C'est une blonde de l'Est, une polonaise, qui va à la poste dans un tout petit village, dans l'intention d'envoyer un message à ses parents restés au pays.
Elle vient d'arriver, et parle encore mal le français, cependant, elle parvient quand même à se faire comprendre du postier.
Le postier lui dit :
- Pour la Pologne, ça vous fera 1000 FF
Elle s'exclame :
- Mais je n'ai pas autant d'argent... Et il faut ABSOLUMENT que j'envoie ce message à ma mère en Pologne !!!! Je ferai N'IMPORTE QUOI pour ça !!!!
Le postier dit :
- N'importe quoi?
Et le blonde répond :
- Oui, n'importe quoi !
Alors le postier lui répond de la suivre dans l'arrière salle.
Il ferme la porte derrière elle, puis il lui dit :
- Mettez-vous à genoux (ce qu'elle fait) Descendez ma braguette (ce qu'elle fait) Sortez-la de mon pantalon (elle lui prend le pénis entre les mains) Allez, maintenant vous pouvez y aller !... Alors la blonde avance sa bouche... puis elle dit "ALLÔ, MAMAN? TU M'ENTENDS?"
Une mère, quelque peu abusive, se désole d’avoir vu son fils chéri lui être ravi, à trente-quatre ans, par une « étrangère ». A longueur de journée, elle se lamente sur le sort de son pauvre enfant.
- Enfin, lui dit son mari, vas-tu me ficher la paix, avec tes jérémiades. Elle n’a pas l’air d’en faire un martyr de ton fils. Lis toi-même cette carte qu’il nous a adressée de Capri, où ils sont en, voyage de noces :
- « Chers parents. Chaque jour est merveilleux. Je nage dans le bonheur. Jamais je n’ai été aussi heureux ».
- Hélas ! gémit la mère. Elle lui a déjà appris à mentir.
La petite fille dit à sa maîtresse :
- Moi, madame, je suis née dans une rose, mais mon petit frère, lui, est né dans un chou.
Sa copine assise à côté d’elle s’exclame :
- Oh ! La, la, la, la !
- Qu’est-ce que tu as à crier comme ça ?
- Chez nous, ce n’est pas la même chose, moi, je suis sortie simplement du ventre de maman.
- Mais enfin qui a pu te dire ça ?
- Mes parents. Nous occupons un appartement dans un immeuble, et comme nous n’avons pas de jardin, papa s’est débrouillé autrement.
1 ) Les vrais programmeurs ne mangent pas de quiche. Ils aiment les Mars, la bière et les apéritifs au curry qui vous arrachent la gueule.
2 ) Les vrais programmeurs n'écrivent pas d'application : ils programment « on the bare metal ». La programmation applicative est pour les ânes qui ne savent pas faire de programmation système.
2 ) Les vrais programmeurs n'écrivent pas de cahier des charges. Les utilisateurs doivent être reconnaissants, quelque soit le programme qu'ils reçoivent. D'ailleurs, ils sont toujours contents.
3 ) Les vrais programmeurs ne commentent jamais leur programme. Comme un programme est difficile à écrire. il doit être difficile à lire et encore plus difficile à modifier.
4 ) Les vrais programmeurs ne documentent jamais leurs oeuvres. Les documentations sont pour les simples d'еsрriт qui ne peuvent pas lire de listing, de code objet, ou de listing hexadécimal du programme.
5 ) Les vrais programmeurs ne dessinent jamais de graphiques : les graphiques ne sont que la forme illettrée des documentations. De plus, les hommes des cavernes dessinaient des graphiques et cela ne les a pas beaucoup aidés.
6 ) Les vrais programmeurs ne lisent jamais les manuels d'utilisation. Faire confiance à ce genre de documents est un signe de lâcheté et de non confiance en soi.
7 ) Les vrais programmeurs n'écrivent pas en Cobol. Le Cobol est pour les octogénaires qui continuent à programmer sur du papyrus.
