Pendant l’inquisition, un rabbin très sage doit comparaître devant le grand tribunal. Le grand inquisiteur ayant la réputation d’un homme méchant et pervers, le rabbin est sur ses gardes.
A la fin de la lecture des actes d’accusation, le grand inquisiteur déclare au rabbin :
- Je remets ton sort à Dieu : j’ai préparé deux bouts de parchemin. Sur l’un j’ai écrit « coupable » et sur l’autre « innocent ». Tu choisiras l’un des deux et cela décidera de ton sort.
Naturellement, le rabbin sait bien que les deux bouts de parchemin contiennent le mot « coupable ». Alors, sans attendre, il se saisit d’un papier et aussitôt, sans regarder ce qui est écrit dessus, il l’avale !
L’inquisiteur lui dit :
- Mais enfin pourquoi as-tu fait cela ? Comment connaître le jugement de Dieu ?
- Très simplement, répond le rabbin, Si sur le papier que je n’ai pas mangé est inscrit le mot « coupable », cela voudra bien dire que le papier que j’ai choisi portait le mot « innocent » et que je dois donc être disculpé.
Un rabbin et un curé sont dans un compartiment de train. Le curé demande au rabbin :
- C’est vrai qu’il vous est interdit de manger du porc ?
- Oui.
- Et vous n’en avez jamais mangé ?
- A vrai dire, juste entre nous, une fois quand j’étais bien jeune, la curiosité m’a tellement poussé… Enfin, j’ai essayé un sandwich au jambon. Depuis, je l’ai toujours regretté, et j’espère que Dieu me le pardonnera.
Au bout d’un moment, le rabbin continue…
- Et vous, il vous est interdit tout rapport physique avec une femme ?
- Oui, effectivement, c’est interdit.
- Et vous ne l’avez jamais essayé ?
- Pour être honnête, comme vous, la curiosité m’y a bien poussé. Une fois, étant tout jeune, je suis allé dans un bordel. Mais j’ai bien servi Dieu depuis, et je suis sûr qu’Il me pardonnera ce petit écart.
Et avec un petit rire, le rabbin lui répond :
- C’est autre chose que du porc, hein ?
C’est l’histoire de ce gars qui a décidé de vaincre sa peur et de réaliser ce qu’il a toujours rêvé de faire : sauter en parachute.
Il se rend donc à l’aérodrome le plus proche et rencontre les gars du club de parachutisme. On lui apprend à tout faire dans les règles comme comment sauter, comment replier un parachute, comment atterrir, comment se diriger, etc.
Et puis finalement, vient le moment de faire le grand saut. Juste avant de monter dans l’avion, l’instructeur lui fait passer en rеvuе ce qu’il doit savoir. Le gars énumère :
- D’accord. D’abord je saute, puis je compte jusqu’à 30, puis je tire la poignée d’ouverture.
L’instructeur le coupe :
- Et si ça ne fonctionne pas ?
- Dans ce cas je tire sur la poignée qui commande le ventral.
- Très bien. Mais maintenant je vais te dire ce qu’il te faudra faire si jamais ça non plus ça ne marche pas: tu diras « O grand Bouddha, Je crois en toi ! »
- « O grand Bouddha » ? Mais je ne suis pas bouddhiste. Qu’est-ce que ça pourra bien faire que je dise « O grand Bouddha » dans cette situation ?
L’instructeur lui répond :
- J’en sais rien, mais de toute façon puisque tu ne seras plus bon qu’à te crasher au sol, quelle différence cela fait, hein ?
Ensuite ils montent en avion, l’avion atteint l’altitude prévue pour le saut, et le gars saute. Il compte jusqu’à 30 et tire la poignée… RIEN. Il tire sur la poignée du ventral… RIEN non plus. Alors voyant la terre s’approcher à pas lоin de 200 km/heure, et sachant que de toute façon il mourra, il lève les yeux au ciel et dit « O grand Bouddha »… Et là, MIRACLE, une gigantesque main surgie de nulle part le réceptionne en douceur et vient le déposer extrêmement délicatement sur le sol…
A peine le gars a-t-il les deux pieds sur la terre ferme qu’il tend ses bras vers le firmament en invoquant « Sois loué Seigneur ! »
Et instantanément, la gigantesque main se referme en un gigantesque poing qui l’écrase comme une crêpe.
C’est l’histoire de la Cicciolina qui vient de mourir dans son lit, qui se présente au Paradis et qui sonne. Sаinт Pierre vient lui ouvrir et lui dit :
- Quoi ? Qu’est-ce que c’est ? Oh mais je vous reconnais, vous, hein ! Si si, on ne me la fait pas, je vous reconnais, vous êtes la Cicciolina. Pas question de Paradis. Ah non ; pas question. Avec la vie que vous avez menée, vous brûlerez en enfer !
Et la Cicciolina lui répond avec un haussement d’épaules qui fait tomber la bretelle de son maillot :
- Bon très bien ! Va bene !
Alors elle va en enfer. Seulement, deux jours après, il y a le diавlе qui appelle sаinт Pierre et qui lui dit :
- Dis donc, la cliente que tu m’as envoyée, ça ne va pas du tout !
- La Cicciolina ? Et pourquoi donc ?
- Eh ben mon vieux, on ne peut pas la brûler : elle est pleine de nœuds !
C’est l’histoire d’un golfeur impénitent qui a déjà pratiqué tous les greens de la planète. Un beau jour, alors qu’il s’apprête à swinguer, il meurt d’un arrêt cardiaque.
Il se retrouve aussi sec devant Sаinт Pierre.
Saint Pierre lui dit qu’il n’était pas un mauvais bougre et qu’il a même réalisé de bonnes choses sur terre. Alors il lui donne l’autorisation de choisir l’endroit dans lequel il passera l’éternité, Paradis ou Enfer.
Pendant quelques temps, le golfeur fait le tour du Paradis et regarde un peu comment les gens s’occupent, mais il ne voit rien pour le tenter.
Et puis un beau jour, il descend en Enfer, et là il découvre le plus sublime des terrains de golf : des petits ruisseaux, des bandes de sables, et le gazon le mieux entretenu qu’il ait jamais vu.
Naturellement, l’accès au terrain est gratuit et illimité pour tous les habitants de l’enfer… Alors le golfeur n’hésite pas une seconde : il fait savoir à Sаinт Pierre qu’il a choisi de passer son éternité en enfer.
Et tout de suite, il prend un club qui traînait par là, et regarde autour de lui pour trouver une ваllе afin de commencer le premier des 18 trous, mais n’en trouve aucune.
Alors il appelle Sатаn et lui demande où sont rangées les balles, et le démon lui répond :
- Eh ouais… Tu viens de comprendre ce que c’est que L’ENFER.