Un curé est en train de se noyer au milieu d'un fleuve.
Par chance, il passe une péniche qui lui envoie une corde :
"Accrochez vous, mon père!" lui lance le batelier.
Le curé répond "je vous remercie mon, fils, mais je fais confiance à Dieu pour me sauver".
Le curé est toujours en train de se débattre avec sa soutane lorsqu'un passant en voiture lui jette une bouée de la berge :
"Accrochez vous, mon père !" lui lance le passant.
Le curé répond "je vous remercie mon, fils, mais je fais confiance à Dieu pour me sauver".
Le curé commence à boire la tasse et à s'enfoncer dans l'eau lorsqu'un hélicoptère arrive et lui envoie une corde
"Vite, accrochez vous, mon père!"
Le curé répond entre deux tasses "je vous remercie (bloub), mon, fils, mais je fais (bloub), confiance à Dieu pour me (bloub), sauver".
Puis le curé se noie...
....
... arrivé au paradis, le curé rencontre Dieu, et lui dit :
"Dis-donc Dieu, tu m'a bien laissé tomber tout à l'heure!"
"Comment ça ?" lui répond Dieu "je t'ai envoyé une péniche, une voiture et un hélicoptère!"
Le pape meurt et arrive au paradis. Il frappe à la porte et se retrouve nez à nez avec un ange à la mine tibulaire.
- Euh, bonjour, je suis le pape, je voudrais entrer au paradis ?
- C'est qu'on n'entre pas comme ça, et puis d'abord qu'est-ce que c'est, un pape ?
- Ben je suis le successeur de Sаinт Pierre, quoi ! D'ailleurs ce ne serait pas vous, Sаinт Pierre ?
- Moi, pas du tout, je suis Gabriel.
- Bon... Mais vous connaissez sûrement les Chrétiens, quoi, l'église ? Eh bien moi, je suis le chef de l'église.
- Vous pouvez être chef de ce que vous voulez, ça ne change rien ici.
- Enfin, demandez au moins à votre Patron, Il doit être au courant, Lui.
L'ange va voir le Patron et lui expose la situation.
- Comment tu dis ? Le pape ? Non, ça ne me dit rien.
- Il a dit aussi qu'il était le chef des Chrétiens.
- Attends, oui, ça me rappelle bien un truc. Ah, oui ! C'est le fаn club que le fiston a fondé il y a 2000 ans. ça marche toujours ?
C'est la tempête de neige. Un curé et une religieuse qui faisaient la route en Renault 4 (ah, vous avez pas connu ça au Québec!), décident d'arrêter de rouler et de passer la nuit à l'hôtel.
Naturellement, le seul hôtel de la région a été pris d'assaut par les voyageurs.
Le réceptionniste de l'hôtel dit alors au prêtre:
- Je vais vous donner la dernière chambre qui me reste. Je ne peux pas faire mieux: Il vous faudra partager avec la Soeur"
Le prêtre accepte et il accompagne la religieuse dans la chambre.
Tous deux décident de partager le grand lit puisque la chambre ne comporte pas de canapé.
Cependant, il se produit une coupure d'électricité (la tempête de neige...), et l'éclairage ainsi que le chauffage disparaissent.
Heureusement, il y a quelques couvertures dans l'armoire.
Très vite, la nonne dit:
"- mon père, j'ai froid" Alors le prêtre se lève et va chercher une couverture qu'il déplie du côté de la religieuse.
Un peu plus таrd, la religieuse renchérit:
"- mon père, j'ai froid, voudriez-vous aller chercher une autre couverture?" Du coup le prêtre se dévoue encore.
Encore un peu plus таrd, la nonne veut une autre couverture. Cette fois, le prêtre répond:
"Je pense que pour avoir chaud, il nous faut agir comme le font Maris et Femmes!"
La nonne est très étonnée et se demande si vraiment... Mais enfin, comme il est le prêtre, elle dit:
"D'accord mon Père. Si vous êtes sûr que cela restera dans les principes que nous devons respecter"
Et alors le prêtre lui répond:
"ALORS, VA LA CHERCHER TOI-MêME CETTE SACRéE COUVERTURE!"
Par un beau dimanche après-midi ensoleillé, un prêtre fait une petite sieste sur un transat dans le jardin de son presbytère. Il fait beau, il fait bon, il est bien. Au bout d'un moment, il commence à avoir bien chaud. Et son épaisse soutane noire ne le protège guère du soleil. Les haies tout autour du jardin étant assez hautes, il décide de se mettre nu pour se rafraîchir et en profiter pour bronzer un peu, car ce n'est pas dans son église qu'il peut prendre des couleurs...
Il s'endort paisiblement mais se fait réveiller peu après par un ballon venant heurter son transat. Il se relève à demi et voit la petite voisine qui passe la tête par-dessus les haies :
- Pardon, mon Père, mais j'ai envoyé ma ваllе dans votre jardin ! Oh, mais c'est quoi, ça ? demande-t-elle, innocente, en pointant le bas-ventre du curé.
- Euh, ça, c'est... mon petit canard, mon enfant, répond l'abbé, pris de court par cette question embarrassante
Puis il renvoie le ballon à l'enfant et retourne dans les bras de Morphée. Quand il se réveille un peu plus таrd, il découvre avec stupeur qu'il est dans une chambre d'hôpital, la petite fille à son chevet. Le temps de reprendre totalement conscience, et une sourde douleur lancinante se manifeste au niveau de son entrejambe.
- Pourquoi suis-je ici ? Que s'est-il passé ?
- Ben, j'ai renvoyé mon ballon encore une fois dans votre jardin, mon Père. Comme vous ne vous êtes pas réveillé, je suis passée par dessus la clôture pour le récupérer. Puis j'ai vu votre petit canard et j'ai voulu aller le caresser. Mais au bout d'un moment il s'est redressé et m'a craché dessus. Alors je lui ai brisé le cou, j'ai cassé les deux œufs qu'il couvait et mis le feu à son nid !
Deux curés de campagne à bicyclette faisaient la tournée de leurs ouailles. Le premier était sorti major de sa promotion du grand séminaire, tandis que le deuxième ayant triplé ses trois années, ne devait son ordination qu'à la bourse rebondie de sa tante Adèle, qui avait beaucoup à se faire pardonner. Or donc voici nos compères sur la route, pédalant de concert en égrenant leur chapelet. Il advint que le chemin délaissant la plaine, montait de plus en plus fort vers le paradis, à l'assaut d'un col de première catégorie.
Notre curé intello sentit bien vite une extrême fatigue l'envahir, bientôt transformée en de multiples crampes, qui lui auraient arraché des gémissements de douleur à chaque coup de pédale, s'il ne se donnait un peu de coeur à l'ouvrage :
- Plus près de toi, mon Dieu...
Au même moment, le deuxième cure s'envolait sur sa bicyclette, ne ressentant ni fatigue, ni douleur d'aucune sorte. Il montait, montait, montait...
Moralité : c'est l'abbé bête qui monte, qui monte, qui monte