8 ) Les vrais programmeurs n'écrivent pas en Fortran. Le Fortran est pour les ingénieurs en cravate et en chaussettes blanches qui prennent leur pied en faisant de l'analyse statistique ou des simulations de réacteurs nucléaires.
9 ) Les vrais programmeurs ne programment pas en Basic. En réalité, aucun vrai programmeur n'écrit plus en Basic après avoir atteint la puberté.
10 ) Les vrais Programmeurs n'écrivent pas en Lisp car seuls les programmes en Lisp contiennent plus de parenthèses que de code.
11 ) Les vrais programmeurs n'écrivent pas en Pascal, C, Bliss, Ada ou tout autre clone qui demande plus à taper le programme qu'à y réfléchir.
12 ) Les vrais programmeurs n'utilisent pas de générateur d'applications ou de programmes. Les instruments de ce genre sont pour les assistés ou les homosexuels.
13 ) Les vrais programmes des vrais programmeurs ne marchent jamais la première fois. Mais ces programmes peuvent être modifiés pour fonctionner normalement après seulement une trentaine d'heures de debugging.
14 ) Les vrais programmeurs ne travaillent jamais de 9 heures à 17 heures. Si quelconque vrai programmeur est devant sa machine vers les 9 heures, cela veut dire qu'il y a passé la nuit.
15 ) Les vrais programmeurs ne jouent pas au tennis ou tout autre sport qui demande un changement de tenue vestimentaire.
16 ) L'escalade est un sport accessible et les vrais programmeurs portent toujours leurs chaussures de montagne pendant qu'ils programment au cas ou une montagne surgirait soudainement au milieu de la pièce.
17 ) Les vrais programmeurs ont horreur de la programmation structurée. La programmation structurée est pour les névrosés contrariés qui nettoient leurs bureaux, taillent leurs crayons, rangent leurs affaires et rentrent à l'heure pour manger.
18 ) Le vrai programmeur n'aime pas la programmation en équipe, à moins qu'il soit le chef.
19 ) Les vrais programmeurs n'ont pas besoin de managers. Les managers sont nécessairement méchants et mauvais. Ils ne vivent que pour discuter avec le chef du personnel, les contrôleurs des stocks, les commerciaux et autres déficients mentaux.
20 ) Les vrais programmeurs rejettent les nombres à virgules. La virgule a été inventée par des intellectuels qui pissaient au lit et qui ont été incapables de voir grand.
21 ) Les vrais programmeurs ne roulent pas en Renault ou en Peugeot ? Ils préfèrent les BMW, les Porches ou les 4&×4. Les grosses motos sont aussi très estimées.
22 ) Les vrais programmeurs ne suivent jamais d’emploi du temps. Les managers font des emplois du temps. Les mauvais programmeurs ont besoin d’emploi du temps pour s'organiser l'еsрriт. Les vrais programmeurs ignorent les emplois du temps.
23 ) Les vrais programmeurs aiment le pop-corn. Les vrais programmeurs utilisent la chaleur dégagée par leur microprocesseur pour faire éclater le pop- corn. De plus, ils peuvent dire quel programme tourne sur l'ordinateur en écoutant le rythme d'éclatement du maïs.
24 ) Les vrais programmeurs connaissent chaque nuance de chaque instruction de tous les microprocesseurs et les utilisent toutes dans chaque vrai programme.
25 ) Les vrais programmeurs n'utilisent pas de souris ou tout autre instrument de ce type. La souris ne sert qu'aux analphabètes qui ne savent pas reconnaître les lettres imprimées sur les touches du clavier.
26 ) Les vrais programmeurs n'utilisent jamais d'éditeurs pleine page. Ce genre d'éditeur est bien trop facile à utiliser et permettrait d'éventuels curieux de visualiser une page entière de programme. Il est préférable d'utiliser un éditeur de ligne ou pas d'éditeur du tout.
27 ) Les vrais programmeurs n’emmènent jamais de casse-croûte. Si une machine vend des casse-croûte alors ils mangent. Sinon, ils ne mangent pas. En tout cas, aucune machine ne vend de quiche. Mais de toute façon, les vrais programmeurs ne mangent pas de quiche !
