Blague Métier, Blague au travail
Il était une fois un village, dans lequel un homme apparut un beau matin et annonça aux villageois qu'il achèterait des ânes pour 10 dollars pièce.
Les villageois, sachant qu'il y avait des ânes sauvages dans la région, partirent dans la savane et commencèrent à en capturer. L'homme en acheta des centaines à 10 dollars pièce et comme la population d'ânes diminuait, les villageois arrêtèrent leurs efforts.
Alors, l'homme annonça qu'il achetait désormais les ânes 15 dollars. Les villageois recommencèrent à les chasser. Mais, bientôt, le stock s'épuisa et les habitants du village retournèrent à leurs occupations.
L'offre моnта à 20 dollars et la population d'ânes devient si réduite qu'il devint rare de voir un ânes, encore moins d'en attraper un.
L'homme annonça alors qu'il achèterait les ânes 50 dollars. Cependant, comme il devait aller en ville pour affaires, son assistant s'occuperait des achats.
L'homme parti, son assistant rassembla les villageois et leur dit :
- « Regardez ces enclos avec tous ces ânes que mon patron vous a achetés. Je vous les vends 35 dollars pièce et lorsqu'il reviendra, vous pourrez les lui vendre 50 dollars. »
Les villageois réunirent tout l'argent qu'ils avaient, certains vendirent tout ce qu'ils possédaient, et achetèrent tous les ânes.
La nuit venue, l'assistant disparut. On ne les revit jamais, ni lui ni son patron, il ne restait plus que des ânes qui couraient dans tous les sens.
Bienvenue dans le monde de la bourse !
L'histoire est à peine croyable et, pourtant, elle est authentique. Elle s'est produite dans une société d'édition new-yorkaise, il y a quelques temps.
Cette histoire, c'est celle de George Turklebaum, 51 ans, employé dans son entreprise comme correcteur depuis 30 ans.
Qu'est-il donc arrivé à l'ami George ? Il est tout simplement resté assis devant son ordinateur... mort d'une crise cardiaque pendant 5 jours, sans qu'aucun de ses 23 voisins de bureau ne s'en aperçoive.
C'est finalement une femme de ménage qui a découvert le drame, surprise de voir Mister Turklebaum travailler un samedi matin.
Pour sa défense, son manager Elliot Wachiaski ne put trouver qu'une explication :
- George était toujours le premier arrivé et le dernier parti, en permanence absorbé par sa tâche et d'un naturel solitaire. Il est donc logique que personne n'ait trouvé anormal de le voir silencieux et dans la même position pendant tout ce temps...
Ironie du sort, George était en train de corriger les épreuves d'un livre médical lorsque son coeur le lâcha.
La morale de cette histoire ? A vous de choisir parmi les deux suivantes :
1) Le monde de l'entreprise ne serait-il pas parfois en train de devenir inhumain ?
2) Ne travaillez pas trop dur. Personne ne s'en aperçoit de toute façon !
Monsieur,
Je vous prie de bien vouloir considérer la présente missive comme lettre de démission officielle.
Je me suis vraiment emmerdé à bosser dans cette boite et c'est surtout de votre faute. Vous êtes le pire chef de service que j'ai eu le malheur de connaître.
Vos talents personnels sont virtuellement inexistants, vous êtes incapable de susciter la moindre étincelle de loyauté de la part de vos collaborateurs, vous avez moins de charisme qu'une moquette et je suis certain que le membre moyen de n'importe quel Boys Band est doté d'un meilleur sens des affaires que vous. En plus, vous donnez vraiment l'impression d'être le rejeton d'un mariage consanguin.
Je n'ai jamais aimé travailler ici. Mon salaire a toujours été nul et si je suis resté si longtemps, c'est parce que je me suis servi du téléphone et de la machine à timbrer du service courrier pour monter ma propre petite affaire au noir de vente par correspondance. Sans compter que mon beau-frère m'emprunte la voiture de fonction tous les week-ends pour faire le taxi et arrondir ses fins de mois. Ah, et puis j'oubliais le très profitable petit « business » de vente de fournitures de bureau qui me permettait d'installer un stand sur les kermesses et brocantes de la région.
On m'a proposé du travail chez l'un de vos concurrents directs. En fait, on me l'a proposé depuis plus d'un mois mais j'ai eu besoin de cette période pour finir de photocopier toutes vos archives clientèle confidentielles ainsi que tous vos bilans. N'espérez pas me traîner en justice sous le prétexte fallacieux d'une quelconque opération d'espionnage industriel. Je vous signale que j'ai en ma possession, conservés dans un endroit sûr, tous les négatifs des photos prises à la dernière fête du bureau. SI vous souhaitez ne pas mettre votre mariage en péril, je vous suggère de vous tenir à carreau.
Quant aux négociations concernant mon préavis, je … >> Cliquez pour lire la suite
Un gars rentre dans un magasin de chaussures :
- Bonjour, je voudrais une paire de mocassins en 36, ceux-là...
- Mais bien sûr monsieur, vous voulez un paquet cadeau ?
- Ben non, c'est pour moi, pas besoin de paquet.
- Je suis désolé monsieur, mais a vu d'oeil, vous devez chausser au minimum du 42 alors je me suis dit...
- Du 43 en fait, mais je les veux en 36 !
- Mais monsieur...
