Blagues sur les Américains
Le gendre d’une riche femme d’affaires américaine va demander au pasteur combien il lui prendrait pour prononcer l’oraison funèbre de la défunte.
- Je vous recommande mon discours à 300 dollars, dit le pasteur. Dans dix ans ceux qui l’auront entendu citeront encore, avec émerveillement, les qualités de feue votre belle-mère.
- Non, non, proteste le gendre : 300 dollars, c’est trop cher.
- Alors, prenez mon discours à 150 dollars. Je dirai que c’était une воnnе et brave femme.
- Sincèrement, je trouve cela encore trop cher.
- Bon. Je vais vous faire ce discours pour 50 dollars. Seulement, à ce prix-là, ce sera de la vérité.
Le président George W. Bush veut augmenter sa popularité. Son staff lui conseille donc d'aller voir les petits américains dans une école primaire et d'expliquer son plan de gouvernement.
Il fait un petit speech aux enfants, puis il leur demande de poser toutes les questions qu'ils souhaitent sur le gouvernemant.
Le petit Bruce lève la main ; on lui donne la parole :
- « Monsieur le Président, j'ai trois questions à vous poser :
1. Pourquoi tout en perdant les élections, vous êtes malgré tout devenu président ?
2. Pourquoi voulez-vous faire une guerre contre l'Irak même si l'ONU s'y oppose ?
3. Comment comptez-vous rembourser tous les frais que cette guerre va coûter aux États-unis, sinon en accaparant la seule ressource financière de l'irak, à savoir son pétrole ? »
À ce moment là, avant que Bush n'ait le temps de répondre, la sonnerie retentit et tous les élèves sortent de la classe. Après la pause, Bush invite à nouveau les enfants à poser des questions.
Le petit Nathan prend la parole :
- « Monsieur le Président, j'ai cinq questions à vous poser :
1. Pourquoi tout en perdant les élections, vous êtes malgré tout devenu président ?
2. Pourquoi voulez-vous attaquer l'Irak même si l'ONU s'y oppose ?
3. Comment comptez-vous rembourser tous les frais que cette guerre va coûter aux États-unis, sinon en accaparant la seule ressource financière de l'irak, à savoir son pétrole ?
4. Pourquoi la sonnerie a-t-elle retentit 20 minutes plus tôt que d'habitude ?
5. Où est Bruce ? »
Un problème vu sous différentes politiques, par référence aux vaches.
Féodalisme :
Vous avez deux vaches. Votre seigneur prend un peu de lait.
Socialisme pur et dur :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend et les met dans une étable avec les vaches d'autres éleveurs. Vous devez entretenir toutes les vaches. Le gouvernement vous donne tout le lait dont vous avez besoin. SOCIALISME
Bureaucratique :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend et les met dans une étable avec les vaches d'autres éleveurs. Les vaches sont entretenues par des ex-éleveurs de volailles. Vous, vous devez vous occuper des volailles qui ont été prises aux éleveurs de volailles. Ensuite le gouvernement vous donne la même quantité d'œufs et de lait qu'à tout le monde.
Fascisme :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend, vous loue pour prendre soin d'elles, et vous vend le lait.
Communisme pur et dur :
Vous avez deux vaches. Votre voisin vous aide à les entretenir, et vous partagez le lait.
Communisme soviétique :
Vous avez deux vaches. Vous devez les entretenir, mais le gouvernement prend le lait.
Communisme cambodgien :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement les prend et vous tue.
Dictature :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement les prend et vous incorpore dans l'armée nationale.
Démocratie pure et dure :
Vous avez deux vaches. Vos voisins décident de qui prend le lait.
Démocratie représentative :
Vous avez deux vaches. Vos voisins élisent quelqu'un pour choisir qui prendra le lait.
Bureaucratie (européanisme) :
Vous avez deux vaches. D'abord le gouvernement vous dit avec quoi vous devez les nourrir et comment vous devez les traire. Puis il vous paie pour ne pas les traire. Puis il vous prend les deux vaches, en tue une, traie l'autre et jette le lait dans le caniveau. Puis il vous demande de remplir des formulaires pour comptabiliser les vaches manquantes.
