L’autre jour, c’était la dernière tournée du facteur avant son départ à la retraite : trente ans qu’il nous distribuait le courrier par tous les temps, et toujours avec le sourire. Alors tous les gens du quartier s’étaient passé le mot, et tous avaient décidé de « marquer le coup ».
Lorsqu’il arriva à la première maison, il fut congratulé par les parents et les enfants. On lui offrit une coupe de champagne et une petite enveloppe.
A la deuxième maison, ils lui offrirent une boite de cigares.
A la troisième maison, c’était un billet pour un concert de Маdоnnа.
A la quatrième maison, c’est une ravissante jeune femme blonde en chemise de nuit transparente qui l’attendait : elle le prit par la main et l’emmena dans la chambre où ils firent l’amour passionnément…
Au bout d’un moment, le facteur qui était resté un fonctionnaire modèle, pensa qu’il était temps qu’il reprenne sa tournée. La blonde lui dit alors :
- Ne partez pas : je vous ai aussi préparé un bon petit déjeuner !
Et effectivement, sur la table de la cuisine l’attendaient du café, du chocolat, du lait, des croissants, des céréales, du jus d’orange, des œufs au bacon, etc. Ravi car son estomac criait famine après les galipettes qu’il venait de faire, notre homme en profita pour se régaler. Il allait enfin prendre congé quand il remarqua une pièce d’un euro dans la soucoupe de sa tasse de café :
- Ce que vous avez fait pour fêter mon départ est vraiment formidable, et je vous en remercie du fond du cœur… Mais je ne comprends pas bien ce que fait là cette pièce d’un euro ?
Alors la blonde répond :
- Hier soir, quand j’ai dit à mon mari, que c’était votre dernière tournée et qu’il serait bien de vous faire un cadeau, il m’a répondu :
- « Donne-lui un euro et qu’il aille se faire foutre ! »… Le petit déjeuner, c’était mon idée.
C’est le jour de la fête des mères. Bizarrement, la maman reste silencieuse durant tout le repas. En allant préparer le café, son mari lui demande ce qui ne va pas :
- Non, ce n’est rien, lui répond sa femme.
Mais le mari insiste et lui demande encore :
- Non, allez, sérieusement, qu’est-ce qui ne va pas ?
- Tu veux vraiment le savoir ? Eh bien, je vais te le dire. Ça fait 15 ans que je torche, que j’habille et que je nourris les gosses, et le jour de la fête des mères, qu’est-ce que j’obtiens de leur part ? Rien ! Pas un merci, rien du tout !
- Et pourquoi le devraient-ils ? réplique le mari, depuis 15 ans, pas une seule fois ils ne m’ont offert de cadeau de fête des pères !
- Oui, peut-être, rétorque l’épouse, mais moi je suis leur vraie mère…
C’est un monsieur qui va voir son docteur.
- Docteur, l’autre jour, j’ai trouvé un homme ans le lit avec ma femme. J’ai voulu le tuer, mais ma femme est si belle que j’ai abandonné ce projet, et nous avons pris le café tous les trois.
- Oui, et alors ? s’impatiente le docteur.
- Alors, le lendemain, j’ai trouvé ma femme avec deux hommes dans son lit. J’ai voulu les tuer, mais ma femme est si belle que j’ai abandonné ce projet, et nous avons pris le café tous les quatre.
- Dépêchez-vous, demande le docteur, mon cabinet est plein de monde.
- Le lendemain, j’ai trouvé ma femme avec trois hommes dans son lit. J’ai voulu les tuer, mais ma femme est si belle que j’ai abandonné ce projet, et nous avons pris le café tous les cinq.
- Mais où voulez-vous en venir ? demande le docteur.
- Et bien, vous ne pensez pas docteur, que tous ces cafés risquent de me faire mal ?
Il était une fois, 10 stagiaires qui travaillaient pour le compte de leur maître, chacun d’entre eux ayant une fonction particulière :
Carton, powerpoint, café, scanner, etc. Un beau matin, le stagiaire carton trouva une lampe pendant le rangement, et en fit part aux autres.
Le plus intelligent d’entre eux décida de la garder jusqu’à la tombée de la nuit, de peur que leur maître ne se l’accaparât. La nuit venue, les stagiaires se réunirent. Le stagiaire café, désireux de se réchauffer, frotta la lampe.
Soudain, un génie apparut et leur dit :
- Je suis un génie et j’exerce le voeu de chaque personne présente.
Le stagiaire powerpoint dit :
- Je veux être libre et riche.
Et le génie exauça son voeu.
Le stagiaire café dit :
- Je veux être libre et riche.
Et le génie exauça son voeu.
Arrivé au 10ème stagiaire, ce dernier réfléchit longuement puis dit au génie :
- Je veux qu’ils reviennent tous car je ne veux pas servir tout seul !