C’est un homme qui sort de chez lui le soir pour aller acheter des cigarettes. Au Café-Tabac, il fait connaissance avec une ravissante jeune fille qui lui semble particulièrement chaude.
Après quelques verres, ils conviennent d’aller passer un moment dans son appartement. Mais bientôt, après la partie de jambes-en-l’air, le gars réalise qu’il est 3 heures du mat’ :
- Oh non… Ma femme va me tuer ! J’ai une idée : Est-ce que tu as du talc ? La fille lui donne du talc ; il s’en empare et commence à s’en frotter les mains. Puis il lui dit « au revoir » et il rentre chez lui.
À la maison, sa femme l’attend dans le couloir. Elle est plutôt furax :
- Dis-moi ! D’où est-ce que tu viens encore ?!
- Eh bien, chérie, en fait… Je suis allé au tabac pour m’acheter des clopes, et là-bas, j’ai rencontré une superbe fille. On a bu quelques verres et, tu sais, elle était vraiment excitée, et comme elle était vraiment très jolie, on est allé chez elle… dans son lit…
- Ah ouais ?! Fais-moi voir tes mains (et ce faisant, elle lui prend les mains et tourne ses paumes vers la lumière). Espèce de satané menteur ! T’as encore été au bowling, hein ?!
Un V. R. P. fait du démarchage en pleine cambrousse. Il est déjà très таrd, et, alors qu’il pensait rentrer à l’hôtel pour dîner et se coucher, sa voiture tombe en panne.
Malheureusement pour lui, il n’a pas de téléphone mobile et il n’y a pas d’habitation dans les parages. En fait, si, il y a cette ferme là-bas plus lоin. Le V. R. P. décide de marcher jusque-là.
Sur place, le fermier et la très jolie fermière l’accueillent. Le V. R. P. demande à passer un coup de fil pour être dépanné par Peugeot assistance, mais le fermier lui dit qu’il n’a pas de téléphone. Par contre, très gentiment, le paysan propose au gars de l’héberger pour la nuit, et de tirer sa voiture son tracteur jusqu’au village voisin le lendemain matin.
Le V. R. P. accepte de bon cœur ; ils prennent le repas et dès 10 heures du soir, le fermier dit qu’il est l’heure de « faire un gros dodo ». Mais il ajoute :
- « nous n’avons qu’une chambre, aussi vous devrez coucher sur le canapé du salon ».
Après la toilette, tout le monde rejoint sa couche et s’endort. Enfin presque, car quelques minutes après s’être couché, le V. R. P. reçoit la visite de la fermière, en chemise de nuit, qui vient lui susurrer à l’oreille :
- Faites-moi l’amour !
Le V. R. P. n’est pas sûr de l’attitude à avoir :
- Mais votre mari est dans l’autre pièce, il va nous entendre !
- Rien à craindre de ce côté-là : Il dort comme une marmotte…
Et pour lui montrer qu’elle dit vrai, elle le tire jusque dans la chambre maritale, tire les couvertures du lit et met à nu le postérieur de son mari, duquel elle arrache un poil d’un coup sec sans que celui-ci ne se trémousse le moins du monde !
Rassuré par tant de tranquillité, les amants s’en donnent à cœur joie et réinventent des positions du Kamasutra. Le ça-va-ça-vient dure une воnnе heure, et alors que la femme semblait assouvie, elle se lève, va manger un bout de saucisson, se refait une santé, et revient voir son V. R. P. d’amour en lui disant :
- « Chéri, encore ! ». Le V. R. P. se demande si, à force, le mari ne va pas se réveiller. Une fois encore, la femme l’emmène dans la chambre prélever un deuxième poil de cul sans que cela ne crée l’ombre d’un frémissement. Et du coup le ça-va-ça-vient reprend de plus belle. L’opération se répétera une nouvelle fois par la suite, et finalement, les deux amants exténués repartiront dans leur draps respectifs pour terminer la nuit.
Le lendemain matin, au déjeuner comme on dit, le V. R. P. se retrouve en face du fermier et se sent un peu honteux. A ce moment-là, le fermier lui dit :
- Tu sais mon gars, j’ai rien contre le fait que tu fasses l’amour à ma femme sous mon toit, mais est-ce qu’il fallait vraiment que tu marques ton score en me tirant les poils du cul ?
Samuel et Rachel viennent de fêter leur Noces d’or (50 ans de mariage).
Tous les invités sont partis maintenant et Samuel demande à celle qui l’a aidé et supporté toutes ses années :
- Dis-moi Rachel, maintenant, tu peux me le dire. Est-ce que tu m’as déjà trompé ?
- Pourquoi veux-tu savoir ça maintenant Samuel ? A quoi bon ?
- Si Rachel. Dis-moi, je veux savoir !
- Bon. Puisque tu insistes… Je t’ai trompé trois fois.
- 3 fois ? En 50 ans, ce n’est pas énorme. Raconte-moi quand cela était ?
- Et bien la première fois, c’était quand tu avais 35 ans et que tu voulais monter ton commerce d’import-export. Tu te souviens ? La banque ne voulait pas t’accorder de prêt… Tu te rappelles qu’un jour, alors que tout semblait sans espoir, le directeur de la banque lui-même s’est déplacé chez nous et qu’il a signé les papiers sans poser aucune question ?
