C'est un curé qui héberge une nonne chez lui. Un jour, il l'invite à la chasse. La soeur commence par refuser, mais le curé insiste tellement qu'elle finit par accepter. Arrivés en forêt, le curé est aux aguets, alors que la nonne admire la nature en papottant à tort et à travers comme seules les femmes savent le faire...
Tout à coup, le curé voit un lapin, il épaule, tire, et ...
- Bordel de Dieu, raté!
La воnnе soeur, choquée par ce langage, réprimande le curé :
- Voyons, mon Père, ne blasphémez pas, vous allez vous attirer les foudres de Notre Seigneur!!!
- Oh, excusez-moi, ma soeur, je me suis laissé emporter... Je surveillerai mon langage maintenant...
Un peu plus таrd, une perdrix s'envole d'un bosquet. Le curé tire et la manque :
- Bordel de Dieu, encore raté!!!
- Mon Père, de grace, surveillez-vous, vous allez vous attirer les foudres du Ciel!
- Pardonnez-moi, mais je m'emporte, vos babillages me déconcentrent et gène ma visée...
Encore plus таrd, un chevreuil traverse le sentier au lоin. Le curé tire et le rate :
- Bordel de Dieu, raté!!!
La nonne commence à ouvrir la bouche, mais le ciel s'obscurcit, le tonnerre gronde, et un éclair tombe... et fondroie la nonne.
Alors une voix lointaine dit :
BORDEL DE MOI-MêME, RATé
Dans un couvent, 3 soeurs veulent se confesser.
La 1ère entre dans le confessionnal pendant que les 2 autres écoutent derrière le rideau.
"Mon, père, j'ai commis un pêché: J'ai regardé des hommes nus a travers le trou d'un serrure."
- "Ma soeur, vous ferez une prière puis vous irez vous laver l'oeil dans le bénitier".
À ce moment, la 3ème soeur se précipite dans le confessionnal en disant:
"Mon père, puis-je aller me rincer la bouche avant que la 2ème ne se lave le cul ?"
Et voici une variante de cette blague, un peu plus longue:
Il y avait une fois trois moines très très pieux. Ces moines étaient si pieux qu'un jour, le Père supérieur décida de les récompenser de leur dévotion en leur accordant à chacun une journée complète de pêché, mais à la condition expresse qu'ils se confessent à lui à la fin de la journée.
Le jour convenu, les trois moines partirent en ville pour aller se débaucher à leur convenance.
Le premier moine rentre au monastère vers 1 h 00 du matin, et essaie d'aller se coucher sans bruit, mais le Père supérieur qui attend tapis dans l'ombre lui met le grappin dessus et lui demande de raconter sa journée.
- Non mon Père, ce que j'ai fait est trop mal j'ai trop honte, jamais je ne pourrais me confier.
- Le marché que nous avons passé vous oblige pourtant à me dire exactement TOUT ce que vous avez commis comme pêché. Autrement, vous n'aurez pas l'absolution !
Alors le premier moine se laisse convaincre et confesse :
- J'ai ... J'ai bu ! Et non seulement ça, mais j'ai aussi goûté à la drogue : J'ai fumé des cigarettes, puis on m'a proposé de fumer des sachets de thé. J'ai même sniffé du détartrant à cafetières...
- Assez ! Ce sont des pêchés diaboliques. Mais un marché étant un marché, je vous donne malgré tout mon absolution, sous réserve que vous alliez dire quelques prières, et que vous vous purifiez la bouche en buvant de l'eau bénite.
Le moine remercie le Père supérieur et s'en va appliquer ses recommandations.
Le deuxième moine rentre au monastère vers 2 h 00 du matin. Comme pour le premier, il se fait 'attraper' par le Père supérieur qui lui demande de lui raconter sa nuit.
- Je ... je me suis laissé aller à d'ignobles perversions sexuelles : J'ai fait l'amour avec des filles à la vertu minuscule, elles étaient plusieurs et je ne suis même pas sûr qu'elles étaient majeures ; J'ai honte mon Père.
- Cela suffit. J'ai promis l'absolution mais il ne faudrait pas me forcer à entendre des ignominies. Allez dire des prières et vous purifier en buvant un verre d'eau bénite.
Le troisième moine rentre finalement à 3 h 00 du matin.
- Alors mon fils. Qu'avez-vous fait comme pêché ?
- Mon Père, cette nuit j'ai... Oh non, je n'y arriverai pas. Vous n'auriez jamais du nous permettre de nous laisser aller à commettre des pêchés.
