Deux hommes meurent et arrivent au Paradis.
- De quoi êtes-vous morts ? leur demande Sаinт Pierre.
- De joie, dit le premier.
- De froid, dit le second.
- Ah ! Reprend Sаinт Pierre, racontez-moi cela.
- Eh bien, dit le premier, je croyais que ma femme me trompait. J’arrive à l’improviste à la maison où je croyais y trouver le coupable. J’ouvre toutes les portes, je regarde dans les placards, je vais à la cave, je fouille tout, rien. Alors, j’en meurs de joie !
- Ah bon, dit Sаinт-Pierre. Et vous, dit-il à l’autre, comment êtes-vous mort de froid ?
- Cet imbécile a oublié de regarder dans le congélateur.
C’est l’histoire d’un type qui descend la poubelle, et arrivée au deuxième étage, il rencontre sur le palier une superbe blonde qui lui dit :
- Viens chez moi, je vais te faire des trucs que l’on n’ose même pas imaginer…
Il suit la fille et en effet, pendant deux heures, elle lui fait voir quelque chose qu’il n’a jamais vu ! Quand il revient à lui, la blonde lui demande :
- Quelles excuses vas-tu imaginer pour ta femme ?
- T’as de l’ombre à paupières bleue ?
- Oui, bien sûr
Il s’enduit alors les doigts de bleu puis il rentre chez lui.
Sa femme l’attendait très en colère et lui dit :
- Tu peux me dire ce que tu as foutu durant tout ce temps ?
- Et ben chérie, j’ai rencontré une blonde d’enfer sur le palier, je suis allé chez elle, on a fait l’amour comme des fous pendant 2 heures…
Déjà bien énervée, sa femme se met à hurler :
- Mais tu me prends vraiment pour une conne, t’es encore allé te faire un billard avec tes potes, t’as plein de craie sur les doigts !
Un homme marié va à confesse et avoue au curé :
- Mon Père, pardonnez-moi parce que j’ai pêché… J’ai presque eu une relation avec une femme en dehors du mariage, presque…
- Qu’est-ce que vous entendez par « presque » ?
- Ben, on s’est déshabillé, puis on s’est frotté l’un contre l’autre, et puis je me suis ressaisi et j’ai tout arrêté.
Le prêtre lui répond :
- Ecoutez mon fils, pour moi, se frotter nu l’un contre l’autre, c’est la même chose que d’aller jusqu’au bout de l’acte et « de le mettre dedans ». Alors je vais vous dire une воnnе chose : vous direz 5 « Je vous salue Marie » et vous mettrez 50 euros dans le tronc des pauvres !
Le gars quitte le confessionnal et s’en va un peu plus lоin pour prier et se repentir. Puis il va vers le tronc des pauvres, sort un billet, et s’apprête à partir lorsque le curé l’interpelle :
- Hé je vous ai vu ! Vous n’avez pas mis votre billet dans le tronc des pauvres !
Et le gars répond :
- Mais Mon Père, j’ai frotté le billet contre la boite, et vous venez de me dire que c’est pareil que si je l’avais mis dedans…
Un homme conduit sa femme à la maternité car elle est sur le point d’accoucher. Le gynécologue leur dit qu’il a développé une machine qui permet au mari de partager avec sa femme la douleur de l’accouchement.
Ceci dans le but louable de montrer à l’homme qu’est-ce que c’est que la douleur, et pour permettre que la femme ait moins mal. Le gynécologue propose donc au couple d’essayer la machine, ce qu’ils acceptent.
L’accouchement commence, et le médecin donne, grâce à la machine, 20% de douleur au mari – en lui précisant que 20%, c’est déjà plus que n’importe quelle douleur qu’il a déjà pu ressentir – mais le mari est surpris car il ne sent quasiment rien.
Alors le médecin monte la peine ressentie par le mari à 50% (le mari ne bronche pas) puis à 100%…
Après que le bébé soit venu au monde, le mari se lève et s’étire. La femme est très reposée, n’ayant ressenti quasiment aucune douleur, et le mari pareil.
Ce n’est que deux jours plus таrd, en rentrant chez eux, qu’ils apprirent que le postier était mort dans d’atroces douleurs en faisant sa tournée.
Les trois grands enfants d’un milliardaire viennent se confesser à lui :
- Papa, lui dit le premier, j’ai fréquenté pendant quelque temps une danseuse de cabaret et voilà qu’elle est enceinte. Alors, pour rompre, il me faudrait 100.000 euros.
- Très bien, mon fils, répond le nabab, en tirant son carnet de chèques. Les voici. Et toi ?
- Il m’arrive la même mésaventure, papa, explique son second fils. Et moi aussi, pour me dégager de cette liaison, il me faut 100.000 euros.
- Bon, dit le père, en signant son deuxième chèque. A toi, maintenant.
- Papa, avoue sa fille en rougissant, je suis enceinte et le père de mon enfant veut m’abandonner.
- Ah ! enfin, s’écrie le père, un peu d’argent qui va rentrer !