C’est une histoire qui se passe dans un fort de l’armée américaine, du temps des cowboys et des indiens.
Un beau jour, alors qu’ils sont en train d’uriner dans les toilettes du fort, le capitaine du camp ne peut s’empêcher de voir la BITE MONSTRUEUSE du caporal que l’on avait l’habitude d’appeler « ptite bite ».
Le capitaine lui dit :
- Dis-donc ptite bite, qu’est-ce qui s’est passé. On t’a toujours appelé ptite bite, mais je vois qu’il va falloir te donner un autre surnom : ta bite fait bien 30 cm de long, c’est incroyable.
- Je vais vous expliquer pourquoi mon capitaine. Il y a deux jours, je faisais ma patrouille de surveillance à quelques miles d’ici, au nord. lorsque, alors que je passais sous un chêne incroyablement haut, je vois un génie posé sur une des branches de l’arbre. Alors le génie me dit :
« Je suis un génie. Je peux exaucer un de tes voeux si tu le désires. Je t’écoute ! ». Alors moi je lui ai demandé un sexe comme mon cheval. Depuis le temps qu’on me surnommait ptite bite, je n’attendais que ça… Voila l’histoire.
Le même jour, le capitaine prend son cheval, et va en direction du nord. Arrivé près du grand chêne, il trouve effectivement le génie… et les militaires étant ce qu’ils sont, il ne trouve pas d’autre vœu à formuler que celui de son caporal :
- Génie, puisqu’il paraît que tu peux réaliser un vœu, j’aimerai avoir un sexe de la taille de celui de mon cheval !
Une heure plus таrd, le capitaine rentre au fort en hurlant :
- QUEL EST L’ABRUTI QUI M’A SELLÉ UNE JUMENT ?
Le Président Donald Trump est réveillé en pleine nuit par un appel urgent du Pentagone :
- Monsieur le Président, lui dit le général en chef, à peine capable de se contenir, j’ai de bonnes et de mauvaises nouvelles de la plus haute importance à vous soumettre.
- Oh, non… gémit Trump, eh bien, allez-y, donnez-moi les mauvaises nouvelles d’abord.
- Les mauvaises nouvelles, monsieur, sont que nous avons été envahis par des créatures d’une autre planète.
- Ça alors ! et les bonnes nouvelles ?
- Les bonnes nouvelles, monsieur, sont qu’ils mangent des journalistes et qu’ils urinent du pétrole.
Tous sont des hommes âgés et grisonnants qui ont vu leur juste part de guerre, alors le Pentagone propose un système de bonus unique pour leur service. Ils peuvent choisir deux points de leur corps et pour chaque cm entre eux, ils obtiendraient 10 000$.
Le premier était le général de l'armée. Il a choisi de mesurer entre les bouts de ses majeurs avec ses bras écartés. La deuxième était l'armée de l'air, qui a choisi le sommet de sa tête à la plante de ses pieds. Puis vint le général de la marine.
« Je veux que vous mesuriez du bout de ma bite à mes couilles. »
Les hommes qui dirigeaient la mesure ont ri et lui ont ensuite demandé, sérieusement, où il voulait mesurer.
« Je suis sérieux. Maintenant, commencez à mesurer. »
Les hommes ont essayé de le dissuader, mais il était catégorique. Finalement, résigné, l'un des hommes prend le mètre ruban et va prendre la mesure. Lorsque le général enleva son pantalon, l'homme sursauta alarmé.
« Monsieur! Où sont vos couilles?!? »
« AU VIETNAM! »
Un policier arrête un type pour excès de vitesse et a l'échangeur suivant :
Officier: Puis-je voir votre permis de conduire?
Pilote: Je n'en ai pas. Il a été révoqué, je n'ai plus de points.
Officier: Puis-je voir les papiers de ce véhicule?
Pilote: Ce n'est pas ma voiture. Je l'ai volé.
Officier: La voiture est volée?
Pilote: Oui. Mais à bien y penser, je pense que j'ai vu les papiers dans la boîte à gants quand je mettais mon arme là-dedans.
Officier: Il y a un pistolet dans la boîte à gants?
Conducteur: Oui monsieur. C'est là que je l'ai mis après avoir tiré et tué la femme qui possède cette voiture et je l'ai fourrée dans le coffre.