Anarchie pure et dure :
Vous avez deux vaches. Ou bien vous vendez le lait à un tout petit prix, ou bien vos voisins essaient de prendre les vaches et de vous tuer.
Surréalisme :
Vous avez deux girafes. Le gouvernement vous oblige à prendre des cours d'harmonica.
Olympisme :
Vous avez deux vaches, une américaine et une chinoise. Avant la compétition, on vous montre à la télé un reportage de 15 minutes qui retrace comment la vache américaine a surmonté les affres d'une jeunesse passée dans les ghettos noirs et blancs, avec des parents divorcés etc... Puis on vous montre pendant 10 secondes la vache chinoise battue chaque jour par un fermier tyrannique et ayant vu ses parents abattus, dépecés et découpés devant ses yeux.
La vache américaine gagne l'épreuve, triomphant malgré une sévère foulure de la mamelle, et gagne plusieurs millions de dollars grâce à un contrat passé avec un vendeur de soja.
La vache chinoise est conduite hors du stade et abattue par les officiels du gouvernement chinois, et personne n'entend plus parler d'elle.
McDonald achète sa viande et la sert dans les Big Mac de son restaurant de Pékin.
Un israélite New Yorkais a décidé d'aller passer une semaine en Israël pour la célébration des 50 ans de l'Etat, puis il visite les lieux historiques, Jérusаlем, Beethleem, le Jourdain et un jour, arrive au bord du lac où Jésus a marché sur l'eau.
Il fait beau, le lac est calme et une promenade sur l'eau pour digérer le repas de midi est très tentante.
Alors notre vacancier s'approche du loueur de barques :
- Bonjour, quel est donc le prix d'une promenade en barque sur ce magnifique lac.
- Vous êtes Américain ? Moi j'aime les Américains, je veux bien descendre à 100$ de l'heure.
- 100$, vous êtes fou ! Vous voulez ma mort ?! C'est insensé ! Pour une simple ballade en barque ?!
- C'est tout de même le lac où Jésus a marché sur l'eau.
- Pas étonnant, avec des tarifs pareils !
Peut-on perdre du poids en faisant l'amour ? Perd-on suffisamment de calories pour que l'activité sexuelle soit considérée à l'instar du jogging, du tennis ou du squash comme une activité qui fait fondre les graisses ?
Oui. Maintenant, grâce à une étude récente très complète, vous saurez exactement comment gérer votre capital calorifique tout en cédant à vos pulsions sexuelles.
Voici donc le guide que vous utiliserez dès maintenant.
Exemples :
1 heure de préliminaires
Brûle : 1 grosse part de gâteau au chocolat
25 minutes de ça va - ça vient intensif
Brûle : 2 parts de pizza Fromage/Champignons
53 minutes de baisers sur votre partenaire
Brûle : 1 cheeseburger
53 minutes de baisers sur vous même
Brûle : une dinde complète avec ses marrons
Préparation de la chambre pour la nuit :
Y compris le réglage du réveil et le fait d'appuyer sur l'interrupteur : 42 calories
Avant le repas :
Planquer les Play Boy : 3 calories
Faire chambrer le vin : 4 calories
Sans avoir de tire-bouchon : 268 calories
Faire le premier pas :
Si vous êtes timide : 15 calories
Si vous êtes anxieux : 43 calories
Si vous bégayez : 100 calories
Séduction de votre partenaire :
Si vous êtes riche (beaucoup d'espèces dans le portefeuille) : 5 calories
Si vous êtes riche (Carte de crédit Premier) : 15 calories
Si vous êtes pauvre : 200 calories
Premier contact au corps à corps :
Maladroit : 4 calories
Avec quelques attouchements : 7 calories
Avec les vraies mains baladeuses : 42 calories
Le déshabillage :
Avec le consentement du partenaire : 12 calories
Sans le consentement du partenaire : 187 calories
Enlever ses chaussettes avec des gigotements violents des pieds : 418 calories
Manoeuvre d'excitation et de stimulation sexuelle :
Souffler dans l'oreille du partenaire : 15 calories
Souffler dans ses propres oreilles : 2512 calories
