Une ravissante créature se fait bronzer au soleil sur une plage, entièrement nue. Il fait tellement chaud qu’un petit lézard, recherchant un peu de fraîcheur, se glisse dans son intimité. La jeune femme pousse un cri, essaie de l’en retirer, mais rien à faire. Son mari qui se baignait revient en courant et essaie à son tour : impossible de retirer le lézard.
Heureusement, il y a un médecin sur la plage. L’homme examine rapidement la malheureuse puis prend sa décision.
- Il n’y a qu’une seule chose à faire, dit-il en se tournant vers le mari. Vous allez faire l’amour à votre femme. Le lézard vous mordra le sexe, et vous pourrez alors vous retirer en l’entraînant. Alors je lui donnerai un bon coup sur la tête avec un maillet.
Le mari blêmit.
- Et si vous ratez sa tête ?
- Ne vous en faites pas, je suis très adroit.
L’homme n’est pas rassuré pour autant. Et puis l’idée de se faire mordre le sexe par un lézard ne lui plaît vraiment pas du tout.
- Écoutez, docteur, dit-il finalement. J’aime autant que ce soit vous qui alliez chercher ce маudiт lézard. Je m’occuperai du maillet… Après tout, c’est un acte médical. Je ne suis pas qualifié, moi !
Le médecin jette un coup d’œil vers la femme, qui est réellement très belle, et que les gigotements du lézard commencent à rendre à moitié folle.
- Très bien, dit-il, je me dévoue.
Sur ce il se déshabille et pénètre la jeune femme. En quelques mouvements de bassin, il commence à trouver l’opération très agréable.
- Changeons de méthode, dit-il entre deux ahanements. Laissez tomber le maillet. Je l’assomme et je le noie !
À la campagne, une nuit, un vétérinaire est appelé en urgence auprès d’une femme qui est sur le point d’accoucher.
- Le médecin n’a pas pu venir, il était déjà parti faire sa tournée, et je crois que c’est pour maintenant.
- Bon, je crois que ça va aller. Je vais faire de mon mieux.
Et tout se passe admirablement puisque, quelques instants plus таrd, la femme met au monde deux superbes jumeaux. Le vétérinaire est ravi de s’en être si bien tiré et, avant de quitter la jeune maman, il lui dit :
- Vos enfants sont magnifiques, madame, mais moi je vous conseillerais plutôt de garder celui-là !
- Votre patient se plaint du ventre et vous avez diagnostiqué une amibiase dysentérique à double circonvolution pancréatique et trimus du maxilaire inférieur, dit un professeur de médecine à l’un de ses élèves. Que prescrivez-vous ?
- Euh… Trois comprimés de glucksophétamol matin, midi et soir, et deux cachets de bipermanganate de strofusium toutes les heures…
- Bien, fait simplement le professeur.
L’élève se rassied, réfléchit à sa réponse et, brusquement, se lève et revient voir le professeur.
- Excusez-moi, monsieur, je me suis trompé. Ce n’est pas trois comprimés de glucksophétamol par repas qu’il fallait prescrire, mais un comprimé tous les trois jours !
- Trop таrd, mon jeune ami.
- Comment ça, trop таrd ?
Le professeur consulte sa montre et laisse tomber sèchement :
- Votre patient est mort depuis trente secondes.