- Oh Rachel, tu as fait ça pour moi ? Tu es une femme formidable. Dis-moi quelle était la deuxième fois ?
- Tu te souviens quand tu as eu cette troisième crise cardiaque, et que la seule chose envisageable pour toi était de tenter ce quintuple pontage coronarien, mais que personne ne voulait réaliser l’opération ? Et tu te souviens que sans qu’on comprenne pourquoi, le Pr. DeBakey est venu des États-Unis pour faire l’opération lui-même ? C’est grâce à lui que tu es à nouveau en воnnе santé. Et bien là encore…
- Oh chérie. Tu m’as sauvé la vie. Quelle chance j’ai eu de t’épouser ! Et comme tu dois m’aimer pour t’être sacrifiée comme ça, sans hésiter… Et quelle était la troisième fois ?
- Tu te souviens quand tu voulais être Président du Lion’s Club et qu’il te manquait 35 voix pour passer…
Deux hommes meurent et arrivent au Paradis.
- De quoi êtes-vous morts ? leur demande Sаinт Pierre.
- De joie, dit le premier.
- De froid, dit le second.
- Ah ! Reprend Sаinт Pierre, racontez-moi cela.
- Eh bien, dit le premier, je croyais que ma femme me trompait. J’arrive à l’improviste à la maison où je croyais y trouver le coupable. J’ouvre toutes les portes, je regarde dans les placards, je vais à la cave, je fouille tout, rien. Alors, j’en meurs de joie !
- Ah bon, dit Sаinт-Pierre. Et vous, dit-il à l’autre, comment êtes-vous mort de froid ?
- Cet imbécile a oublié de regarder dans le congélateur.
C’est l’histoire d’un type qui descend la poubelle, et arrivée au deuxième étage, il rencontre sur le palier une superbe blonde qui lui dit :
- Viens chez moi, je vais te faire des trucs que l’on n’ose même pas imaginer…
Il suit la fille et en effet, pendant deux heures, elle lui fait voir quelque chose qu’il n’a jamais vu ! Quand il revient à lui, la blonde lui demande :
- Quelles excuses vas-tu imaginer pour ta femme ?
- T’as de l’ombre à paupières bleue ?
- Oui, bien sûr
Il s’enduit alors les doigts de bleu puis il rentre chez lui.
Sa femme l’attendait très en colère et lui dit :
- Tu peux me dire ce que tu as foutu durant tout ce temps ?
- Et ben chérie, j’ai rencontré une blonde d’enfer sur le palier, je suis allé chez elle, on a fait l’amour comme des fous pendant 2 heures…
Déjà bien énervée, sa femme se met à hurler :
- Mais tu me prends vraiment pour une conne, t’es encore allé te faire un billard avec tes potes, t’as plein de craie sur les doigts !
Un homme marié va à confesse et avoue au curé :
- Mon Père, pardonnez-moi parce que j’ai pêché… J’ai presque eu une relation avec une femme en dehors du mariage, presque…
- Qu’est-ce que vous entendez par « presque » ?
- Ben, on s’est déshabillé, puis on s’est frotté l’un contre l’autre, et puis je me suis ressaisi et j’ai tout arrêté.
Le prêtre lui répond :
- Ecoutez mon fils, pour moi, se frotter nu l’un contre l’autre, c’est la même chose que d’aller jusqu’au bout de l’acte et « de le mettre dedans ». Alors je vais vous dire une воnnе chose : vous direz 5 « Je vous salue Marie » et vous mettrez 50 euros dans le tronc des pauvres !
Le gars quitte le confessionnal et s’en va un peu plus lоin pour prier et se repentir. Puis il va vers le tronc des pauvres, sort un billet, et s’apprête à partir lorsque le curé l’interpelle :
- Hé je vous ai vu ! Vous n’avez pas mis votre billet dans le tronc des pauvres !
Et le gars répond :
- Mais Mon Père, j’ai frotté le billet contre la boite, et vous venez de me dire que c’est pareil que si je l’avais mis dedans…
Un homme conduit sa femme à la maternité car elle est sur le point d’accoucher. Le gynécologue leur dit qu’il a développé une machine qui permet au mari de partager avec sa femme la douleur de l’accouchement.
Ceci dans le but louable de montrer à l’homme qu’est-ce que c’est que la douleur, et pour permettre que la femme ait moins mal. Le gynécologue propose donc au couple d’essayer la machine, ce qu’ils acceptent.
L’accouchement commence, et le médecin donne, grâce à la machine, 20% de douleur au mari – en lui précisant que 20%, c’est déjà plus que n’importe quelle douleur qu’il a déjà pu ressentir – mais le mari est surpris car il ne sent quasiment rien.
Alors le médecin monte la peine ressentie par le mari à 50% (le mari ne bronche pas) puis à 100%…
Après que le bébé soit venu au monde, le mari se lève et s’étire. La femme est très reposée, n’ayant ressenti quasiment aucune douleur, et le mari pareil.
Ce n’est que deux jours plus таrd, en rentrant chez eux, qu’ils apprirent que le postier était mort dans d’atroces douleurs en faisant sa tournée.