Ça se passe à un séminaire religieux. Toutes les religions sont représentées par des prêtres, des pasteurs, des imams, des popes, des rabbins, des ayatollahs, des bonzes etc...
Avant que les discours et les discussions ne commencent, le pasteur (l'organisation est assurée par les protestants), offre à tout le monde un verre de whisky pour apaiser la tension qui n'avait pas manqué de s'accumuler.
"Je vous remercie bien" dit le prêtre catholique en acceptant un verre de Wild Turkey.
"Et vous?" demande le pasteur à l'imam.
"Comment?!" s'écrie l'imam outré. "Moi, boire de l'alcool? Je préférerai encore aller me débaucher dans une maison close!"
A ce moment là, le prêtre catholique recrache son whisky dans son verre et dit:
"Eh! Vous voulez dire qu'on a le choix?"
Après la messe, le curé va, comme à son habitude, se reposer à l'ombre du marronnier, derrière l'église. En entendant un merle siffler, il lève la tête et aperçoit une petite fille, debout dans l'arbre, sans culotte. Il s'écrie :
- Dieu du ciel! Descend tout de suite, mon enfant!
La gamine obtempère et le prêtre lui dit :
- Tiens, voilà cinq euros. Dis à ta maman qu'elle t'achète une culotte.
Le petite court raconter l'histoire à sa maman. Celle-ci réfléchit et se demande combien le curé lui donnera si elle monte, elle-même, dans l'arbre, sans culotte. Le dimanche suivant, le curé s'installe de nouveau sous le marronnier.
Il entend le merle et il lève la tête. Il voit la maman, sans culotte.
- Mon Dieu, ce n'est pas possible! Descendez au plus vite, ma fille!
La mère descend et le curé lui dit :
- Tenez, prenez ces dix euros, et allez vous acheter un rasoir!
Un jour, dans le jardin d’Eden, Ève appelle Dieu :
- Seigneur, j’ai un problème !
- Quel est ton problème, Ève ? répond Dieu.
- Seigneur, je sais que Tu m’as créée et m’as donné ce magnifique jardin et tous ces merveilleux animaux et ce serpent carrément marrant, mais voilà, je ne suis pas heureuse.
- Qu’y a-t-il Ève ? fut la réponse du ciel.
- Seigneur, je me sens seule, et j’en ai ras le bol des pommes, elles me rendent malade.
- Bon, Ève, dans ces conditions, je vais te créer un homme.
- Un homme, Seigneur ? C’est quoi ça ?
- Eh bien c’est une créature légèrement défectueuse avec pas mal de bugs : il ment, il triche, il est vaniteux. En gros, il va te donner un sасré boulot. Mais… Il est plus grand, il court plus vite, il aime chasser et tuer des tas de choses. Il aura l’air un peu соn quand il sera satisfait, mais puisque tu t’es plainte, je vais le créer de telle façon qu’il comble tes besoins physiques. Je te préviens qu’il n’aura pas beaucoup d’еsрriт et appréciera plutôt des choses puériles comme se battre ou donner des coups de pieds dans une baballe. Bref il ne sera pas très intelligent, aussi il aura besoin de tes conseils pour penser correctement.
- Ca m’a l’air pas mal, dit Ève, le sourcil un peu ironique. Où est le truc, Seigneur ?
- Eh bien… Tu peux l’avoir, mais à une seule condition.
- Laquelle Seigneur ?
- Comme je le disais, il sera fier, arrogant et narcissique. Aussi tu devras lui laisser croire que je l’ai créé en premier… Rappelle toi, ce sera notre petit secret, entre femmes !
La beauté de la mariée
« Après quelques années de vie commune , un jeune homme décide de se marier avec sa petite amie . Comme il n' est pas du tout au courant des traditions, à la fin de la messe , il s'approche du curé et lui demande:
- Excusez moi mon père , je sais qu'il est dans la tradition que les jeunes mariés fassent une offrande au prêtre qui a célébré le mariage , mais je ne sais pas ce que les gens donnent en général.
Le prêtre lui répond dans le creux de l'oreille:
- En général, c'est en fonction de la beauté de la mariée. Plus elle est belle , plus la somme est élevée.
À ces mots, le jeune marié se tourne vers sa femme . Il hésite quelques instants, plonge la main dans sa poche et tend une pièce d'un euro au curé.
Le prêtre, compatissant, lui dit:
- Ne bougez pas, je vais vous rendre la monnaie.. »
Un rabbin ayant une envie très pressante rentre dans un bar pour la satisfaire. Au moment où il rentre dans le bar, le brouhaha et la musique ambiants disparaissent pour laisser la place à un silence très lourd. Le rabbin s'avance vers le barman et demande :
- Pourrai-je utiliser vos toilettes ?
Le barman lui répond :
- C'est que... je ne sais pas si c'est un endroit pour vous !
Mais le rabbin insiste :
- Je vous en prie, il s'agit d'une envie pressante. Ne me laissez pas dans le besoin (sic).
Alors le barman :
- C'est que Monsieur le rabbin, nous avons dans les toilettes de ce bar la statue d'une femme qui mis à part une feuille de vigne est complètement nue, et je ne voudrais pas que vous soyez gêné par cela.
Le rabbin lui dit alors en se dirigeant vers la porte des toilettes :
- Ne craignez rien. Je suis tout à fait capable de supporter la vue de ce genre d'objet païen.
Au bout de quelques minutes, le rabbin est de retour dans le bar, mais cette fois-ci, la musique bat son plein et le brouhaha montre que tout le monde discute de bon coeur.
En s'approchant du barman, le rabbin demande :
- Je ne comprends pas très bien... Tout à l'heure quand je suis rentré, il n'y avait pas de musique, personne ne parlait, et maintenant, c'est tout le contraire.
Le barman répond :
- C'est que maintenant on sait que vous êtes des nôtres. Et d'ailleurs, pour fêter ça, je vous offre un coup à boire !
- Et pourquoi me considérez-vous comme 'un des vôtres' ? Parce que j'ai utilisé les toilettes du bar ?
Alors le barman lui répond avec un grand sourire :
- Non, pas tout à fait. Il faut vous expliquer qu'à chaque fois que quelqu'un va aux toilettes et soulève la feuille de vigne, alors toutes les lumières s'éteignent et se rallument dans le bar... Alors vous le prenez ce verre ?
Un évêque visite le presbytère d'un petit village. Il demande au curé :
- Vous n'avez qu'une chambre et qu'un seul lit ?
- Oui, Monseigneur. La commune est trop pauvre pour agrandir le presbytère!
- Mais, votre servante ? Où dort-elle ?
- Dans le même lit que moi. Mais, vous savez, Monseigneur, j'ai un gros chien très bien dressé.
Alors, il couche entre nous deux.
- Mais, vous avez bien des tentations, non ? Que faites-vous, alors ?
- Eh bien, je me lève et je fais plusieurs fois le tour du presbytère. Quand c'est passé, je reviens.
- Et votre servante ? Elle a bien des tentations, elle aussi ?
- Oui. Quand ça lui arrive, c'est elle qui fait le tour du presbytère.
- Et si vous aviez des tentations tous les deux, en même temps ?
- Dans ce cas, Monseigneur, on envoie le chien faire le tour du presbytère!