DÉCEPTION (après avoir vu le partenaire déshabillé) :
Votre partenaire vous excite plus avec ses vêtements sur elle : 10 calories
Votre partenaire porte des wonderbras : 15 calories
Votre partenaire s'avère être d'un autre sexe que celui auquel vous vous attendiez : 100 calories
Vous vous en foutez : 0,25 calories
Votre partenaire porte des chaussettes montantes : 50 calories
La premiere fois :
Vous fouillez un peu partout : 4 calories
Vous essayez désespérément de mettre quelque chose quelque part : 18 calories
Vous vous ratez complètement : 126 calories
Positions :
Italienne (l'homme au dessus, la femme sous lui) : 26 calories
Allemande (Chacun se fait face à face, mais dans des lits différents) : 48 calories
Anglaise (La femme au dessus; l'homme se cachant dans la cuisine) : 15 calories
Américaine (les deux au dessus) : 1243 calories
Petits problemes de santé :
Crampe dans une jambe : 36 calories
Faire croire à la crampe dans une jambe : 612 calories
Éternuer (pendant un rapport sexuel) : 7 calories
Éternuer (pendant l'orgasme) : 588 calories
Accidents variés :
Votre moumoute se fait la malle (si votre partenaire savait que vous en portiez une) : 5 calories
Votre moumoute se fait la malle (si votre partenaire ne savait pas) : 72 calories
Éteindre sa cigarette (dans le cendrier) : 1 calories
Éteindre sa cigarette (sur le matelas) : 17 calories
Éteindre sa cigarette (sur la jambe de votre partenaire) : 133 calories
Appeler votre partenaire avec un mauvais prénom : 50 calories
Échelle d'intensité orgasmique :
Les chaussures tombent par terre : 15 calories
Pas de changement d'expression chez la partenaire : 0,5 calories
La chambre devient pourpre : 4 calories
Votre visage devient pourpre : 78 calories
La terre tremble : 30 calories
Si la terre tremble pour de bon : 1 234 588 calories
Gémissement en langue inconnue : 506 calories
Choses souvent dites pendant l'amour :
- « Merci » : 15 calories.
- « Ca doit être quelque chose qu'on a mangé » : 15 calories.
- « C'était bien pour toi ? » : 15 calories.
- « Tu as fini ? » : 15 calories
Au deuxieme essai :
Si la femme est prête : 5 calories
Si l'homme ne l'est pas : 563 calories
Se tourner de son coté du lit et s'endormir :
Après l'amour : 18 calories
Pendant l'amour : 546 calories
En garant sa voiture : 212 calories
Dormir :
Vraiment : 5 calories
Simuler (pour échapper aux obsédés sexuels) : 74 calories
Prendre un bain ensemble :
Dans une baignoire : 5 calories
Dans l'évier : 150 calories
Dans un jacuzzi : 15,02 calories
Faire le lit :
Alors que le partenaire est encore dedans : 44 calories
(ce qui témoigne d'une obsession maladive de la propreté, d'un grave problème de vision, ou alors d'un partenaire vraiment fatigué, voire mort).
Alors que vous même êtes encore dedans : 97 calories
(laisse à penser que vous vous désintéressez de la chose)
C'est Giovanni, le play-boy des Minguettes, qui sort en discothèque et qui parvient à se lever un vrai canon, une petite étudiante d'à peine vingt ans.
Sans faire de façons, la belle accepte qu'il la raccompagne jusque chez elle, dans son petit studio.
Bref, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, Giovanni est au lit avec la donzelle qui s'avère être tout sauf le premier de vertu. Giovanni en profite pour lui faire passer en rеvuе les grands classiques du genre : l'hélicoptère hawaïen, la brouette tonkinoise, le tire-bouchon américain, l'omnibus renversé, j'en passe et des plus compliquées. Giovanni les fait toutes !
Seulement voilà, après avoir tiré cinq salves, le play-boy des banlieues est vraiment au bout du rouleau. Ne voulant montrer ses faiblesses, il avoue :
- Ecoute chérie, je te ferai bien l'amour jusqu'au petit matin, mais je vais devoir arrêter : je n'ai plus de capotes !