Lors de la rentrée des classes, après les grandes vacances, l’instituteur demande aux élèves quels métiers exercent leurs parents.
- Mon papa il est agriculteur et ma maman, elle fait rien, répond Mélissa.
- Mais non Mélissa, ta maman ne fait pas rien : elle s’occupe de la maison et elle doit aider ton papa.
- Et toi Kévin ?
- Mon papa il est boucher et ma maman elle est bouchère.
- Très bien Kévin.
- À ton tour Toto.
- Mon papa, il est pianiste dans un bordel !
Stupéfait par cette réponse et n’ayant aucune envie d’expliquer aux autres élèves la signification de la phrase citée par Toto, le maître coupe court à la séance.
À la fin des cours, l’instituteur accompagne Toto à la sortie, et justement, c’est le papa de Toto qui vient rechercher son bambin. L’instit’ lui fait part de sa surprise et demande une explication au papa.
Le père lui répond :
- C’est qu’en fait, je suis avocat. Mais comment voulez-vous expliquer une chose pareille à un enfant de 7 ans ?
Un problème vu sous différentes politiques, par référence aux vaches.
Féodalisme :
Vous avez deux vaches. Votre seigneur prend un peu de lait.
Socialisme pur et dur :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend et les met dans une étable avec les vaches d'autres éleveurs. Vous devez entretenir toutes les vaches. Le gouvernement vous donne tout le lait dont vous avez besoin. SOCIALISME
Bureaucratique :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend et les met dans une étable avec les vaches d'autres éleveurs. Les vaches sont entretenues par des ex-éleveurs de volailles. Vous, vous devez vous occuper des volailles qui ont été prises aux éleveurs de volailles. Ensuite le gouvernement vous donne la même quantité d'œufs et de lait qu'à tout le monde.
Fascisme :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend, vous loue pour prendre soin d'elles, et vous vend le lait.
Communisme pur et dur :
Vous avez deux vaches. Votre voisin vous aide à les entretenir, et vous partagez le lait.
Communisme soviétique :
Vous avez deux vaches. Vous devez les entretenir, mais le gouvernement prend le lait.
Communisme cambodgien :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement les prend et vous tue.
Dictature :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement les prend et vous incorpore dans l'armée nationale.
Démocratie pure et dure :
Vous avez deux vaches. Vos voisins décident de qui prend le lait.
Démocratie représentative :
Vous avez deux vaches. Vos voisins élisent quelqu'un pour choisir qui prendra le lait.
Bureaucratie (européanisme) :
Vous avez deux vaches. D'abord le gouvernement vous dit avec quoi vous devez les nourrir et comment vous devez les traire. Puis il vous paie pour ne pas les traire. Puis il vous prend les deux vaches, en tue une, traie l'autre et jette le lait dans le caniveau. Puis il vous demande de remplir des formulaires pour comptabiliser les vaches manquantes.
Anarchie pure et dure :
Vous avez deux vaches. Ou bien vous vendez le lait à un tout petit prix, ou bien vos voisins essaient de prendre les vaches et de vous tuer.
Surréalisme :
Vous avez deux girafes. Le gouvernement vous oblige à prendre des cours d'harmonica.
Olympisme :
Vous avez deux vaches, une américaine et une chinoise. Avant la compétition, on vous montre à la télé un reportage de 15 minutes qui retrace comment la vache américaine a surmonté les affres d'une jeunesse passée dans les ghettos noirs et blancs, avec des parents divorcés etc... Puis on vous montre pendant 10 secondes la vache chinoise battue chaque jour par un fermier tyrannique et ayant vu ses parents abattus, dépecés et découpés devant ses yeux.
La vache américaine gagne l'épreuve, triomphant malgré une sévère foulure de la mamelle, et gagne plusieurs millions de dollars grâce à un contrat passé avec un vendeur de soja.
La vache chinoise est conduite hors du stade et abattue par les officiels du gouvernement chinois, et personne n'entend plus parler d'elle.
McDonald achète sa viande et la sert dans les Big Mac de son restaurant de Pékin.