Le jeune Roi Arthur fut fait prisonnier par le monarque d'un royaume voisin.
Celui-ci aurait pu le tuer, mais il fut ému par la jeunesse de son prisonnier et il lui proposa un marché : il lui laisserait la vie sauve s'il réussissait à trouver la réponse à une question très difficile.
Arthur aurait un an pour trouver la réponse ; si au bout d'un an, il revenait avec la réponse, alors il serait libre, sinon, le monarque le tuerait.
La question était : que veulent réellement les femmes ? Une telle question rendrait perplexe n'importe quel homme d'expérience, mais pour le jeune roi, la réponse paraissait impossible à trouver.
Mais, ce marché étant toujours préférable à la mort, Arthur accepta la proposition du Roi et promit de revenir dans un an avec la réponse à cette difficile question.
Il repartit alors dans son royaume et commença à chercher la réponse à cette question en interrogeant tous ses sujets : la princesse, les prostituées, les prêtres, les sages, les courtisans..
Finalement, il interrogea tout le monde, mais personne ne put lui donner une réponse satisfaisante.
Ce que la plupart des gens lui conseillèrent fut d'aller consulter une vieille sorcière qui seule pourrait connaître la réponse.
Mais le prix serait élevé, la sorcière étant en effet connue dans tout le royaume pour les tarifs exorbitants qu'elle réclamait pour ses services...
Le dernier jour de l'année de réflexion accordée étant arrivé, Arthur n'avait plus le choix et il alla consulter la sorcière. Elle accepta de répondre à sa question, mais à condition qu'il lui accorde d'épouser Gawain, le plus noble des chevaliers de la Table Ronde, et l'ami le plus cher d'Arthur !
Le jeune Arthur fut horrifié : La sorcière était bossue et véritablement hideuse, elle n'avait plus qu'une dent, sentait l'eau croupie et faisait sans arrêt entendre des bruits obscènes... c'était la créature la plus répugnante qu'il ait jamais rencontré. Il refusa d'obl… >> Cliquez pour lire la suite
C’est un curé qui exerçait son sacerdoce en ville, et qui vient de prendre sa retraite à la campagne, dans un petit village de la Creuse.
Il a acheté une petite maison dotée d’un jardin et le moment de tondre la pelouse est arrivé. Au cours d’une ballade dans le village, il a remarqué le panonceau « TONDEUSE À VENDRE » devant la maison de Toto.
Se rendant sur place, il est accueilli par Toto lui-même qui était en train de tondre la pelouse justement, et qui l’emmène voir la machine.
Le curé essaie la tondeuse, ralentit, accélère, tond un peu de gazon, et voyant que tout fonctionne bien, fait un chèque de 150 euros à Toto et rentre chez lui avec la tondeuse.
Un peu plus таrd dans la journée, Toto passe en vélo devant monsieur le curé. Il s’arrête pour regarder l’ex-prêtre s’escrimer à tirer sur la corde du démarreur sans autre résultat que des « Beurrh Beurrh » lamentables.
Toto lance à son acheteur :
- Alors Monsieur le curé, qu’est-ce qui se passe ?
- Ah ben, tu tombes bien ! Je n’arrive pas à démarrer ta tondeuse. Tu peux m’aider ?
Et Toto répond :
- C’est parce qu’il y a une méthode. Pour la faire démarrer, il faut la traiter !
- Qu’est-ce que tu veux dire par « la traiter » ?
- Ben, il faut lui balancer tous les jurons qu’on connaît, la maudire, la traiter quoi…
- Mais mon garçon, je suis un curé tu sais, et à supposer que j’aie un jour utilisé des jurons, j’ai oublié comment on faisait après toutes ces années au service du Bon Dieu !
Alors Toto lui répond :
- Bah, vous en faîtes pas monsieur l’curé. Si vous continuez à tirer cette corde, tout ça va ne va pas tarder à vous revenir…

En fin d’après-midi, le père Joseph rend visite à son copain de promo, l’abbé Martin. Il se confie à lui :
- J’en ai RAS LE BOL de cette vie vertueuse que notre sacerdoce nous impose. Ce soir, j’ai envie qu’on aille faire la fête tous les deux. On fera la java, on boira, tout ce qu’on a toujours voulu faire mais qui nous est interdit parce qu’on est des curés, on le fera ! Qu’est-ce que t’en penses ?
Martin est consterné :
- Mais tu es fou ? C’est une petite ville ici et tout le monde se connaît. En plus, même s’ils ne nous connaissent pas, les gens vont nous repérer avec nos habits de curés…
Mais Joseph a tout prévu :
- Ne sois pas si bête : on ira dans une ville où personne ne nous connaît, et on s’habillera comme tout un chacun.