- Écoutez, aujourd'hui j'ai perdu mon boulot, mon fils se drogue et ce soir je rentre chez moi, ma femme s'est barré ! Alors le seul plaisir qu'il me reste, c'est d'ôter mes chaussures à la fin de la journée...
Un homme en ballon dirigeable s'est égaré. Il perd de l'altitude et aperçoit une femme au sol. Il descend et lui crie :
- Excusez-moi, pourriez-vous m'aider ? J'ai promis à un ami de le rejoindre d'ici une heure et je ne sais pas où je me trouve.
La femme au sol répond :
- Vous êtes dans un ballon à environ 10 mètres au-dessus du sol. Vous vous trouvez entre 40 et 41 degrés de latitude Nord et entre 59 et 60 degrés de longitude Ouest.
- Vous devez être ingénieur, dit l'homme.
- C'est vrai, répond la femme, comment le savez-vous ?
- Eh bien, tout ce que vous m'avez dit est techniquement correct, mais je n'ai aucune idée de ce que je dois faire de vos informations, et le fait est que je ne sais toujours pas où je suis. En toute franchise, vous ne m'avez pas beaucoup aidé. Vous avez tout au plus retardé mon voyage.
- Et vous vous devez être directeur.
- C'est vrai, mais comment le savez-vous?
- Eh bien, vous ne savez ni où vous êtes, ni où vous allez. C'est une grande masse d'air qui vous a placé dans votre position actuelle. Vous avez fait une promesse sans avoir aucune idée de comment vous alliez pouvoir la tenir, et vous attendez que des gens situés en dessous de vous résolvent vos problèmes. Le fait est que vous êtes exactement dans la même situation qu'avant notre rencontre sauf que maintenant, c'est de ma faute !
C'est un gars qui visite une usine de latex. On lui montre d'abord la fabrication de tétines pour biberons de bébé. La machine fait de façon répétée le bruit "HISSS- POP". Le guide explique :
- Le HISSS, c'est quand le latex est injecté dans le moule. Le POP, c'est quand l'aiguille vient percer un trou dans la tétine.
Plus таrd, le guide amène les visiteurs devant la fabrication des préservatifs. La machine fait de façon répétée le bruit "HISSS - HISSS - HISSS - HISSS - POP"
Alors le gars se tourne vers le guide et lui dit :
- Hé attendez une minute ! J'ai bien compris d'après ce que vous nous avez expliqué tout à l'heure, que le HISSS était le bruit de l'injection du latex, mais à quoi correspond le POP ici ?
Et le guide lui répond :
- Oh, c'est comme pour la machine qui fabrique les biberons de bébé : le POP, c'est quand un trou est percé tous les 5 préservatifs...
- Mais dites donc, c'est pas très bon pour votre production de préservatifs ça !
- Oui, peut-être, mais c'est parfait pour la production de tétines de biberons de bébé.
Si vous voulez réussir votre carrière d'enseignant, mettez ces quelques conseils en pratique...
Soyez soumis :
Lorsqu'on est valet, on n'est pas roi. Si le directeur vous demande quelque chose, c'est réfléchi, vous devez donc répondre "Oui monsieur le directeur"... Si le temps vous manque pour obtempérer immédiatement, garder cependant toujours l'intention d'exécuter l'ordre dès que possible.
Ayez l'air occupé :
Lorsque vous avez terminé de donner vos heures de cours, ne traînez jamais à portée de la direction. Traversez la cour en marchant vite, dirigez-vous nulle part mais d'un pas décidé, ayez toujours des notes de cours sous le bras. Evitez de trop longues stations debout au vu et su de tous. On pourrait être tenté de vous confier encore une responsabilité supplémentaire.
Imitez le directeur :
Lisez attentivement les notes de service de votre directeur. Lorsque vous devrez lui écrire, copiez son style... il vous trouvera génial(e) !
Pas d'initiative :
Vous n'êtes pas payé(e) pour faire preuve d'initiative mais bien pour exécuter. Il n'y a rien qui dérange plus qu'un enseignant avec de l'initiative. Si vous débordez de votre description de tâches, c'est que vous empiétez sur celle de quelqu'un d'autre et cette personne risque d'être froissée par votre attitude irrespectueuse.
Maladie préventive :
N'attendez pas de "péter les plombs" et d'être contraint de prendre un mois ou plus de maladie. Prenez ici et là une journée occasionnelle de maladie pour décompresser et éviter ainsi une absence prolongée. C'est ainsi qu'il n'y a rien de plus bénéfique pour la santé qu'une partie de cartes entre amis ou du shopping pendant les heures normales de cours. Mieux vaut prendre une journée de maladie de temps en temps que de tomber réellement malade. Vous participerez ainsi activement aux économies et à l'effort d'assainissement demandés dans la sécurité sociale.
Les idées d… >> Cliquez pour lire la suite
Un homme radin comme pas deux va consulter un psychanalyste célèbre.
On lui a dit que la première fois on payait deux cents euros, et les fois suivantes seulement la moitié.
Aussi, lorsqu’il entre dans le cabinet, il prend un ton enjoué :
- Bonjour, docteur, c’est encore moi !
Le psychanalyste l’écoute, l’interroge, prend des notes. A la fin de la séance il prend les cent euros, puis, en souriant, lui dit :
- Rien de nouveau, suivez mes conseils de la dernière fois.