Et là, la nymphomane lui donne le coup de grâce :
- Mais voyons Gigi, ne t'inquiète pas pour ça: je passe à la salle de bains me rafraîchir la boite à plaisir et je te ramène ma cargaison de capuchons. Tu vas les aimer, ce sont des Durex extra-fins !
Ça, c'est plus que Giovanni ne peut en supporter : à peine a-t-elle tourné le dos qu'il a déjà enfilé son pantalon et l'instant d'après, il a quitté les lieux, bien décidé à ne pas avoir avoir à remettre le couvert une sixième fois ou plus encore.
Un quart d'heure plus таrd, la sonnette de la porte d'entrée retentit. La fille va ouvrir et tombe sur une de ses copines, pliée de rire.
- Qu'est-ce qui se passe ? lui demande-t-elle.
- Un truc incroyable, lui répond sa copine. Au bas de ton immeuble, il y avait un bel italien qui s'apprêtait à faire pipi le long de la gouttière, et je l'ai entendu supplier en regardant sa braguette «Allez, sors Nénette, t'as plus de raison d'avoir peur, c'est seulement pour faire pipi maintenant !»
Ça se passe à l’ONU en pleine discussion sur l’Irak. Question existentielle : Saddam Hussein possède-t-il réellement des armes de destruction massive et faut-il exploser tout l’Irak ?
Dominique de Villepin et son homologue américain Colin Powell discutent apremement d’une éventuelle résolution permettant aux USA d’attaquer l’Irak.
Petit à petit le conflit dégénère. Pas moyen de se mettre d’accord.
Ça gueule, ça hurle, ça manifeste, ça se traite de tous les noms d’oiseaux jusqu’au moment où Colin Powell propose une solution :
- Ecoutez, on va faire un concours. Celui qui supporte le plus la douleur aura gain de cause. Alors, on se frappe dans les couilles, et le premier qui dit qu’il a mal, il a perdu et il accepte que l’autre fasse ce qu’il veut. Ça va comme ça boy ?
- C’est d’accord. Mais c’est moi qui frappe en premier, honneur au vieux continent ?
L’américain ayant acquiescé, Dominique de Villepin assène un formidable coup de latte en plein dans les roubignoles du secrétaire d’Etat américain.
Colin Powell a bien du mal à retenir un cri de douleur tellement le coup était puissant. Il est tout rouge (rouge foncé évidemment...), plié en deux, puis il passe au bleu (toujours le bleu sombre...), est plié en quatre, et finit par se relever, livide (c’est à dire blanc foncé...) mais fier d’avoir enduré la souffrance si héroïquement.
Alors il se dirige vers le français et dit :
- Bon, c’est mon tour, hein ?
Et de Villepin de répondre avec un petit sourire narquois :
- Bah, non... Finalement vous pouvez faire ce que vous voulez...
Fin août 1939, un homme apporte ses chaussures à ressemeler chez le cordonnier.
Trois jours plus таrd, la guerre est déclarée. Mobilisé, il part au front, et il est fait prisonnier. Libéré par les Russes en 45, il se bat avec un officier, ce qui lui vaut dix ans de Goulag. Échangé par la Américains, il se retrouve au États-Unis et s'y installe.
Et voilà que quarante ans après, il revient en France en touriste. Bien entendu, cet homme va revoir sa rue. Elle a beaucoup changé, sauf la cordonnerie qui est toujours là. Alors, par curiosité, il entre et demande au vieil homme derrière sa machine :
- Il y a longtemps que vous êtes installé ici ?
- Oh, mon pauvre monsieur, depuis l'avant-guerre !
- Alors c'est à vous que j'avais confié mes chaussures à réparer ! C'était fin août 1939. Trois jours plus таrd j'étais mobilisé...
Il lui raconte toute son histoire. Et il ajoute :
- Au fait, vous les avez peut-être encore mes chaussures ? Ce serait drôle...
- Attendez je vais voir... fait le vieux.
Il soulève sa trappe et descend au sous-sol. D'en bas il crie :
- Elles sont comment, vos chaussures ?
- Jaunes !
- Avec des bouts carré et des lacets marron ?
