C’est un garçon de ferme pas bien déluré et pas bien intelligent non plus. Un jour, son patron le prend en pitié et décide de lui payer une sortie chez les putes.
- Ecoute mon petit, lui dit le fermier, à ton âge, c’est pas sain d’être encore puceau. Tiens, voilà 50 euros, et tu vas me faire le plaisir d’aller voir en ville sur les boulevards s’il n’y a pas une prostituée qui veut bien de toi !
Le garçon de ferme prend l’argent, enfourche sa mobylette, met son casque, et se met en route pour la ville.
A peine est-il entré en ville qu’il repère les demoiselles en train de faire le pied de grue. Il s’arrête devant la première et lui explique ce que son patron veut de lui. La fille l’invite alors à le suivre dans un hôtel tout proche. Une fois dans la chambre, la prostituée lui fait sa petite toilette et ensuite, elle se déshabille.
Le garçon regarde le spectacle tout nouveau qui s’offre à lui et demande :
- Qu’est-ce que c’est que ça ?
- Ça ? C’est ma bouche d’en bas ! Répond la fille.
- Quoi ? S’étonne le garçon, faut pas me prendre pour un idiот, hein… Je sais bien qu’il n’y a pas de deuxième bouche là en bas !
- Mais si, regarde, répond la fille en lui montrant par le geste : Il y a une moustache… il y a des lèvres…
- Oui mais il n’y a pas de langue ! Répond le garçon.
- Ah, pas encore, mais tu va bien arrêter de parler, non ?
C’est l’histoire d’un joueur qui vient de tout perdre en un soir, au cours d’une partie de poker dans un clandé. Les autres joueurs lui ont même pris ses vêtements et ne lui ont laissé que son briquet et un paquet de cigarettes.
Le patron du clandé à simplement fourni au gars une vieille barrique de vin vide pour qu’il puisse rentrer chez lui sans prendre froid. Mais le robinet qui avait permis de vider la barrique a été retiré, et la barrique est donc affublée d’un trou béant en son milieu…
Alors qu’il est à peine sorti du clandé au petit matin, à poil dans sa barrique, le gars voit arriver vers lui trois religieuses. Aussitôt, il décide de se la jouer « statue » et il se colle contre le mur au coin du café, les deux bras bien serrés le long du corps dans sa barrique sans bouger.
Voyant le gars dans son tonneau, les religieuses se demandent à quoi elles ont affaire. La première réfléchit et dit :
- « regardez cette statue d’un homme nu dans une barrique, ça doit être un distributeur… » et joignant le geste à la parole, elle sort une pièce qu’elle introduit dans une fente que présentait la barrique sur le côté.
Ensuite, elle introduit la main dans le trou, tire quelque chose à l’intérieur et en ressort… un briquet !
Cela amuse beaucoup la deuxième nonne qui introduit elle aussi une pièce dans la fente, puis introduit la main dans le trou, tire quelque chose, et en ressort… un paquet de cigarettes !
La troisième religieuse veut essayer elle aussi, elle met sa pièce dans la fente, introduit la main, tire quelque chose à l’intérieur… mais rien ne vient. Alors elle tire, puis tire encore, et encore, et encore… et finalement elle crie « Victoire ! », elle ressort la main et dit :
- « Regardez mes sœurs ce que j’ai obtenu : de la crème Nivéa ! »
Un missionnaire belge vient de passer plusieurs années dans la jungle africaine, essayant d’apprendre aux pygmées à cultiver et construire, lorsque ses autorités religieuses l’informent que sa mission est terminée et qu’il est temps de rentrer.
À ce moment, il se rend compte qu’il n’a jamais cherché à apprendre une autre langue aux autochtones : il a toujours communiqué avec eux dans leur langue. Cherchant à combler cette lacune, il décide d’enseigner rapidement la langue française à toute la tribu, et il commence par le chef.
Le missionnaire lui montre un arbre « ceci est un arbre ».
Le chef regarde l’arbre et grogne « ARBRE ».
Ils marchent un peu plus lоin, et le curé lui montre le fleuve « Ceci est un fleuve ».
Le chef regarde l’eau qui coule et grogne « FLEUVE ».
Le prêtre est vraiment content du résultat car le chef semble apprendre très très vite la langue française. Mais soudain on entend un bruissement dans les buissons. Le prêtre, se mettant sur la pointe des pieds, aperçoit une femme et un homme, nus, en train de faire l’amour.
Alors le missionnaire, encore coincé dans un puritanisme inculqué lors de ses années passées au séminaire dit au chef pygmée en rougissant « Ils font du vélo ».
Le chef, trop petit pour voir ce dont il s’agit, fait le tour du buisson pour se rendre compte, et voyant la scène de plus près, il prend sa lance et transperce tour à tour les corps de chacun des deux amoureux !
Voyant le carnage, le missionnaire se met à crier, rempli du désespoir de n’avoir pas su donner une morale, des principes, les bases d’une vie civilisée à ses pygmées. Il engueule le chef dans sa langue natale :
- J’ai passé tant d’années à vous enseigner ce qu’était la vie civilisée. Je pensais avoir réussi, mais ton acte me prouve que rien de ce que je vous ai enseigné n’a porté ses fruits ! Peux-tu me dire pourquoi tu as tué cette femme et cet homme de sang froid ?
Et le chef répond en pointant son index sur sa poitrine :
- Mon vélo !
Une jeune secrétaire, ordinairement très ponctuelle, arrive au bureau, complètement bouleversée, avec dix minutes de rетаrd. Son patron s’en aperçoit et vient s’assurer de la santé de son employée.
- Ce n’est rien, dit la secrétaire, mais, depuis la sortie du métro, un homme m’a suivie jusqu’ici !
- Eh bien, s’étonne le patron, vous auriez dû, au contraire, arriver plus tôt !
- Oui, avoue la secrétaire, mais il marchait si lentement !