs concitoyens.
Un beau jour, un des deux frères vient à mourir. La veille des funérailles, le frère resté vivant vient voir le curé et lui dit :
- Je vais vous faire un chèque d’un beau montant qui vous permettra de finir la réfection du clocher… Mais il y a une condition : Pendant l’office, il vous faudra dire que mon frère « était un sаinт ».
Le curé lui dit que c’est d’accord, et il part encaisser le chèque le jour même.
Le lendemain, au cours de la cérémonie, le curé fait l’éloge funèbre et commence par ces mots :
- « Cet homme était habité par le diавlе. Il trompait sa femme, on l’a soupçonné d’avoir allumé plusieurs incendies dans le village, il était violent… »
Et le laïus continue quelques minutes, jusqu’à ce que le curé conclut :
- « …Mais comparé à son frère, cet homme était un sаinт ! »
C’est l’histoire d’un joueur qui vient de tout perdre en un soir, au cours d’une partie de poker dans un clandé. Les autres joueurs lui ont même pris ses vêtements et ne lui ont laissé que son briquet et un paquet de cigarettes.
Le patron du clandé à simplement fourni au gars une vieille barrique de vin vide pour qu’il puisse rentrer chez lui sans prendre froid. Mais le robinet qui avait permis de vider la barrique a été retiré, et la barrique est donc affublée d’un trou béant en son milieu…
Alors qu’il est à peine sorti du clandé au petit matin, à poil dans sa barrique, le gars voit arriver vers lui trois religieuses. Aussitôt, il décide de se la jouer « statue » et il se colle contre le mur au coin du café, les deux bras bien serrés le long du corps dans sa barrique sans bouger.
Voyant le gars dans son tonneau, les religieuses se demandent à quoi elles ont affaire. La première réfléchit et dit :
- « regardez cette statue d’un homme nu dans une barrique, ça doit être un distributeur… » et joignant le geste à la parole, elle sort une pièce qu’elle introduit dans une fente que présentait la barrique sur le côté.
Ensuite, elle introduit la main dans le trou, tire quelque chose à l’intérieur et en ressort… un briquet !
Cela amuse beaucoup la deuxième nonne qui introduit elle aussi une pièce dans la fente, puis introduit la main dans le trou, tire quelque chose, et en ressort… un paquet de cigarettes !
La troisième religieuse veut essayer elle aussi, elle met sa pièce dans la fente, introduit la main, tire quelque chose à l’intérieur… mais rien ne vient. Alors elle tire, puis tire encore, et encore, et encore… et finalement elle crie « Victoire ! », elle ressort la main et dit :
- « Regardez mes sœurs ce que j’ai obtenu : de la crème Nivéa ! »