- Oui !
- Elles seront prêtes jeudi...
Un américain de New York arrive en Irlande pour quelques jours de vacances.
A l'aéroport de Dublin, il aperçoit un gars du cru qui se tient derrière une table où sont présentés des crânes humains.
- Que faites-vous avec ça demande le touriste.
- Je vends des crânes répond l'irlandais.
- Et qu'est-ce qu'ils ont de spécial vos crânes demande le touriste.
- Hé, j'ai les crânes des irlandais les plus renommés qui ont jamais vécu!!
- Ah oui, donnez-moi quelques noms pour voir, demande le touriste.
- Celui-ci, c'est celui de James Joyce, l'auteur de romans et de pièces de théâtre... Celui-là, c'est celui de Sаinт Brendan, le navigateur... Celui-là, c'est Michael Collins le leader de la révolte de 1916 et celui-ci, c'est le plus important de tous, c'est celui de Sаinт Patrick, le Sаinт Patron de L'Irlande, Dieu ait son âme.
- C'est vraiment St. Patrick, demande le touriste ?
- Bien sûr!
- Alors il me le faut, répond le touriste et il paie à l'Irlandais le prix convenu, soit 500 Livres.
En rentrant à New York, le touriste qui est en fait patron d'un pub, accroche le crâne de St Patrick au mur de son établissement. Et les gens viennent de tout le pays pour voir le crâne de St Patrick, et grâce à ça, le patron fait rapidement fortune. Quelques années plus таrd, le patron new yorkais décide de repartir en voyage en Irlande pour profiter de sa retraite.
En arrivant à l'aéroport de Dublin, il reconnaît son vendeur de crânes, qui est toujours derrière son étalage, et qui vend toujours ses crânes.
- Alors quoi de neuf, demande le touriste ?
- Oh, je vends des crânes.
- Et quels crânes avez-vous aujourd'hui, demande le touriste ?
- Les crânes des Irlandais les plus fameux de l'histoire!
- Vraiment ! Allez, donnez-moi quelques noms, demande le touriste.
- Celui-ci, c'est celui de James Joyce, l'auteur de romans et de pièces de théâtre... Celui-là, c'est celui de Sаinт Brendan, le navigateur... Celui-là, c'est Michael Collins le … >> Cliquez pour lire la suite
Socialisme:
Tu as 2 vaches et tu en donnes 1 à ton voisin qui n'en a pas.
Communisme:
Tu as 2 vaches, le gouvernement les réquisitionne toutes les 2 et te donne un peu de lait
Fascisme:
Tu as 2 vaches, le gouvernement les réquisitionne toutes les 2 et te vend le lait
Nazisme:
Tu as 2 vaches, le gouvernement les réquisitionne toutes les 2 et ensuite te fusille
Bureaucratie:
Tu as 2 vaches, le gouvernement les réquisitionne toutes les 2, en abat une, trait l'autre, et jette le lait...
Capitalisme:
Tu as 2 vaches. Tu en échanges une contre un taureau, tu élèves tout un troupeau de vaches, tu les vends toutes et tu vis de tes rentes jusqu'à la fin de tes jours.
Système américain:
Tu as 2 vaches. Tu en vends une, et tu forces l'autre à produire du lait pour 4. Tu es étonné lorsque l'animal tombe raide mort.
Système wallon:
Tu as 2 vaches. Tu te mets en grève parce que tu en veux 3.
Système japonais:
Tu as 2 vaches. Tu les manipules génétiquement afin qu'elles deviennent 10 fois plus petites, et qu'elles produisent 20 fois plus de lait. Tu crées tes propres cartons de lait (les Vachimons-Z) et tu inondes le marché mondial avec.
Système allemand:
Tu as 2 vaches. Tu les manipules génétiquement pour que ça en devienne
100, qu'elles ne doivent manger qu'une fois par mois et qu'elles sachent
Se traire elles-mêmes.
Système britannique:
Tu as 2 vaches. Elles sont folles toutes les deux.
Système italien:
Tu as 2 vaches, mais tu ne sais pas très bien où exactement... et maintenant tu vas manger tes… >> Cliquez pour lire la suite