- Respectez notre accord : Dites-moi ce que vous avez commis comme pêché.
- Le moine penche la tête et dit :
- D'accord mon Père. Cette nuit j'ai...
- Oui ?
- Cette nuit j'ai fait pipi dans le bénitier.

C'est un pirate, un vrai, avec une jambe en bois, un bandeau et tout ce qu'il faut.... Seulement, il a un menu problème: dès qu'il est dans le noir, eh ben, en fait, c'est plus fort que lui, il éjacule sans aucun contrôle....
Un jour qu'il était en mer, lors d'une grosse tempête, son bateau coule. In extremis, il trouve un tonneau où il entre pour se laisser dériver. Seulement voilà: dans le tonneau, il fait tout noir... et le tonneau dérive 3 mois (il avait pris des provisions), !!
Au terme de ces trois mois, le tonneau s'échoue sur une ile inconnue. Le pauvre pirate ressort dégoulinant, je vous fait pas un dessin. Il en a partout. Il est heureusement accueilli par quelques bonnes soeurs. Elles le logent, le nourrissent, le blanchissent...
Jusqu'au jour où une воnnе soeur tombe enceinte.
La mère supérieure entre dans la chambre du pirate.
- On vous offre l'hospitalité, et vous, vous violez une religieuse? C'est honteux !
- Non, ma mère, j'vous jure...
- Ne vous foutez pas de moi ! Si vous recommencez, Vous serez remis à la mer!!
Le pirate ne comprend pas. En fait, c'est pas faute d'essayer, mais aucune religieuse n'a cédé à ses avances. Et pourtant, 1 mois plus таrd, rebelote !
- Alors monsieur le pirate!!! ça commence à bien faire ! Vous avez encore rendue une nonne enceinte!
C'est forcément vous car vous êtes le seul homme sur cette ile!
- Mais...
- IL SUFFIT !
Et la mère supérieure l'expulse dans une cabane, enfermé 24h/24.
Pourtant, 45 jours plus таrd, une troisième воnnе seur est en cloque.
- Pirate, ìl faut m'expliquer maintenant. Je vous ai enfermé alors comment êtes-vous parvenu à rendre ctte troisième religieuse enceinte?
- Mais non, je ...
- Allez, franchement...
- Au fait, mon tonneau, qu'est-ce que vous en avez fait ?
- Des bougies, pourquoi ?
C'est la tempête de neige. Un curé et une religieuse qui faisaient la route en Renault 4 (ah, vous avez pas connu ça au Québec!), décident d'arrêter de rouler et de passer la nuit à l'hôtel.
Naturellement, le seul hôtel de la région a été pris d'assaut par les voyageurs.
Le réceptionniste de l'hôtel dit alors au prêtre:
- Je vais vous donner la dernière chambre qui me reste. Je ne peux pas faire mieux: Il vous faudra partager avec la Soeur"
Le prêtre accepte et il accompagne la religieuse dans la chambre.
Tous deux décident de partager le grand lit puisque la chambre ne comporte pas de canapé.
Cependant, il se produit une coupure d'électricité (la tempête de neige...), et l'éclairage ainsi que le chauffage disparaissent.
Heureusement, il y a quelques couvertures dans l'armoire.
Très vite, la nonne dit:
"- mon père, j'ai froid" Alors le prêtre se lève et va chercher une couverture qu'il déplie du côté de la religieuse.
Un peu plus таrd, la religieuse renchérit:
"- mon père, j'ai froid, voudriez-vous aller chercher une autre couverture?" Du coup le prêtre se dévoue encore.
Encore un peu plus таrd, la nonne veut une autre couverture. Cette fois, le prêtre répond:
"Je pense que pour avoir chaud, il nous faut agir comme le font Maris et Femmes!"
La nonne est très étonnée et se demande si vraiment... Mais enfin, comme il est le prêtre, elle dit:
"D'accord mon Père. Si vous êtes sûr que cela restera dans les principes que nous devons respecter"
Et alors le prêtre lui répond:
"ALORS, VA LA CHERCHER TOI-MêME CETTE SACRéE COUVERTURE!"

Le couvent des sœurs de la Sаinте-Pénétration est quasiment autonome. Des puits pour l'eau, des panneaux photovoltaïques pour l'électricité. Un verger, un potager et une basse-cour avec des poules et des lapines en liberté. Cependant, afin de ne pas troubler la sérénité des jeunes nonnes, il n'y a pas de coq ni de lapin. Chaque année, la Mère Supérieure achète des œufs fécondés et des lapines déjà pleines dans différents élevages! Le seul problème, c'est que les lapines en liberté se dispersent très souvent, et qu'il est difficile de les rassembler.
