C’est l’histoire d’un joueur qui vient de tout perdre en un soir, au cours d’une partie de poker dans un clandé. Les autres joueurs lui ont même pris ses vêtements et ne lui ont laissé que son briquet et un paquet de cigarettes.
Le patron du clandé à simplement fourni au gars une vieille barrique de vin vide pour qu’il puisse rentrer chez lui sans prendre froid. Mais le robinet qui avait permis de vider la barrique a été retiré, et la barrique est donc affublée d’un trou béant en son milieu…
Alors qu’il est à peine sorti du clandé au petit matin, à poil dans sa barrique, le gars voit arriver vers lui trois religieuses. Aussitôt, il décide de se la jouer « statue » et il se colle contre le mur au coin du café, les deux bras bien serrés le long du corps dans sa barrique sans bouger.
Voyant le gars dans son tonneau, les religieuses se demandent à quoi elles ont affaire. La première réfléchit et dit :
- « regardez cette statue d’un homme nu dans une barrique, ça doit être un distributeur… » et joignant le geste à la parole, elle sort une pièce qu’elle introduit dans une fente que présentait la barrique sur le côté.
Ensuite, elle introduit la main dans le trou, tire quelque chose à l’intérieur et en ressort… un briquet !
Cela amuse beaucoup la deuxième nonne qui introduit elle aussi une pièce dans la fente, puis introduit la main dans le trou, tire quelque chose, et en ressort… un paquet de cigarettes !
La troisième religieuse veut essayer elle aussi, elle met sa pièce dans la fente, introduit la main, tire quelque chose à l’intérieur… mais rien ne vient. Alors elle tire, puis tire encore, et encore, et encore… et finalement elle crie « Victoire ! », elle ressort la main et dit :
- « Regardez mes sœurs ce que j’ai obtenu : de la crème Nivéa ! »

Ce sont des religieuses qui font un pèlerinage à Lourdes. Elles se déplacent en minibus. Au détour d'un départementale, voilà-t-y pas qu'un des pneus du minibus est à plat.
Les nonnes sortent et pensent changer le pneu, mais aucune d'elle ne sait comment faire.
Heureusement, un routier qui passait par là s'arrête, et voyant leur détresse, offre ses services. Les religieuses acceptent de bon coeur.
Alors que le routier est en train de soulever le minibus avec le cric, celui-ci glisse, laissant le bus retomber par terre. Alors le routier rugit un:
"NOM DE DIEU"
La mère supérieure le reprend tout de suite et lui dit:
- Ce ne sont pas des manières de parler ainsi. Vous devriez vous surveiller un peu!
Le routier s'excuse:
- Je suis désolé ma mère
Et il se remet à la tâche. Mais 30 secondes plus таrd, rebelote, le cric glisse à nouveau! et le routier vocifère:
"BORDEL DE DIEU DE COUILLE D'OURS"
La mère supérieure intervient:
- Si changer la roue de notre minibus vous oblige à proférer de telles vulgarités, nous préférons nous débrouiller seules!
Le routier s'excuse encore;
- Oh ma mère, je suis réellement désolé. Mais je suis un peu énervé par ce cric qui ne veut pas resté fixé sur le sol.
La mère supérieure lui propose alors:
- Si ce cric glisse à nouveau, retenez-vous de proférer des vulgarités, et dites plutôt quelque chose comme "Mon Dieu, aidez-moi"
Et le routier réessaye de soulever le minibus, et le cric glisse à nouveau et il commence à dire "NOM DE..." mais il se corrige et dit "OH MON DIEU AIDEZ-MOI!"
Et à ce moment là, le minibus se soulève tout seul dans les airs
Et les nonnes regardent leur minibus et crient "NOM DE DIEU"
Deux soeurs rentrent le soir après une journée de vente de gâteaux..
Soeur Marie, mieux connue comme Soeur Mathématiques (SM) et
Soeur Laure, mieux connue comme Soeur Logique (SL).
SL :
"Tu as remarqué qu'un type nous suit depuis 10 minutes?"
SM :
"Oui, je me demande ce qu'il veut..."
SL :
"C'est logique, il veut abuser de nous!"
SM :
"Quelle horreur, et en plus dans 3min 47s il va nous rattraper! Que faire?"
SL :
"Logique, il faut marcher plus vite..."
Et elles accélèrent donc un peu pour semer le sаlаud.
SM :
"Ça ne sert à rien"
SL :
"C'est logique, lui aussi il a accéléré..."
SM :
"Que faire? Dans 1min13s il va nous rattraper..."
SL :
"Bon, logiquement si on se sépare, il aura un problème.."
Et elles se séparent... Soeur-Mathématiques à droite, Soeur-Logique à gauche... L'homme décide de suivre SL à gauche et SM rentre au couvent.