Finalement, après avoir insisté lourdement, Joseph parvient à emmener son copain Martin. Les voilà partis à une centaine de kilomètres de là, dans une grande ville connue pour la chaleur de ses nuits. Sur place, ils font la fête comme des pros. Lorsqu’ils sont de retour chez eux, sur le coup des 6 heures du matin, Martin s’angoisse :
- Je viens juste de penser à un truc… Il va falloir se confesser de tout ça…?
Mais Joseph a trouvé la parade une fois encore :
- Calme-toi. Cet après-midi, tu iras au confessionnal. Je serai là pour t’écouter confesser tes pêchés et t’absoudre. Ensuite on intervertira les rôles. D’accord ?
Martin est d’accord. Et tous les deux vont dormir, l’еsрriт serein.
L’après-midi, Martin est le premier à se confesser :
- Mon père, pardonnez-moi car j’ai pêché. Avec un ami à moi, nous sommes sortis la nuit dernière, et nous nous sommes conduits comme de vrais débauchés. Nous avons bu de l’alcool jusqu’à nous rendre ivres, nous avons été grossiers, et nous avons eu des rapports charnels avec des prostituées !
Joseph lui répond :
- Dieu est bon et indulgent, aussi le serai-je avec toi : Tu réciteras 5 Notre Père et 5 Je Vous Salue Marie, et tes pêchés seront absous.
Un peu plus таrd, c’est au tour de Joseph de se confesser, et à Martin d’absoudre. Joseph s’installe et commence à se confesser. Il raconte tout en détail, puis il attend la sentence de son ami Martin. Après une pause, Martin lui répond :
- Je ne le crois pas ! Tu oses encore te dire prêtre après tout ce que tu as fait cette nuit ? Tu me réciteras 500 Notre Père et 500 Je Vous Salue Marie ; puis tu donneras tout l’argent des quêtes du mois à venir au Bureau d’Aide Social de la ville, tu n’oublieras pas non plus de faire 5 fois le tour de l’église à genoux en demandant son pardon à Dieu. Lorsque tu auras finit tout ça, tu reviendras me voir, et là on verra si je peux te donner l’absolution… mais je ne te garantis rien !
- QUOI ? hurle Joseph très choqué. Tu oublies qu’on avait un accord !?
Martin lui répond :
- Hé, ce que je fais en dehors du boulot, c’est une chose, mais je prends mon travail très au sérieux.
Un missionnaire belge vient de passer plusieurs années dans la jungle africaine, essayant d’apprendre aux pygmées à cultiver et construire, lorsque ses autorités religieuses l’informent que sa mission est terminée et qu’il est temps de rentrer.
À ce moment, il se rend compte qu’il n’a jamais cherché à apprendre une autre langue aux autochtones : il a toujours communiqué avec eux dans leur langue. Cherchant à combler cette lacune, il décide d’enseigner rapidement la langue française à toute la tribu, et il commence par le chef.
Le missionnaire lui montre un arbre « ceci est un arbre ».
Le chef regarde l’arbre et grogne « ARBRE ».
Ils marchent un peu plus lоin, et le curé lui montre le fleuve « Ceci est un fleuve ».
Le chef regarde l’eau qui coule et grogne « FLEUVE ».
Le prêtre est vraiment content du résultat car le chef semble apprendre très très vite la langue française. Mais soudain on entend un bruissement dans les buissons. Le prêtre, se mettant sur la pointe des pieds, aperçoit une femme et un homme, nus, en train de faire l’amour.
Alors le missionnaire, encore coincé dans un puritanisme inculqué lors de ses années passées au séminaire dit au chef pygmée en rougissant « Ils font du vélo ».
Le chef, trop petit pour voir ce dont il s’agit, fait le tour du buisson pour se rendre compte, et voyant la scène de plus près, il prend sa lance et transperce tour à tour les corps de chacun des deux amoureux !
Voyant le carnage, le missionnaire se met à crier, rempli du désespoir de n’avoir pas su donner une morale, des principes, les bases d’une vie civilisée à ses pygmées. Il engueule le chef dans sa langue natale :
- J’ai passé tant d’années à vous enseigner ce qu’était la vie civilisée. Je pensais avoir réussi, mais ton acte me prouve que rien de ce que je vous ai enseigné n’a porté ses fruits ! Peux-tu me dire pourquoi tu as tué cette femme et cet homme de sang froid ?
Et le chef répond en pointant son index sur sa poitrine :
- Mon vélo !