Une sœur ayant vécu à la campagne dans sa jeunesse, suggère à la Supérieure d'acheter des colliers à grelots, afin de repérer aisément les lapines fugueuses. La Mère appelle une sœur quadragénaire, lui demande de prendre le vélo et d'aller à la quincaillerie du village, à 10 km, afin d'acheter les fameux grelots.
Une heure et demie plus таrd, la religieuse revient, en transpiration et dans tous ses états.
- Que s'est-il passé, ma fille, vous êtes en émoi extrême ?
- Oh, Ma Mère, si vous saviez. Le quincailler s'est montré d'une grossièreté que je n'ose pas vous répéter!
- Mais, il faut que je sache, ma fille! C'est indispensable!
- Eh bien, il m'a demandé si ... J'avais... Des... Poils... Au cul!
Horrifiée, la Supérieure prend le vélo et se rend à la quincaillerie. Très en colère, elle demande :
- Monsieur! Est-il vrai que vous avez osé demander à sœur Gertrude si elle avait... Euh... des poils... Euh... entre les fesses ?
- Ben oui, ma Mère, mais c'est elle qui a commencé!
- Comment cela ?
- Ben, en arrivant, elle m'a demandé si j'avais des grelots à la pine!!!
Il y était une fois deux nonnes. L'une d'elles était surnommée Soeur Mathématique et l'autre Soeur Logique. Un soir alors qu'il commençait à faire nuit, et qu'elles étaient encore bien lоin de leur couvent...
Soeur Mathématique :
- « Avez-vous remarqué cet homme qui nous suit depuis 38 minutes et demi, je me demande ce qu'il peut bien nous vouloir ? »
Soeur Logique :
- « C'est Logique . Il veut nous violer. »
Soeur Mathématique :
- « Oh non ! A la distance où il se trouve il nous aura rejoint dans 15 min au plus. Que pouvons -nous faire ? »
Soeur Logique :
- « La seule chose Logique à faire bien sur, est de marcher plus vite. »
Soeur Mathématique :
- « Ça ne marche pas. »
Soeur Logique :
- « Bien sur que ça ne marche pas. L'homme a fait la seule chose Logique qu'il pouvait faire. Il s'est mis à marcher plus vite lui aussi. »
Soeur Mathématique :
- « Alors que faisons-nous ? A ce stade il nous aura rejoint dans une minute. »
Soeur Logique :
- « La seule chose Logique à faire est de nous séparer. Vous allez de ce côté, et je vais par là. Il ne pourra pas nous suivre toutes les deux. »
L'homme choisit de suivre Soeur Logique.
Soeur Mathématique arrive au couvent et s'inquiète de ce qu'il a pu arriver à Soeur Logique. Puis Soeur Logique arrive.
Soeur Mathématique :
- « Soeur Logique ! grâce à Dieu vous êtes là! Racontez-moi ce qui s'est passé ! »
Soeur Logique :
- « La seule chose Logique est arrivée. L'homme ne pouvait pas nous suivre toutes les deux donc il a choisi de me suivre. »
Soeur Mathématique :
- « Oui, oui ! Mais ensuite que s'est-il passé ? »
Soeur Logique :
- « La seule chose Logique est arrivée. J'ai commencé à courir aussi vite que je pouvais et il s'est mis à courir aussi vite qu'il pouvait. »
Soeur Mathématique :
- « Et ? »
Soeur Logique :
- « La seule chose Logique est arrivée. Il m'a rattrapée. »
Soeur Mathématique :
- « Oh mon Dieu ! Et qu'avez-vous fait ? »
Soeur Logique :
- « La seule chose Logique à faire. J'ai soulevé ma robe. »
Soeur Mathématique :
- « Oh ma soeur ! et l'homme qu'a-t-il fait ? »
Soeur Logique :
- « La seule chose Logique, il a baissé son pantalon. »
Soeur Mathématique :
- « Oh non ! Et que s'est-il passé alors ? »
Soeur Logique :
- « N'est-ce pas Logique ma soeur ? »
« Une nonne avec la robe levée court plus vite qu'un homme avec le pantalon baissé. »
Et pour ceux qui avaient imaginé une autre fin, repentez-vous !