C’est Dieu qui est fatigué, et qui demande à Sаinт Pierre :
- Tu sais, je crois que j’ai besoin de vacances. Tu sais ne pas où je pourrais aller ?
Saint Pierre, réfléchissant, fait non de la tête, puis dit :
- Pourquoi t’irais pas sur Jupiter ? Il y fait beau à cette époque de l’année.
Dieu, après une seconde de réflexion, dit :
- Non, y’a trop de gravité là-bas, et ça me fait mal au dos, tu le sais bien.
- Hhhhmmmm... Eh bien, va donc sur Mercure ! Propose Sаinт Pierre.
- Non mais ça va pas ? Il fait bien trop chaud là-bas ! Répond Dieu.
- Ah oui, j’ai trouvé ! S’écrie Sаinт Pierre. Tu n’as qu’à aller sur Terre, pour tes vacances.
- Ca va pas ? Tu plaisantes, j’espère ! Fait Dieu. J’y suis allé y’a deux mille ans, j’ai eu une petite aventure avec une fille, et ils en parlent encore...
Bill Clinton vient de mourir et approche de la porte du Paradis.
- Qui êtes-vous ?, demande St Pierre.
- C'est moi, Bill Clinton, le précédent Président des Etats-Unis et leader du monde libre.
- Oh, monsieur le Président ! Que puis-je pour vous ?, demande St Pierre.
- J'aimerais entrer. Répond Bill Clinton.
- Certainement, dit le Sаinт, mais d'abord vous devez confesser vos pêchés. Quelles vilaines choses avez-vous faites durant votre vie ?
Clinton se mordille les lèvres et répond :
- Eh bien, j'ai goûté à la marijuana mais on ne peut pas appeler cela fumer de la drogue parce que je n'ai pas inhalé la fumée. J'ai eu quelques relations extra-maritales coupables mais on ne peut pas appeler ca adultère parce que je n'ai pas eu de vrais rapports sexuels. Et j'ai fait quelques déclarations fausses mais très légales, donc on ne peut pas appeler ça de faux témoignages car, autant que je le sache je n'ai pas été parjuré au sens strict de la loi.
Avec cela, St Pierre consulte rapidement le Livre de la Vie et déclare :
- D'accord, voici ce qui va se passer. Nous allons vous envoyer dans un endroit chaud mais nous n'allons pas l'appeler Enfer. Vous y serez indéfiniment mais nous n'allons pas appeler cela Eternité et quand vous y entrerez, vous n'aurez pas à abandonner tout espoir... seulement ne retenez pas votre respiration en attendant que cela refroidisse.
Verseau (21 janvier - 19 février)
Planète : Saturne
Planète en exil : Soleil
Elément : Air
Intelligent, doté d'un еsрriт analytique, vous n'exploitez qu'un quart de
Votre capacité car vous êtes une grosse feignasse.
Votre élément est l'air. C'est pour cela que vous prenez des vents et que
Vous aimez faire des flatulences en public.
Peut-être trop entier et trop perfectionniste, vous êtes en perpétuelle mutation et emmerdez votre entourage. Tout le monde vous fuit à juste titre.
Explorateur dans l'âme, vous aimez aller à la découverte, adorez les nouvelles expériences en tout genre et voyagez le plus souvent possible : doué pour les périodes de cavales, vous êtes aussi les champions de l'adultère.
On vous dit froid, je dirais que vous êtes porté à l'introversion et que vous êtes très digne : en fait, vous vous sentez supérieur aux autres, et vous avez raison. Les autres sont trop cons. ne changez rien.
Cette année exceptionnelle sera marquée par un divorce ou par un suicide.
Conseil : attention aux appareils électriques, car à force de croire tout savoir vous pourriez avoir des soucis en changeant une ampoule.
Verseau célèbre : Claude François
Une pauvre femme vient confier ses tourments à un grand chirurgien.
- Mon mari, lui rappelle-t-elle, était devenu totalement incapable de me faire l’amour. C’est pourquoi je l’avais incité à vous consulter.
- En effet. Et voilà deux mois que je lui ai greffé, à la place de son sexe défaillant, celui d’un tout jeune homme qui avait légué son corps à la science, avant de mourir dans un accident d’auto.
- C’est cela, docteur.
- Et, autant que je sache, la greffe a parfaitement réussi.
- Oh oui. Désormais, mon mari, qui a retrouvé, grâce au sexe de ce brave garçon, toute la vigueur de ses vingt ans, fait l’amour à longueur de journée, avec n’importe qui… sauf avec moi.
- Et pourquoi pas avec vous ?
- Il dit qu’il ne peut pas supporter l’idée que je commette l’adultère.
Ca se passe dans une bourgade dans laquelle les habitants ont les mœurs un peu dissolues.
Le curé du village, un beau jour, se fatigue des confessions de ses paroissiens ou tout tourne toujours autour de l’adultère. Aussi, dès le dimanche, pour son sermon, il leur dit :
- A partir de maintenant, je ne veux plus entendre parler d’adultère dans les confessions. C’est bien simple, si j’entends encore quelqu’un confesser qu’il a trompé son mari ou sa femme, je demande à changer de paroisse !
Comme tout le monde aime bien son curé au village, une réunion informelle a lieu des la sortie de la messe, et il est décidé de continuer à confesser les adultères, mais d’utiliser un nom de code pour ce péché : il est convenu que lorsque quelqu’un aura fauté sexuellement, il confessera être tombé par terre et avoir proféré des jurons à cette occasion.
Une semaine plus таrd, le curé croise le maire du village dans la rue. Le prêtre lui dit :
- Bonjour Monsieur le Maire. Dites-moi, je suis bien content de vous voir. Vous devriez faire macadamiser les trottoirs du village : je ne compte plus les personnes qui se plaignent d’être tombé par terre !
Le maire ne peut pas s’empêcher de rigoler en entendant la remarque naïve de son curé, mais le curé le coupe tout de suite :
- Vous ne devriez pas rire de ça : rien que cette semaine, votre femme est quand même tombée trois fois !
Les trois grands enfants d’un milliardaire viennent se confesser à lui :
- Papa, lui dit le premier, j’ai fréquenté pendant quelque temps une danseuse de cabaret et voilà qu’elle est enceinte. Alors, pour rompre, il me faudrait 100.000 euros.
- Très bien, mon fils, répond le nabab, en tirant son carnet de chèques. Les voici. Et toi ?
- Il m’arrive la même mésaventure, papa, explique son second fils. Et moi aussi, pour me dégager de cette liaison, il me faut 100.000 euros.
- Bon, dit le père, en signant son deuxième chèque. A toi, maintenant.
- Papa, avoue sa fille en rougissant, je suis enceinte et le père de mon enfant veut m’abandonner.
- Ah ! enfin, s’écrie le père, un peu d’argent qui va rentrer !