Officier: Il y a un CORPS dans le COFFRE?!?!?
Conducteur: Oui, monsieur.
En entendant cela, l'officier a immédiatement appelé son capitaine. La voiture a été rapidement encerclée par la police et le commandant de bord s'est approché du conducteur pour gérer la situation tendue:
Capitaine: Monsieur, puis-je voir votre licence?
Pilote: Bien sûr. C'est ici.
Capitaine: A qui est cette voiture?
Conducteur: C'est la mienne, officier. Voici les papiers. Le conducteur était propriétaire de la voiture.
Capitaine: Pourriez-vous ouvrir lentement votre boîte à gants pour que je puisse voir s'il y a une arme à feu à l'intérieur?
Conducteur: Oui, monsieur, mais il n'y a pas d'arme. Effectivement, il n'y avait rien dans la boîte à gants.
Capitaine: Pourriez-vous ouvrir votre coffre? On m'a dit que vous aviez dit qu'il y avait un corps dedans.
Pilote: pas de problème. Le coffre est ouvert; personne.
Capitaine: Je ne comprends pas. L'officier qui vous a arrêté vous a dit que vous lui aviez dit que vous n'aviez pas de permis, que vous aviez volé la voiture, que vous aviez un pistolet dans la boîte à gants et qu'il y avait un cadavre dans le coffre.
Pilote: Ouais, je parie que le fils de рuте menteur t'a dit que j'allais trop vite!
Par un beau jour d'été, le père Mathieu a décidé de vider son tas de fumier qui trônait au beau milieu de sa ferme, et d'aller l'épandre sur les chaumes.
Mais l'épandeur à fumier du père Mathieu n'est pas de première jeunesse et pour comble de malchance, il casse un essieu juste devant la mairie, au beau milieu de la rue principale du village. Naturellement, voilà tout le fumier par terre…
Le garde champêtre arrive aussitôt et commence à lui dresser un procès-verbal, agrémenté d'une amende pour « Dépôt de matières fécales sur une voie communale et entrave à la circulation. »
Pendant qu'il écrit sur son carnet à souche, le garde champêtre se retrouve environné de mouches à меrdе, et énervé comme pas possible, il se met à jurer et fouetter l'air de ses mains dans l'espoir de les faire partir, mais rien n'y fait.
Le père Mathieu voyant les déboires du garde lui dit :
- Tu sais comment on appelle ces mouches ? Des mouches à cul… Et tu sais pourquoi on les appelle comme ça ? Parce qu'elles sont toujours en train de voler autour du cul des vaches !
- Holà père Mathieu, ça serait-y que tu m'aurais traité de « cul de vache » ? Fais attention à ce que tu dis, il y a outrage à un officier public au cours de ses fonctions…
- Но ben non mon gars, moi j'dis rien… mais ces mouches là, on les trompe pas !
Du temps de l’Occupation, le père Eugène allait de temps en temps à Toulouse vendre un cochon ou un veau et en profitait pour faire quelques emplettes. Un jour, comme il était arrivé à la gare de Toulouse avec une воnnе heure d’avance sur le train qui devait le reconduire dans sa campagne, il prit le temps de se taper un cassoulet au buffet. Puis le train entra en gare et l’Eugène моnта dans un compartiment où trois officiers allemands avaient déjà pris place.
Le train démarre, et là, le cassoulet commence à lui travailler les tripes : au bout d’un moment, n’y tenant plus, le père Eugène lâche un pet, mais un pet bien bruyant et odorant !
Et pourtant le voyage continue, les passagers affectant de n’avoir rien entendu. Mais l’Eugène, ça le travaille de plus en plus, et le voilà qui en lâche un deuxième. Cette fois, les Allemands ne peuvent retenir une grimace de dégoût.
Et vlan, là-dessus, l’Eugène se laisse aller une troisième fois. Les Allemands n’en peuvent plus : ils se lèvent et sortent du compartiment avec un mouchoir sur le nez. Alors l’Eugène se tourne vers son voisin et lui dit :
- Qu’est-ce que vous voulez ? On peut pas leur dire qu’ils nous emmerdent, mais on peut toujours leur faire sentir !