Elle et toutes les autres soeurs attendent donc avec impatience l'arrivée de leur consoeur quand finalement Soeur-Logique arrive au couvent. Dès son arrivée, elle est assaillie par les questions.
SM :
"Dieu soit loué! Que s'est-il passé?"
SL :
"Je n'avais qu'un choix logique : courir le plus vite possible."
SM :
"Et lui?"
SL :
"Logique, lui aussi s'est mis a courir."
SM :
"Et alors?"
SL :
"La suite logique : un homme court plus vite qu'une nonne, il m'a donc rattrapé!"
SM :
"Dieu du ciel! Et alors?"
SL :
"J'ai fait la chose la plus logique. J'ai soulevé ma jupe"
SM :
"... Oh, ma soeur ... et lui?"
SL :
"Sa réaction fut très logique, il a baissé son pantalon."
SM :
"... Horreur ... et ensuite..."
SL :
"Bien, c'est logique! Une soeur avec la jupe en haut court plus vite qu'un gars avec les pantalons aux chevilles!"

Un jour, un curé s’est engagé dans une course, sur son âne nommé « CUL », et il a gagné. Le curé était tellement content de son âne qu'il s’est engagé de nouveau dans une autre course et il a gagné encore une fois.
Le journal local a écrit en première page :
- « Le cul du curé va de l'avant ».
L’évêque était tellement contrarié par ce genre de publicité qu'il a ordonné au curé de ne pas inscrire l'âne dans une autre course.
- « LE CUL DU CURÉ DÉPLAIT À L’ÉVÊQUE » a titré le journal ; C'en était trop pour l'évêque alors il ordonna au curé de se débarrasser de l'âne.
Le curé a décidé de le donner à une religieuse dans un couvent proche. Le journal local, entendant la nouvelle, a posté le titre suivant le lendemain :
- « Une nonne a le meilleur cul de la ville. »
L'évêque s'est évanoui... Il a informé la religieuse qu'elle devrait se débarrasser de l'âne, alors elle l'a vendu à une ferme pour 10 €.
Le lendemain, le journal disait :
- « Une nonne vend son cul pour 10 € »
C'en était trop pour l'évêque alors il a ordonné à la religieuse de racheter l'âne et de le conduire dans les plaines où il pourrait courir à l’état sauvage.
Le lendemain, les titres se lisaient comme suit :
- « La nonne annonce que son cul est libre et à l’état sauvage. »
L'évêque a été enterré le lendemain.
La morale de l'histoire :
Être préoccupé par l'opinion publique peut vous apporter beaucoup de chagrin et de misère… Et même, raccourcir votre vie. Alors soyez vous-même et profitez de la vie. Arrêtez de vous inquiéter pour le cul des autres, occupez-vous juste de vos propres fesses ! Vous vivrez plus longtemps !
Une religieuse monte dans un taxi pour se rendre en périphérie de la ville.
Pendant le voyage, le chauffeur de taxi ne cesse de jeter des coups d’œil appuyés dans son rétroviseur...
Visiblement, il se passe quelque chose :
- « Je vous prie de m’excuser si je vous regarde comme ça dans mon rétroviseur, ma sœur, mais j’aimerais beaucoup vous poser une question, et cependant, je ne voudrais pas vous offenser... »
La religieuse lui répond en souriant :
- « Allez-y mon fils, n’ayez pas peur, il n’y aura pas d’offense. Vous savez, nous ne vivons pas recluses dans notre couvent à nous boucher les oreilles et à fermer les yeux. Nous pouvons tout entendre ! »
- « Eh bien voilà, » commence le taxi, « j’ai toujours eu ce fantasme sexuel... J’ai toujours désiré secrètement qu’une religieuse... Oh que j’ai honte... j’ai toujours souhaité me faire faire une fellation par une religieuse... »
La religieuse rougit mais ne se met pas en colère :
- « Eh bien, » dit-elle, « voyons ce que nous pouvons faire pour vous. Tout d’abord, est-ce que vous êtes célibataire ? Et deuxièmement, est-ce que vous êtes catholique ? »
Tout excité, le taxi répond :
- « Oui, je suis célibataire ! Et je suis catholique aussi ! »
Alors, avec un sourire espiègle, la religieuse lui dit de trouver une petite rue déserte...
Le taxi s’engage dans une impasse abandonnée, et là, la religieuse réalise sans se poser de question le fantasme du chauffeur !
Lorsque le chauffeur du taxi se remet en route pour amener la nonne à sa destination, il fond en larmes.
- « Pourquoi pleurez-vous comme ça ? » lui demande la religieuse.
- « Oh ma sœur, pardonnez-moi. J’ai pêché, je vous ai menti : je suis marié et en plus, ma religion, c’est l’islam ! »
Et la sœur lui dit alors :
- « Ce n’est pas grave. On a tous ses petits mensonges... Moi par exemple, je m’appelle Kévin et j’ai rendez-vous à une fête costumée pour Halloween ! »