C'est le pape qui décide de partir en tournée mondiale pour redorer le blason du catholicisme.
Il se réveille un matin dans la suite papale du cinq éтоilе dans lequel il a fait étape avec une gaule d'enfer (le méga bâton),.
Dans un accès de folie érotique, et sans aucun égard pour sa fonction, le pape se met to simplement à se masturber. Il est là sur son lit à s'activer quand soudain, en pleine éjaculation, un paparazzi fait irruption dans sa chambre et prend LA photo compromettante.
Le pape lui dit:
- S'il vous plaît Monsieur, je vous en conjure, donnez-moi votre pellicule. Si la photo que vous venez de prendre venait à paraître dans la presse, ce serait la fin du monde catholique.
Le photographe répond:
- Pour moi ça a peu d'importance, je ne suis pas catholique. Mais le Vatican a sûrement les moyens d'acheter cet appareil et sa pellicule?
Le pape:
- Est-ce que un million de francs vous conviendrait dans ce cas?
Le photographe lui répond que c'est O. K. et le pape récupère donc la pellicule et l'appareil photo.
Un peu plus таrd dans la journée, alors que le pape est en train de prendre des photos tel un vulgaire touriste avec son nouvel appareil, il est abordé par un prêtre autochtone qui engage la conversation:
- Bonjour votre sainteté. Vous aimez la photo? Je vois que vous avez réellement un bel appareil. Combien vaut-il?
- Je l'ai payé un million de francs.
- Un million de francs?! Celui qui vous l'a vendu a du vous voir venir...
PS: Pour les ceussent qui ne verraient pas ce qu'il y a de drôle dans l'histoire, ça fonctionne mieux en anglais où la chute est "Man, he must have seen you coming, avec to come= jouir bien sûr!"

Ça se passe dans une église. Le prêtre est en train de prier devant l'autel, quand tout a coup la porte claque violemment et un très charmante jeune femme pénètre en courant dans l'église.
- Mon père, mon père ! le prêtre se retourne et examine la jeune femme. Celle ci se jette a ses pieds tout en se caressant les seins au travers de ses vêtements.
- Mon père, j'en peux plus, prenez moi vite là sur l'autel !
- Mais... ma fille voyons calmez vous, vous êtes dans la maison de Dieu !
Et la fille s'arrache sa chemise et son soutien-gorge, puis commence à se malaxer les seins, elle se caresse également le sexe.
- Oh mon père, je vous veux prenez-moi comme un bête !
Le prêtre commence a transpirer à grosses gouttes.
- Calmez vous ma fille, j'ai fait voeu de chasteté, je suis prêtre et vous êtes dans une église ! Enfin, je ne peux pas !
Et la fille presque complètement nue se tortille sur l'autel.
Le prêtre ne sachant plus quoi faire, réfléchit et se retourne vers son espoir, Dieu.
Il se retourne alors vers Jésus son fils et dit:
- Jésus mais que dois je faire ?
Et là Jésus sur sa croix:
- MAIS DéTACHE MOI, DéTACHE MOI !!!!!!
Une religieuse rend visite au curé :
- Voilà mon père: au cloître nous avons un problème avec nos deux perroquets. Ce sont des femelles et elles ne savent dire qu'une seule phrase abominable :
"Nous sommes des prostituées, voulez-vous vous amuser ?".
- C'est affreux ! s'exclame le prêtre. Mais j'ai peut être une solution. Apportez-moi vos perroquets, je les mettrai avec les miens qui sont des mâles, et auxquels j'ai appris à prier et à lire la Bible. Ainsi, vos deux femelles apprendront à louer et à adorer Dieu.
Le lendemain, la religieuse apporte ses perroquets au prêtre qui les met comme convenu dans la cage des deux mâles. Alors les deux perroquets femelles engagent la conversation :
- Nous sommes des prostituées, voulez-vous vous amuser ?
Et l'un des perroquets mâles dit à l'autre :
- Tu peux ranger ta Bible, mon vieux ! Nos prières sont enfin exaucées...
C'est une femme qui trompe son mari chaque semaine. Un jour, son mari rentre plus tôt du boulot. La femme demande a son amant de se cacher dans le dressing et de sortir par le fenêtre une fois rhabiller, il rentre alors dans le dressing et entend.
- Fait sombre ici, hein ?
- T'es qui toi ?
- Je suis le fils de la femme que tu baise.
- Ah ben, désolé pour toi mon petit.
- T'as vu mes chaussures, elle sont belle ?
- Ouai et alors ?
- Je te les vends.
- Qu'est-ce que je ferais avec des chaussures trop petites pour moi ?
- Ok, ben je vais tout dire a mon père.
- Bon d'accord, pour combien tu me les vends.
- 500 euros.
- Espèce de petit escrot.
L'homme paie alors l'enfant et s'en va. Trois semaines plus таrd rebelotte. Le mari rentre plus tôt du boulot et l'homme n'as d'autre choix que de se cacher dans le dressing.
- Fait sombre ici.
- Encore toi ? Quesque tu me veux cette fois-ci ?
- T'as vu mon ballon ? Tu le veux ?
- Ouai, pour combien ?
- 500 euros.
- Quoi ?!? Mais tu veux me ruiner ?
- Bon ok, je vais tout dire a mon père.
- Aller j'achète
L'homme paie alors l'enfant et s'en va. Cinq jour plus таrd la mari rentre et apelle son fils.
- Vient fiston on va se faire un foot.
- Je peux pas papa.
- Comment ça tu peux pas ?
- J'ai vendu mes affaire a euh ... un ami.
- Ah ... et pour combien ?
- Pour 1000 euros.
- Quoi ? Mais quel escrot, je ne t'ai pas éduquer comme ça. Vien avec moi !
Le père enmène son fils à l'église, il fait rentrer son fils dans le confessionnal et apelle le prêtre pour qu'il confesse son fils. Quand le prêtre rentre il entend.
- Fait sombre ici.
- Quoi, encore toi ? Mais quesque tu me veux encore ?

Une vieille allemande se rend à l'église pour se confesser.
V: Pardonnez-moi mon père car j'ai pêché
C:Je vous écoute ma soeur.
V:En fait pendant la guerre je me suis mis en pitié pour une famille juive, je les ai mis dans ma petite cave.
C:Mais vous êtes héroïque madame, sauver comme ça une famille entière, dites vous qu'ils étaient heureux.
V:Oui mais quand même ils étaient sept, dans ma toute petite cave sans eau chaude.
C:Certes ils n'avaient pas le confort souhaité mais vous les avez sauvé d'une mort certaine.
V:Je comprends mais quand même je leur ai donné qu'un repas par jour et je leur ai autorisé une dоuсhе par mois.
C:Mais ce n'est rien par rapport aux craintes dûes à la guerre et en plus dites vous qu'ils avaient un petit chez eux gratuit.
V: le problème il est là c'est que je leur ai demandé un loyer de 100 dollars par jour.
C:Certes leurs conditions étaient déplorables, et ils ont dû mettre toutes leurs économies mais dites vous que vous avez sauvé une famille et que maintenant ils doivent le raconter à leurs enfants et petits-enfants.
V: oui mais le problème c'est que je ne leur ai pas dit que la guerre était finie.